La gamme Artejia à la Lygalamine, nouvel actif luttant contre le vieillissement cutané créée par Pharm’Aging, bénéficie d’un accueil enthousiaste du plus grand nombre. La marque accumule les avis positifs en ligne.
À la tête de cette startup dynamique : le docteur Nicolas El Robrini qui œuvre pour une cosmétique naturelle « hautement scientifique. » « Pourquoi devrions-nous choisir entre des cosmétiques sains et des cosmétiques efficaces ? Sur le marché, je n’ai pas trouvé de produits anti-âge répondant à ces critères. C’est pourquoi j’ai fondé la marque Artejia qui synthétise l’excellence de la recherche biomédicale française, allie le meilleur de la science et de la nature », explique le fondateur et dirigeant de cette nouvelle marque innovante.
Ce jeune scientifique titulaire d’un doctorat en génétique humaine a développé une gamme de soins anti-âge garantissant jusqu’à 100 % de naturalité. Issu de la recherche biomédicale française et breveté, son actif phare, la Lygalamine, serait un puissant antioxydant prévenant la modification toxique de protéines responsables du vieillissement prématuré des tissus.
Artejia fait une belle entrée sur ce secteur très concurrentiel : en deux ans, Pharm’Aging a recruté trois personnes et les ventes d’Artejia ont été multipliées par deux. Artejia dispose de son propre site marchand, d’un référencement sur les plateformes de vente Amazon France et Europe, de partenariats digitaux avec Pharmedistore, Fabulous French Fabrique, Provence chérie, Sevellia, ainsi qu’une présence physique dans plusieurs concepts stores… Elle réalise déjà ses premières ventes à l’international en Italie, en Allemagne, en Belgique et au Royaume Uni.
Cette jeune société française se veut également responsable et transparente. Ses valeurs et engagements : protéger la peau avec des ingrédients naturels mais aussi protéger la planète, avec des flacons 100 % recyclable, sans packaging superflu. Mettre en avant le savoir-faire à la française en produisant l’ensemble de sa gamme exclusivement en France, à quelques kilomètres de Marseille. Elle entend jouer la transparence, avec notamment une web-serie qu’elle vient de lancer, pour éduquer les consommateurs à démêler le vrai du faux en cosmétique, faire la différence entre les cosmétiques naturels et les cosmétiques bio ou encore décrypter d’un coup d’œil les ingrédients de ses produits. Une démarche qui a séduit des influenceuses qui vont même, d’après l’entreprise, jusqu’à faire adopter la gamme à leurs conjoints.
Après le lancement en 2020 d’un nettoyant visage solide à l’huile de Mirabelle bio française, pour une routine visage complète, Artejia prévoit en 2021 le lancement de soins anti-âge pour le corps et pour les mains. Pour cette nouvelle année, Nicolas El Robrini ambitionne également d’entrer en pharmacie, instituts de beauté et d’accélérer son développement en Europe.