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Arcade Beauty Europe sous la direction de Laurent Oulès

Depuis la nomination de Carl Alain à sa direction générale, le groupe Arcade Beauty a confié la direction de l’Europe à Laurent Oulès. Basé à Paris, celui-ci a pris ses fonctions au cours de l’été.

Laurent Oules a rejoint Arcade Beauty en août 2022 en tant que directeur général de l’activité européenne. Son expérience dans le secteur de l’emballage et son expertise stratégique sont des atouts majeurs pour le groupe.

Après avoir débuté sa carrière dans le groupe Air Liquide puis au sein du cabinet de conseil en stratégie McKinsey, il a rejoint le groupe Pechiney/Alcan où il a dirigé le développement international de l’activité européenne d’emballage flexible. Il a ensuite piloté les opérations d’une unité industrielle française au sein du groupe Amcor, suite à l’acquisition d’Alcan Packaging. Après avoir rejoint Essilor en 2012 pour diriger le développement de l’ingénierie et de la technologie, il est revenu en 2015 dans le secteur de l’emballage pour diriger la transformation internationale, industrielle et commerciale du groupe Danaflex. En 2019, il a rejoint le groupe Coveris, leader de l’emballage souple, où il dirigeait le développement international auprès des clients mondiaux, axé sur les emballages haute performance et recyclables. Laurent est diplômé de l’École Polytechnique, de l’École Nationale des Ponts et Chaussées, et détient un MBA du Collège des Ingénieurs.

Roland Lescure, Ministre en charge de l’Industrie a réuni le Comité de filière Cosmétiques

Présidé – pour la première fois – par Roland Lescure, Ministre délégué à l’Industrie, le « Comité de filière cosmétiques » s’est réuni le 28 novembre, en présentiel, à Bercy, pour une troisième séance de travail depuis sa création en 2021, à la suite des « États Généraux de la Cosmétique », Organisée par le pôle de compétitivité Cosmetic Valley et la FEBEA, en présence d’une vingtaine de représentants de la filière, cette réunion a permis d’échanger avec le Ministre sur les défis rencontrés par les différents maillons de la chaîne de valeur – fournisseurs, fabricants, distributeurs -, et de soumettre au ministre des projets concrets de coopération entre les entreprises, les associations professionnelles et les pouvoirs publics.

A l’issue de la réunion, Cosmetic Valley, la FEBEA et le Médiateur des entreprises ont signé la « Charte sur les achats responsables », premier aboutissement du processus lancé début 2021 avec l’adoption, par les plus grands donneurs d’ordre du secteur, de la  « Déclaration de solidarité des entreprises cosmétiques avec le secteur verrier ». Elle formalise dix engagements entre donneurs d’ordre et fournisseurs.

Quadpack met en place un nouveau laboratoire américain pour des tests à valeur ajoutée

Les marques de produits de beauté américaines ont désormais accès à des services de test de leurs emballages dans les installations de Quadpack à Dallas, au Texas. Afin de répondre à une demande croissante, le fabricant et fournisseur international d’emballages pour produits de beauté a créé un laboratoire d’essai aux États-Unis. Celui-ci vient compléter le laboratoire central, situé au siège de l’entreprise à Barcelone, en Espagne. Ce service ajoute un niveau supplémentaire de contrôle qualité, car Quadpack cherche à offrir des solutions dans la région, pour la région.

Le laboratoire américain est doté d’équipements de haute technologie qui permettent de réaliser des tests d’étanchéité, de perte de poids, de couple, de résistance à la décoration, de scellement des tubes, de vieillissement des formules et bien d’autres encore. Ce service à haute valeur ajoutée est proposé pour accompagner les marques dans la phase de développement de leur emballage. Le site de Dallas offre également des services de stockage, de décoration et d’assemblage et gère le site de commerce électronique InStockPack.

Le laboratoire central de Quadpack en Europe est entièrement équipé pour les homologations, les contrôles de changement et les tests de compatibilité, ces derniers étant une responsabilité légale des marques de produits de beauté.

Quadpack recrute actuellement pour ses installations d’essai à Shanghai, en Chine, afin d’étendre davantage le service en Asie, mettant ainsi en place des laboratoires d’essai dans ses trois territoires clés.

Gattefossé remporte le Trophée Inpi 2022 dans la catégorie export

Gattefossé a reçu le Trophée Inpi 2022 dans la catégorie export lors de la cérémonie organisée à l’Institut de France. Une belle récompense pour Gattefossé qui a fait de l’innovation un pilier de sa croissance en menant une politique industrielle volontaire et cohérente.

Les Trophées INPI : la reconnaissance de l’innovation à la française

Créés en 1991, les Trophées Inpi (Institut National de la Propriété Industrielle) récompensent des entreprises emblématiques de l’innovation française se distinguant par l’exemplarité de leur stratégie de propriété industrielle. Cette année, les Trophées mettent à l’honneur quinze PME, start-up et Eti, qui concourent dans 5 catégories : Export, Industrie, Innovation responsable, Recherche partenariale et Start-up. Le jury de l’édition 2022 est présidé par Bernard Reybier, président du Conseil d’Administration de Fermob, entreprise lauréate des Trophées en 2013.

Une stratégie de propriété industrielle pour protéger et pérenniser ses idées

La politique d’innovation de Gattefossé est basée sur deux piliers :

• La recherche interne, menée depuis son site de Saint Priest (métropole de Lyon) et depuis ses laboratoires d’applications en Inde, en Chine et aux États-Unis par des ingénieurs et docteurs en pharmacie, chimie ou biologie

• La collaboration avec des centres de recherche publics ou privés à l’international.

« La propriété intellectuelle a toujours été au cœur de nos préoccupations et cela a commencé il y a plus d’un siècle quand mon arrière-grand-père déposait ses premiers brevets dans les années 20. Nous avons mis en place une organisation et un processus de développement qui nous permet de protéger nos innovations tout en partageant notre savoir-faire, une notion chère à l’entreprise.

Être récompensés aujourd’hui par un Trophée INPI est un honneur et une reconnaissance ses efforts fournis par nos équipes de recherche depuis des années. Nous sommes heureux et fiers de récolter les fruits de ce travail collectif » explique Ségolène Moyrand-Gros, Présidente du Groupe Gattefossé.

Cette stratégie permet de mener une grande variété de travaux simultanément, ce qui nourrit son portefeuille de nouveaux développements potentiels, et permet de répondre le plus rapidement possible aux besoins du marché.

« Les domaines d’applications de nos produits concernent la cosmétique et la pharmacie mais les savoir-faire qui leur sont liés sont variés. Il s’agit de procédés de synthèse chimique, d’extraction végétale, d’analyse chimique ou de formes galéniques pharmaceutiques diverses et de formes cosmétiques variées.

Notre stratégie d’innovation et les brevets que nous déposons englobent donc tous ces domaines d’expertise. Avoir une solide stratégie de propriété industrielle est essentiel si l’on veut être bien protégé. Nous déposons ainsi systématiquement, après une étude de liberté d’exploitation, des brevets pour tous nos nouveaux ingrédients et technologies dans tous les pays clés pour notre activité. C’est une garantie de qualité et de pérennité du produit pour nos clients» dit Jean-David Rodier, Directeur R&D Oléochimie.

A ce jour, Gattefossé possède un portefeuille de brevets constitué de 18 familles et 195 marques protégeant des produits, des procédés de fabrications et des applications pour ses deux marchés. Les brevets couvrent plusieurs pays clés comme la France, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, les États-Unis ou encore la Chine.

Des innovations dans le développement de ses ingrédients

En avril dernier, Gattefossé a lancé un nouvel actif végétal naturel destiné à l’industrie cosmétique, le fruit d’une collaboration avec un groupe de recherche spécialisé dans l’étude des effets des stress génotoxiques. Le produit a été récompensé par l’industrie lors du salon in-cosmetics global, en obtenant le prix Bronze de l’innovation dans la catégorie meilleur ingrédient actif cosmétique.

Gattefossé a par ailleurs été l’un des premiers fournisseurs d’ingrédients cosmétiques à breveter une technologie à base de cires végétales hydrophilisées permettant d’offrir à ses clients cosmétiques des textures à la sensorialité unique. Cette innovation a elle aussi été reconnue par l’industrie en obtenant différents prix d’innovation.

En pharmacie, Gattefossé a développé l’année dernière un nouvel agent stabilisateur de phase huileuse dans les bi-gels, ce dernier a été sélectionné parmi les finalistes dans la catégorie « Formulation finie » lors du salon CPHI Worldwide au début du mois.

Matteo Moretti reprend le contrôle de la totalité du capital de Lumson

Matteo Moretti, président de Lumson S.p.A., a acheté, par le biais de la holding familiale, la totalité de la participation dans Lumson S.p.A. détenue par FSI SGR S.p.A. pour le compte du fonds  » FSI I « . La transaction permet à la famille Moretti de compléter la succession commencée en 2018 et d’accélérer le chemin de la croissance en renforçant la position de leader de Lumson S.p.A. dans le secteur de l’emballage primaire cosmétique.

Cette transaction intervient après quatre années de fort développement commun.
Lumson est une société leader en Europe dans la conception, le développement, la production et la décoration de systèmes d’emballage primaire pour le marché des cosmétiques et du maquillage.
L’entreprise de Capergnanica a dépassé les 130 millions d’euros de chiffre d’affaires, avec une marge soutenue qui reflète le fort positionnement dans le segment du soin de la peau et le haut contenu qualitatif et technologique de ses produits, vendus dans le monde entier aux groupes les plus importants de l’industrie cosmétique.
Au cours des cinq dernières années, le chiffre d’affaires de la société a doublé et, sous la direction de Matteo Moretti, la société s’est considérablement renforcée dans le segment du maquillage haut de gamme, grâce également à l’acquisition de Marino Belotti. En outre, des projets importants et innovants ont été menés à bien dans le domaine de la durabilité, une question extrêmement importante dans le monde de l’emballage et dans laquelle Lumson est désormais un leader avec un pipeline solide et une équipe de gestion dynamique.

L’objectif de la famille Moretti est d’accélérer encore la croissance de Lumson et de consolider sa position de leader dans le segment des soins de la peau du secteur de l’emballage primaire, en continuant sous la direction de son président Matteo Moretti, du directeur général Antonio Recinella et de l’équipe de direction actuelle.
Matteo Moretti, Président de Lumson Group : « Je suis très fier de la croissance de Lumson et de la valeur créée pour tous les actionnaires et parties prenantes grâce à l’engagement et à la contribution de mon père Remo – fondateur de Lumson en 1975 -, du conseil d’administration, de l’équipe de direction et de tous les employés du groupe. Lumson représente aujourd’hui un acteur majeur de l’industrie de l’emballage primaire, avec un portefeuille de produits diversifié et un accent sur la durabilité qui fait de l’entreprise un partenaire important pour les grandes marques internationales de cosmétiques. Le FSI nous a aidés à atteindre cet objectif« .

1er site de production industriel d’ingrédients naturels pour Dry4Good

Dry4Good, FoodTech industrielle spécialisée dans la production d’ingrédients à haute valeur ajoutée, inaugure ce jeudi 1er décembre sa première usine spécialisée dans la production d’ingrédients innovants pour les acteurs des industries agroalimentaires, cosmétiques et nutraceutiques. Doté d’une capacité de production de 50 tonnes d’ingrédients par an, ce nouveau site de 1000m2 réalisé par foncière spécialisée en immobilier d’entreprise Vectura permettra à la start-up de faire la démonstration technologique et industrielle, d’une production d’ingrédients au service d’une alimentation plus durable et favorable à la santé.

Du laboratoire à la première unité de production en 24 mois

Créée en 2019, Dry4Good est une start-up francilienne spécialisée dans la fabrication de produits sains et naturels, obtenus à partir de technologies innovantes spécifiques. Celles-ci permettent de conserver le goût, la couleur et la texture des matières premières, ainsi que toutes les valeurs nutritionnelles, sans aucun ajout ou modification substantielle.

Ce procédé éco-efficient de séchage de précision a été développé dans un premier temps au sein du laboratoire de La Turbine, l’Incubateur Pépinière Hôtel d’Entreprises (IPHE) de Cergy-Pontoise. Après une année de R&D, un équipement pilote a été mis en service en 2021, répondant ainsi aux premières demandes d’un marché particulièrement à l’écoute. Grâce à cet équipement préindustriel, Dry4Good est parvenue à développer une gamme d’ingrédients industriels et à séduire ses premiers clients, acteurs de l’agroalimentaire et de la cosmétique.

Un passage à l’échelle industrielle avec son site Pilote de production de 1000m2

Aujourd’hui, la start-up passe à l’étape supérieure afin de démultiplier la capacité de son activité et de répondre à la forte demande de ses clients, en inaugurant son premier site industriel de 1000m2. Intégrant trois lignes de production pour une capacité de traitement de 2 tonnes de produits frais par jour, celui-ci vient valider le passage à l’échelle industrielle de sa technologie de rupture. Elle permettra de produire l’équivalent de 50 tonnes d’ingrédients par an afin de répondre à la demande croissante, dès 2023.

« Nous sommes heureux d’inaugurer dans le Val d’Oise notre premier site de production pilote. Ce lieu conçu en un temps record et sur-mesure par VECTURA permet le passage à l’échelle industrielle et marque une étape majeure de notre développement. Le marché est là et son potentiel immense en raison de la forte croissance du secteur et des besoins grandissant des industriels, pour des formulations plus saines, performantes et respectueuses de l’environnement. », souligne Romaric Janssen, co-fondateur de Dry4Good.

Une start-up chef de file de la réindustrialisation et du développement territorial

En phase avec les ambitions de BPI France, ce premier site pilote situé à Cergy (95) participe activement au développement du secteur agroindustriel en France. L’organisme public vise en effet, la création de 100 nouveaux sites industriels par an, dans les territoires, d’ici à 2025, pour réindustrialiser la France et répondre à ses enjeux de souveraineté et d’emplois.

La chaîne de production Dry4Good se trouve également au plus proche du sourcing. La plupart des matières premières utilisées sont issus du circuit court grâce à un important réseau d’agriculteurs (producteurs et coopératives) franciliens. En favorisant les produits cultivés à proximité de son site, Dry4Good participe à son échelle au développement économique d’une filière agricole française. L’entreprise fait d’ailleurs partie des startups labélisées French Tech Agri20, et détient également le label « Produit en Ile-de-France ».

Un investissement de plus de 4 millions d’euros

Ce premier site industriel a vu le jour grâce au soutien financier de partenaires publics régionaux et nationaux fortement engagés dans le développement économique des territoires, à savoir : France Relance, France 2030, la Région Ile de France et BPI France. La startup s’est également appuyée sur le soutien d’investisseurs privés, et a bénéficié d’aides publiques en tant que lauréat du Concours I-NOV, mais également du Programme d’Investissement d’Avenir (PIA 4). Au total la startup aura déployé plus de 4M€, permettant la poursuite des investissements ainsi que la création de 30 emplois directs sur le territoire.

Lalique et James Turrell : Deux flacons cristal en éditions limitées

Purple Sage & Range Rider, deux flacons de parfum en éditions limitées.
Cette collaboration donne naissance au premier parfum créé par un artiste pour Lalique.

Lalique a dévoilé sa nouvelle collaboration avec l’artiste américain James Turrell, connu pour créer des œuvres qui incitent le public à se confronter aux limites et à la magie de la perception humaine en jouant avec la lumière et l’espace.

C’est la première fois que le célèbre artiste-lumière travaille sur des pièces de petite dimension. Cette rencontre unique entre deux « artistes de la lumière » est le fruit de plus de quatre ans d’étroite collaboration et survient au moment où Lalique célèbre le lOOème anniversaire de sa manufacture alsacienne. La collection, qui a été présentée lors de l’édition 2022 de Paris+ par Art Basel, se compose de 42 panneaux lumineux en cristal et de deux flacons de parfum en éditions limitées à 100 exemplaires chacun. C’était la première fois que Lalique Art était partenaire officiel de la célèbre foire d’art moderne et contemporain.


James Turrell a tout d’abord imaginé deux flacons de parfum. Fasciné par l’Égypte et les formes de stûpa que l’on trouve en Asie, il s’est inspiré de leur structure architecturale qui en font des monuments de haute valeur spirituelle où la lumière joue un rôle essentiel.

Combinant à la fois sensibilités artistiques et olfactives, les deux flacons Range Rider et Purple Sage sont inspirés du livre de Zane Grey, Riders of the Purple Sage et de la volonté de l’artiste de recréer la beauté de l’Ouest américain. Le résultat est éblouissant : les flacons sont de véritables prismes qui diffusent et diffractent la lumière. Entièrement fabriquées à la main, ces pièces présentaient un défi majeur pour les artisans Lalique : obtenir une épaisseur uniforme de cristal, laquelle permet d’obtenir une homogénéité et la bonne densité de couleur.

En travaillant avec les parfumeurs de Lalique, Turrell a aussi donné vie aux premiers parfums créés par un artiste pour Lalique. Le premier d’entre eux, Range Rider, encapsule les senteurs naturelles de l’Arizona, terre d’origine de l’artiste : sauge pourpre et cuir frotté, poivre, ambre et agrumes. Son architecture olfactive évoque les ranchs baignés de soleil de l’Ouest américain.

Oscillant entre force et délicatesse, le second parfum, Purple Sage, nommé d’après la délicate variété de sauge qui règne sur l’Arizona, offre une autre interprétation de la relation de Turrell avec sa région. Avec ses courbes subtiles, le flacon rend hommage à l’éternelle forme féminine. Le parfum en lui-même se caractérise par une senteur délicatement fruitée et musquée qui révèle des notes de sauge pourpre, de mandarine, de pamplemousse et de rhubarbe.
La collaboration est née d’une rencontre entre l’artiste et Silvio Denz, président-directeur général de Lalique, « Aussitôt j’ai pensé que Lalique devait accueillir des œuvres de James Turrell : la place de l’artiste-lumière avait tout son sens si l’on songe au fondateur René Lalique surnommé « le sculpteur de lumière ». C’est une profonde aventure artistique qui a abouti à un résultat d’une élégance et d’une modernité rares. Une véritable prouesse. Je suis à la fois fier et très heureux que ce grand nom rejoigne le cercle prestigieux des artistes ayant collaboré avec Lalique. »
James Turrell a ajouté : « La nature de mon travail, c’est la mise en forme de la lumière. La lumière, c’est le matériau et la perception, le médium. J’avais déjà entendu parler de René Lalique mais j’ignorais l’étendue de sa créativité. À la manufacture Lalique, j’étais fasciné par les maîtres-verriers et leur virtuosité technique. Ce sont de vrais artistes. C’était la première fois que je conçois des parfums et des pièces en cristal. Le sens olfactif suscite la mémoire plus que tout autre sens, et c’est grâce à Lalique et aux parfumeurs que j’ai pu créer cela. Créer un parfum, c’est un peu créer le monde que l’on a connu. Comme René Lalique, je cherche la lumière et je continuerai de la chercher. »

Anaē présente sa nouvelle gamme de cosmétiques solides

Spécialisée depuis 2000 dans les accessoires écologiques pour la toilette et le soin, anaē lance une gamme de produits cosmétiques solides, accessibles à tous, zéro déchet pour répondre aux consommateurs et consommatrices à la recherche de sobriété et retour à l’essentiel.

Ses baumes, déodorants et dentifrices, composés de matières naturelles et biologiques, sont fabriqués dans un petit atelier cosmétique breton.

Grâce à leurs verres et contenants réutilisables signés Duralex, ils signent la fin du suremballage, s’inscrivant ainsi dans un mode de vie zéro déchet.

Avec sa nouvelle gamme de cosmétiques solides, anaē a souhaité éliminer le superflu. La marque a choisi des procédés de fabrication simples et sans eau, inspirés du DIY : leurs formules concentrées et minimalistes mettent en lumière des matières premières biologiques et/ou d’origine naturelle, issues de filières bretonnes.


Les produits anaē sont certifiés Cosmos, un référentiel international exigeant qui promeut l’utilisation d’ingrédients biologiques, de process respectueux de l’environnement et de la santé, et l’intégration du concept de « chimie verte ».
Cette gamme à l’esthétique épurée, moderne et dégenrée se caractérise également par sa transparence.
La nouvelle gamme anaē a ainsi pour vocation de démocratiser les cosmétiques solides et d’affirmer l’engagement écologique et social de la marque. Elle rend la cosmétique zéro déchet plus accessible et fait gagner du temps et de l’argent aux consommateurs et consommatrices.

La gamme de cosmétiques solides anaē est composée de huit produits : deux dentifrices, deux déodorants et quatre baumes pour le corps. Début 2023, elle accueillera quatre nouveautés.

Les dentifrices en pâte

Anaē propose un dentifrice fraîcheur, aux arômes de menthe et d’eucalyptus bio, et un dentifrice éclat, aux arômes de citron bio et au bicarbonate. Ces dentifrices sont formulés à froid à partir de carbonate de calcium, un abrasif doux. Ils nettoient les dents en profondeur, et offrent une agréable sensation de fraicheur ou de tonus. Ils contiennent tous les deux un agent moussant d’origine naturelle qui apporte une douce sensation lors du brossage.
Ces deux dentifrices sont conditionnés dans des verres de table Duralex bien connus dans les cantines. Le couvercle en liège peut aussi être réutilisé pour fermer le verre et conditionner épices, fruits secs…

Les baumes déodorants

Grâce à leur texture fondante, les baumes déodorants anaē sont faciles à appliquer et protègent les aisselles contre les désagréments de la transpiration. Subtilement parfumés, ils ont des formules minimalistes et bio, enrichies en huile de cameline bretonne apaisante, beurre de karité et huile de coco.
Ils se déclinent en deux versions : la version fraîcheur contient du bicarbonate de sodium qui neutralise le développement des mauvaises odeurs et absorbe l’humidité, et la version douceur, formulée sans bicarbonate, avec un complexe d’actifs déodorants efficaces qui respectent les peaux les plus délicates.
Ces deux déodorants sont conditionnés dans des verres à café Duralex. Le couvercle en liège peut aussi être réutilisé pour fermer le pot et conditionner épices, fruits secs…

Les baumes pour le corps

Véritable invitation au bien-être et à la détente, les baumes anaē fondent au contact de la peau et la nourrissent en profondeur grâce à leurs ingrédients relipidants. Ils sont économiques, car une très faible quantité permet d’hydrater une grande surface de peau.
Ils sont composés d’huiles bretonnes biologiques, issues d’une première pression à froid.
Le baume relaxant contient de l’huile de chanvre riche en oméga 3 et 6 et en acides gras essentiels, qui lui confère des propriétés calmantes et antioxydantes et un toucher sec non gras.
Les baumes nourrissant et sportif sont faits à base d’huile de cameline : riche en oméga 3, 6 et 9 et en vitamine E, elle a des propriétés apaisantes et régénérantes.
Les trois baumes pour le corps sont conditionnés dans des coupelles Duralex. Le couvercle en liège peut aussi être réutilisé pour fermer la coupelle ou comme dessous de verre ou de plat.

Des contenants écoresponsables, réutilisables et français

Pour pousser jusqu’au bout sa démarche d’écoconception, anaē a choisi pour ses cosmétiques des contenants écoresponsables et réutilisables : les verres et coupelles Duralex, réputés pour leur robustesse et leur qualité.
Anaē a travaillé en partenariat avec le groupe français pour proposer trois contenants utiles, qui peuvent servir de verre de table ou de coupelle. Les couvercles en liège ont été conçus sur-mesure au Portugal pour épouser le design Duralex.
En plus d’être écoresponsable, ce packaging a un doux aspect nostalgique : il replonge les adultes en enfance, et leur permet de découvrir leur âge, une fois le baume ou le dentifrice terminé, grâce au numéro gravé au fond du contenant.
« De la cosmétique solide au verre à boire, il n’y a qu’un pot« 

Anaē est une marque d’Écodis. La société s’est engagée dans une démarche de relocalisation des processus de fabrication : elle est en train de construire un réseau d’entreprises partenaires bretonnes et locales.
Les produits de la gamme anaē sont ainsi formulés avec des huiles issues de graines bio bretonnes, et sont fabriqués dans un atelier cosmétique breton.
Anaē encourage par ailleurs l’agriculture biologique en favorisant, dès que cela est possible, l’utilisation d’ingrédients végétaux issus de cultures biologiques. Tous les ingrédients et matières premières ont été choisis dans une logique de respect de la planète et des personnes qui fabriquent les produits.

Anaē est une marque de Écodis, détenue à 100% par le Fonds de Dotation Ecodyssée, et spécialisée depuis 2000, dans la conception et la diffusion d’écoproduits auprès des magasins spécialisés, sites marchands et artisans.
Elle propose une gamme de produits et accessoires dédiés à l’hygiène et au bien-être au naturel, tous conçus dans une logique de respect de l’environnement et de l’humain : cosmétiques solides, culottes menstruelles, coupes menstruelles, serviettes hygiéniques lavables, pansements, brosses, gants de massage ou encore éponges cosmétiques…

Cosm’Innov Congress – May 24th & 25th 2023 – Call for abstracts

Cosm’Innov is the international congress to establish a state of play for cosmetics research, promoting recent scientific discoveries and linking them to the major challenges of the cosmetics industry.

Organised by Cosmetic Valley, with the support of Cosmetosciences and Orléans Métropole, Cosm’Innov brings together public and private research players, and contributes to the development of partnerships and technology transfer to create the future of cosmetics.

Industrials or Researchers? You wish to present your recent scientific advances? 
Submit your abstract BEFORE JANUARY 13th,
on one of the four themes below, and become one of the speakers of the congress.

Congress abstracts will be published in a special issue of the International Journal of Cosmetic Sciences.

In 2023, in the face of climate emergency, and at the dawn of the 5th industrial revolution, how should both, the academic researchers and the industry, adapt to these changes, in order to continuously improve product performance while ensuring its safety?

1 – INSPIRED BY NATURE

How can the observation and benefits of nature advance cosmetic research in the ingredients, formulas, and packaging industry?

#Bioinspiration #Bio-sourcing #Upcycling #Co-products #Biotechnology #Naturality #Biomaterials #Inspired by the sea #Green chemistry

2 – HUMAN BEAUTY IN A CHANGING ENVIRONMENT

The world around us has an influence on our appearance: improve our understanding of its role to address the consequences.

#Exposome #Environmental Microbiota #Well-being #Emotion #Neurosciences #Social interactions #Perception

3 – KNOWLEDGE OF HUMAN BIOLOGY FOR BETTER COSMETICS

Understand biological mechanisms at the earliest stages to develop preventive and more effective products.

#Mechanisms of action #Cellular biology #Omics technologies #Imaging technologies #New technologies to investigate support #Non-invasive technologies #Measurement of biological activity #Alternative tests #In silico approaches #Artificial and synthetic skin models

4 – INTERDISCIPLINARY SCIENCE FOR EFFICIENT FORMULATIONS?

Develop performant raw materials and cosmetic formula meeting environmental requirements, while offering a targeted, effective, and personalised product.

#Formulation #Process engineering #Green Chemistry #Multifunctionality #Encapsulation #Vectorisation #Galenic #Delivery systems #Personalisation #Modelling #Biodegradability #Ecotoxicology #Life Cycle Analysis

Contact

Fanny Veau – [email protected]

L’Oréal accélère sa transformation dans le domaine des Sciences Vertes

L’Oréal et la biotech française Microphyt annoncent un partenariat stratégique selon lequel le fonds de capital investissement de L’Oréal BOLD (Business Opportunities for L’Oréal Development) acquiert une participation minoritaire dans Microphyt.

Cette opération s’inscrit pleinement dans la stratégie de la Recherche & Innovation de L’Oréal dans le domaine des Sciences Vertes, au travers de nombreux partenariats stratégiques avec des start-ups innovantes dans le secteur des biotechnologies, en France et à l’international. Cette politique volontariste est au cœur des objectifs que L’Oréal s’est fixé pour 2030 dans le cadre de son programme de développement durable, avec notamment l’objectif selon lequel 95% de ses ingrédients seront bio-sourcés, issus de minéraux abondants ou de procédés circulaires.

Microphyt, créée en 2007 et implantée à Baillargues (Hérault), a développé un procédé révolutionnaire à faible impact carbone de production de microalgues – des organismes végétaux microscopiques utilisés entre autres en cosmétique pour leurs propriétés actives et leurs qualités fonctionnelles.    

Grâce à son procédé breveté et sa maîtrise de stimuli naturels (lumière, sel, nutriments, variation de température, etc.), cette biotech française compte parmi les sociétés produisant à grande échelle et de façon contrôlée, les plus grandes variétés de microalgues au monde. Microphyt dispose d’une plateforme intégrée de transformation de ces microalgues et développe ainsi des ingrédients naturels et renouvelables parfaitement adaptés aux ambitions durables de L’Oréal.

L’Oréal et Microphyt vont construire une plateforme technologique et mettront en commun des ressources matérielles et humaines pour concevoir des matières premières issues de la biomasse des microalgues. Les deux entreprises ont pour ambition d’établir un partenariat dans la durée pour le développement de nouvelles solutions cosmétiques.

Ce rapprochement fait suite à de nombreux partenariats scientifiques stratégiques que le Groupe a noués ces derniers mois afin de renforcer son écosystème pionnier des Sciences Vertes de la Beauté : le spécialiste de la recherche sur les sciences de la vie VERILY, le National Institute for Materials Sciences (NIMS) au Japon, le Singapore Centre for Environmental Life Sciences Engineering (SCELSE), ou encore le Laboratoire de Chimie des Polymères Organiques de Bordeaux (LCPO).

« Notre ambition est de collaborer à travers le monde avec les entités scientifiques les plus disruptives dans le domaine des Sciences Vertes, afin de développer ensemble des innovations responsables à grande échelle pour les rendre accessibles au plus grand nombre, explique Barbara Lavernos, Directrice Générale Adjointe, en charge de la Recherche, Innovation et Technologie, L’Oréal Groupe. Nous sommes très heureux de ce nouveau partenariat avec Microphyt, qui nous permettra, grâce à ses solutions naturelles uniques issues des microalgues, d’accélérer encore notre transformation au service d’une beauté plus durable ».

Pour Microphyt, le partenariat avec L’Oréal vient renforcer sa feuille de route stratégique. Depuis la réalisation en 2019 de l’une des plus importantes levées de fonds de son secteur auprès notamment des fonds SPI de Bpifrance et Sofinnova Partners, Microphyt a fortement accéléré le développement et la mise sur le marché d’ingrédients naturels issus de microalgues pour la nutrition et la cosmétique. Dans les 18 derniers mois, Microphyt a notamment procédé au lancement de 3 ingrédients actifs innovants en cosmétique et a démarré la commercialisation de ses deux premiers ingrédients propriétaires en nutrition sur le marché américain des compléments alimentaires.

 « Nous sommes ravis du partenariat avec L’Oréal qui s’inscrit pleinement dans l’ambition de Microphyt de donner accès au plus grand nombre aux solutions naturelles issues de microalgues, explique Vincent Usache, Directeur Général de Microphyt. La plateforme technologique en « extended lab » est parfaitement complémentaire à nos activités propres. Elle va permettre d’accélérer le développement d’ingrédients éco-conçus en commun avec L’Oréal et d’utiliser nos capacités de production pour faciliter leur montée en échelle au sein de notre plateforme industrielle ».

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