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Un nouvel ingrédient microbiome-friendly

Roquette Beauté dévoile son nouvel ingrédient microbiome-friendly lors du salon in-cosmetics Global 2022 à Paris :  Beauté by Roquette DE 006 est un ingrédient 100 % végétal, apaisant pour la peau et le cuir chevelu, qui préserve également la diversité du microbiome cutané.

À l’occasion du salon in-cosmetics Global, qui se déroule à Paris du 5 au 7 avril 2022, Roquette Beauté présente son nouvel ingrédient Beauté By Roquette DE 006, INCI Dextrin, aux acteurs de la cosmétique. Avec Beauté By Roquette DE 006, Roquette Beauté, répond à la demande croissante des consommateurs pour des produits efficaces, d’origine naturelle, apaisants pour la peau et le cuir-chevelu qui préservent la diversité de leur microbiome cutané.

Avec une surface cutanée moyenne de 2 m², le microbiome de notre peau est le plus vaste et probablement le plus diversifié. Maintenir son harmonie est essentiel pour préserver notre barrière cutanée et éviter les problèmes de peau comme les inflammations, le manque d’hydratation ou la peau sensible.

Chaque individu possède un microbiote cutané unique. De nombreux facteurs externes peuvent fragiliser et influencer son équilibre : les variations de température, l’exposition aux UV, la pollution, les produits agressifs ou synthétiques ou encore le mode de vie.

Ces dernières années, les consommateurs ont pris conscience que leurs problèmes de peau peuvent être associés à un déséquilibre du microbiote cutané ; ils souhaitent aujourd’hui que leurs produits de soin de la peau et du cuir-chevelu allient efficacité et naturalité, tout en étant respectueux du microbiome.

Beauté by Roquette DE 006 : un agent apaisant pour la peau et le cuir chevelu issu du végétal, certifié microbiomefriendly.

Beauté by Roquette DE 006 est une Dextrine 100 % d’origine végétale, certifiée Cosmos et Natrue et adaptée aux formulations végans. Selon Roquette Beauté, il s’agit de l’allié idéal des peaux et cuirs chevelus fragilisés et sensibles.

Différents tests ont été réalisés pour démontrer les bénéfices de l’ingrédient Beauté by Roquette DE 006, selon Roquette Beauté :

  • il réduit le marqueur de l’inflammation (IL-1 alpha),
  • il réduit la perte insensible en eau (PIE / TEWL) induite par les agressions chimiques et mécaniques,
  • il réduit significativement les rougeurs induites par les agressions chimiques, 
  • il contribue à apaiser la peau et le cuir chevelu,
  • il préserve la diversité de la microflore cutanée.

« L’arrivée de Beauté by Roquette DE 006 dans notre gamme d’ingrédients, illustre parfaitement notre volonté d’apporter aux acteurs de la cosmétique, des solutions issues du végétal et innovantes qui répondent aux attentes des consommateurs pour des produits plus sûrs avec un juste équilibre entre naturalité et performance. Pour nous, la Beauté Durable passe par la Santé et la Nutrition de la Peau. Nous nous focalisons sur le développement d’ingrédients d’origine végétale de haute qualité, polyvalents et durables et développons des solutions multifonctionnelles alliant haute performance et sensorialité », déclare Bénédicte Courel, directrice générale de Roquette Beauté.

De nouveaux ingrédients contre les squames et les ridules

Givaudan Active Beauty a récemment annoncé le lancement de Patchoul’Up, un actif 100 % upcyclé capable de rééquilibrer la production de sébum, d’éliminer les squames sèches et de normaliser le microbiome du cuir chevelu pour un bien-être global. Sourcé de manière responsable en Indonésie, Patchoul’Up est fabriqué par fractionnement vert à partir de feuilles de patchouli distillées après leur utilisation comme matière première dans la création de parfums.

PatchoulUp- Ingrédients - Info produits

« Pour nous, l’upcycling n’est pas seulement une tendance, mais un véritable chemin vers le succès sur notre parcours d’entreprise durable. Patchoul’Up soutient la demande des clients et des consommateurs pour des solutions upcyclées qui préservent les précieuses ressources naturelles tout en offrant des avantages efficaces », indique Fabrice Lefevre, directeur de l’innovation et du marketing d’Active Beauty.

L’acide hyaluronique réinventé

Givaudan Active Beauty propose, par ailleurs, un ingrédient qui agit sur les ridules, l’hydratation longue durée, la matification de la peau et la texture de la peau : Cristalhyal e-Perfection.

GIV AB WB Cristalhyal eP 3 1- Ingrédients - Info produits

L’entreprise indique réinventer l’acide hyaluronique (AH) avec le lancement de ce complexe vectorisé durable et breveté d’argile bentonite et d’AH de haut poids moléculaire (HMW). Conçu par la biotechnologie blanche et alimenté par une modification des charges électrostatiques à la surface de la molécule d’HA, l’ingrédient à triple action accède aux couches profondes de la peau par attraction électrique pour offrir des avantages de bien-âge, une hydratation durable et des effets matifiants.

« Grâce à un processus breveté et exclusif, l’argile bentonite peut être activée pour piéger efficacement les molécules d’AH HMW dans l’espace interstitiel de structures lamellaires spécifiques », indique Amandine Scandolera, responsable de l’évaluation biologique pour Active Beauty.

Produits solaires : Cosmogen accompagne Mimitika

Jeune marque française qui conçoit des crèmes solaires “pour les amoureux du soleil”,  Mimitika détourne Squeeze’n Tint de Cosmogen pour proposer aux sportifs un produit solaire au format compact et ultra pratique. 

Son embout pinceau offre une application mains libres, simple et facile. Le système de fermeture rotatif On/Off breveté de Cosmogen permet d’extraire une petite quantité de crème (On), puis de l’appliquer et de refermer le tube de façon étanche (Off). Le pinceau est lavable à l’eau savonneuse.

Expert mondial des solutions d’application innovantes et brevetées pour les marques de cosmétique, Cosmogen innove depuis plus de 35 ans. Son expertise est reconnue sur quatre métiers complémentaires : les packagings avec applicateurs intégrés, les pinceaux, les accessoires d’application et le dispensing, destinés aux soins de la peau, au maquillage, au parfum et aux cheveux.

Cosmetic Valley ouvre une nouvelle antenne en Guyane

À l’occasion du congrès « Arbres et autres plantes de la cosmétopée » organisé à Cayenne, les 28, 29 et 30 mars, par le Cirad en partenariat avec le pôle, Cosmetic Valley, la Collectivité territoriale de Guyane et son agence de développement Guyane Développement Innovation (GDI) ont signé une convention pour créer « Cosmetic Valley Guyane », une nouvelle antenne du pôle de compétitivité qui sera en charge, notamment, de développer la cosmétopée amazonienne et l’industrie cosmétique en Guyane française. Cette signature prolonge le contrat-cadre signé en 2018 entre les mêmes partenaires, et vient parachever un rapprochement marqué par l’élection au board du pôle, en 2021, de deux administrateurs issus de ce territoire ultramarin : l’université de Cayenne et la société Bio Stratège.

Il s’agit d’une 5e implantation majeure pour Cosmetic Valley désormais présente à Chartres (siège) pour le Centre/Val-de-Loire et l’ensemble de l’hexagone, à Caen pour la Normandie, à Bordeaux pour la Nouvelle Aquitaine, à Bruxelles pour resserrer les liens avec l’Union Européenne, et à Cayenne pour la Guyane française.

« La signature de cet accord gagnant marque une avancée très importante pour Cosmetic Valley. Par l’ouverture d’une antenne en Guyane, le pôle ambitionne de renforcer l’excellence française dans le domaine des matières premières et de contribuer au développement des territoires ultramarins en s’appuyant sur le concept de cosmétopée. Il y a ici, à Cayenne, dans ce beau département qui possède un des plus grands massifs boisés naturels d’un seul tenant, des richesses marines et terrestres, des ingrédients authentiques et sûrs, un respect de la biodiversité qui protège la planète au moment même où nos clients sont demandeurs précisément de naturalité, d’un bien-être qui ne soit pas contraire à l’éthique, de productions locales et propres. Ce sont les caractéristiques de la filière cosmétique guyanaise. Pour réussir notre transition écologique et étendre notre réseau, mais aussi pour accroître le rayonnement international et continental du territoire, faire progresser son taux d’emploi et sa croissance, l’entraîner dans une démarche d’excellence, notre coopération prend tout son sens : celui d’une marche en avant », a déclaré Marc-Antoine Jamet, président de Cosmetic Valley.

« Le pôle Cosmetic Valley a pour vocation d’être leader mondial dans les métiers de la parfumerie-cosmétique et d’être moteur naturel de la filière française. Je me réjouis de signer une convention pour favoriser la création d’une antenne appelée : Cosmetic Valley Guyane. Je me réjouis surtout de voir bientôt émerger une cosmétique guyanaise et amazonienne, et de voir ainsi s’accroître le nombre d’emplois dans le secteur de la cosmétique sur notre territoire. Et vous me permettrez de souligner tout d’abord, l’exigence de respect des savoirs locaux accumulés par les populations locales, et que, si chaque maillon de la chaîne de valeur est concerné, nous devons néanmoins accorder une attention particulière à l’amont, c’est-à-dire aux producteurs sur lesquels reposent toutes les contraintes. Je souligne aussi la cohérence profonde de notre action : c’est un seul et même élan qui nous conduit à vouloir plus d’autonomie dans la conduite de nos affaires intérieures (et spécialement de notre politique de développement), et qui nous dicte une stratégie de valorisation de nos ressources naturelles », a poursuivi Gabriel Serville, président de la Collectivité territoriale de Guyane.

La cosmétopée ultramarine, priorité pour le pôle Cosmetic Valley

Afin de répondre aux exigences sur la naturalité des produits cosmétiques, les formules des produits intègrent de plus en plus d’ingrédients d’origine naturelle bio-sourcés. Le sourcing des matières premières naturelles respectant la biodiversité et basé sur le dialogue avec les pays producteurs est aujourd’hui une priorité. Initié par Cosmetic Valley en Polynésie française il y a une dizaine d’années, le programme cosmétopée fait l’objet de nombreux projets R&D et thèses aux quatre coins du globe, en partenariat avec les universités de plusieurs pays : Gabon, Madagascar, Mayotte, et tout particulièrement la Guyane, avec le projet « Valorextra » qui vise à recherche des molécules issues de cinq espèces de la filière bois de Guyane pour formuler un anti-oxydant cosmétique, et le congrès de Cayenne.

« Le développement de la cosmétopée à travers le monde, en partenariat avec les territoires et les institutions de recherche, représente un formidable levier de développement des connaissances sur le végétal, un outil de conservation de la biodiversité et des usages traditionnels des plantes, un moyen pour sensibiliser la population aux enjeux du climat. Il permet une prise de conscience des richesses territoriales et la mise en place de stratégies globales de recherche, de formation, et de développement économique responsable. Cosmetic Valley fait du développement de la cosmétopée dans les territoires d’outre-mer une priorité : la présence de territoires français sur tous les continents offre au « Fabriqué en France » la capacité de valoriser une biodiversité riche et encore peu connue. La prise en compte de la cosmétopée par chacun de ces territoires représente un formidable atout pour conserver leur richesse et mettre en place des filières économiques durables », indique-t-on au sein du pôle de compétitivité.

Paris Packaging Week se tiendra les 29 et 30 juin

L’événement Paris Packaging Week ouvrira ses portes les 29 et 30 juin prochains, Porte de Versailles, pavillon 7.2. C’est sous ce nouveau nom que sont réunis les salons PCD, référence des univers des parfums, de la cosmétique et des soins de la peau, ADF, expert des aérosols et systèmes de distribution, et PLD, spécialisé dans les boissons premium. Après une édition 2021 programmée à distance et un report de janvier 2022 à juin de cette même année, l’événement Paris Packaging Week est plus que jamais attendu. Les professionnels des secteurs de la beauté, des boissons haut-de-gamme, des aérosols et des systèmes de distribution, côté marques ou côté fournisseurs, ont déjà réservé leurs deux journées pour venir se rencontrer, s’inspirer et imaginer les packagings de demain.

Nouvelles dates et nouvelle identité : un salon pensé pour fédérer

Première édition sous cette identité, il s’inscrit dans une continuité. Lancé en 2001, PCD célèbrera sa 21e édition, ADF, inauguré en 2007, sa 15e édition, et PLD, qui les a rejoints en 2020, sa 2e édition. Au nouveau nom viennent s’ajouter un nouveau design et des ambitions renforcées. Ainsi, Paris Packaging Week s’offre un nouveau graphisme coloré et dynamique : une bannière réunissant trois secteurs complémentaires, fédérés par des synergies puissantes et des problématiques communes.
À travers ce changement d’image et de nom, Easyfairs, société organisatrice de l’événement, répond aux attentes d’une communauté de professionnels qui souhaite être connectée et bénéficier d’une visibilité accrue sur les marchés de l’innovation en matière de packaging haut-de-gamme et de luxe.

« La Paris Packaging Week et les nouvelles identités d’ADF, de PCD et de PLD vont créer une nouvelle expérience, à la fois lors des événements en présentiel et tout au long de l’année par le biais de nos canaux numériques, pour tous ceux qui sont impliqués dans l’innovation en matière d’emballage », a déclaré Renan Joël, directeur de division pour les salons d’emballage d’Easyfairs au Royaume-Uni, en France, en Italie et en Suisse.

Nouveau nom, nouveau design

La nouvelle identité graphique de Paris Packaging Week a été conçue par l’agence de design Butterfly Cannon, implantée à Londres et experte des secteurs premium et luxe. Son directeur artistique, Adam Ellis, décrit ainsi le travail de ses équipes : « Easyfairs nous a demandé de créer une identité de marque unique et personnalisable, qui reflète à la fois la précision et la passion de ses événements révolutionnaires. La photographie hyper réelle reflète les personnalités individuelles des différents événements et le sentiment viscéral d’enthousiasme que l’on ressent en visitant un salon, tandis que la typographie sur-mesure unifie les différents événements en une famille cohérente. »
Ce nouveau branding rythme désormais l’identité des salons de Paris, ainsi que de Londres et de Milan. Il présente une offre cohérente tant pour les marques que pour les fournisseurs.

Une édition estivale très attendue

Le contexte sanitaire ayant obligé à repousser l’événement, habituellement premier de l’année dans le calendrier, celui-ci se déroulera au début de l’été. Cette nouvelle date sera l’occasion de rencontres à un autre moment clé de l’année, propice à l’inspiration.
« Nous sommes heureux de l’enthousiasme des exposants et du public. 650 entreprises prestataires, dont des sociétés internationales, ont réservé leur stand. 10 000 participants sont attendus sur les deux jours. Nous sommes à trois mois de ce grand rendez-vous et les taux de pré-enregistrements sont excellents », s’est exprimé Josh Brooks, directeur de Paris Packaging Week.

 Les temps forts de l’événement Paris Packaging Week 2022

La nouveauté du salon : la galerie des Innovation Awards

 « Nous avons enrichi notre programme de temps forts pour répondre au mieux aux attentes des visiteurs du salon et pour valoriser l’excellence de nos exposants. Cette année, la nouveauté est notre Galerie des tendances. Nous avons défini, en relation avec nos Innovation Awards, cinq tendances clés, comme l’écoresponsabilité, la recharge, la personnalisation, …. La galerie exposera les lauréats des prix et des certificats, ainsi que quelques autres réalisations marquantes, pour inspirer les visiteurs. Située dans l’espace ADF, elle réunira les trois branches du salon, créant des liens et passerelles entre ces univers proches et complémentaires », explique Christelle Anya, directrice Communauté & Contenu de Paris Packaging Week.

Des événements dans l’événement 

Comme pour chaque édition, la visite du salon sera rythmée par des temps forts et quelques espaces incontournables :

  • La Galerie des Pentawards : ce concours international annuel du design packaging met à l’honneur ses lauréats.
  • Les Espaces de convivialité et de networking : le bar à champagne et le bar à cocktails, ainsi que la soirée du premier jour sont propices à la création de liens et à des moments de partage en toute décontraction.
  • Les trois cérémonies des Innovation Awards : la remise des prix est très attendue par les marques comme par les fournisseurs. Celle des PCD aura lieu le mercredi, et celles des ADF et PLD le jeudi.
  • L’Écotour : il proposera une visite guidée des innovations dans le domaine de l’écoresponsabilité pour aider les donneurs d’ordres à créer l’emballage parfait pour leur produit et leurs engagements RSE.

Honneur aux étudiants !

Les futurs professionnels du monde du packaging sont mis à l’honneur à travers des partenariats établis avec des grandes écoles de ce secteur. Deux concours ont été lancés : le Concours étudiants ESEPAC/ESP pour sa 6e édition, et le Challenge étudiants ESIReims, qui est une première.

  • 6e édition du Concours étudiants ESEPAC/ESP parrainé par Estée Lauder Companies.

Les élèves de l’ESEPAC et de l’ESP ont réfléchi autour du sujet « Comment réinventer les expériences de consommation uniques, luxueuses et durables pour le marché des parfums de luxe ? ». Leur défi était de proposer des projets « radicaux à disruptifs ». Les projets seront présentés sur scène et exposés sur le stand des écoles. Le concours était parrainé par Marc Lechanoine, Global Senior Vice President Creative Design & Packaging Innovation chez The Estée Lauder Companies Inc.

« Nous sommes fiers d’organiser le concours ESEPAC/ESP et de dévoiler sur le salon les projets réalisés par les étudiants en 2021. Les partenariats établis avec ces écoles se renforcent chaque année. Ces concours nous confortent dans notre rôle de contribuer à révéler les acteurs, les talents de demain dans l’univers du packaging », s’est exprimée Christelle Anya.

  • 1er challenge étudiants ESIReims, avec Shiseido et HudaBeauty

La Paris Packaging Week et l’ESIReims ont offert à ses étudiants la possibilité de participer à deux concours de conception et de design Packaging organisés en collaboration avec deux marques prestigieuses. Le défi lancé par HudaBeauty était de réinventer complètement une palette de 18 teintes en la rendant rechargeable et recyclable ou bien de repenser le packaging secondaire du parfum phare de la marque « Kayali » en intégrant l’écoconception et l’industrialisation dans le projet. 

La marque Shiseido s’est, quant à elle, focalisée sur un cahier des charges très précis. Les étudiants en 3è année de l’ESIReims devaient revisiter la gamme WASO dédiée à la GEN Z. 

« Le travail avec les entreprises est l’ADN de l’ESIReims depuis 40 ans. Le challenge proposé par Huda Beauty et Shiseido est une véritable opportunité pour l’ESIReims de demander à ses élèves ingénieurs de répondre à des problématiques industrielles concrètes. Les sujets sont passionnants, le challenge immense. C’est un plaisir pour nous d’y répondre, d’autant plus que l’investissement des marques partenaires est remarquable », s’est félicité Serge Odof, Directeur de l’ESIReims.

Des conférences pour éclairer les problématiques actuelles

Paris Packaging Week consacre trois salles à la tenue de conférences et tables rondes. Celles-ci feront intervenir des experts du secteur sur les sujets phares qui intéressent les marques comme les fournisseurs.

De grandes thématiques, propres aux trois pôles, sont déjà annoncées :
Conférences PCD : recyclabilité dans l’industrie cosmétique, progrès et défis des petites marques de cosmétique bio…
Conférences ADF : grandes tendances dans les aérosols, transformations par le développement durable, évolutions réglementaires…
Conférences PLD : prochains enjeux du marché, e-commerce, lutte anti-contrefaçon, travail à distance…

À ne pas manquer : le 29 juin, en ouverture de la cérémonie des PCD Innovation Awards, Franck Marilly, Président et CEO de Shiseido Europe et Global Fragrance évoquera sa vision du développement durable et de l’avenir du packaging du groupe. A suivre également l’entretien exclusif entre Michel Fontaine, Président du CNE (Comptoir National de l’Emballage) et Jacques Playe, Directeur mondial de l’emballage et du développement des produits chez L’Oréal. 

Programme complet et détaillé sur www.parispackagingweek.com

Une nouvelle solution logistique destinée aux professionnels de la cosmétique

Dachser, prestataire international de solutions transports et logistiques, sera présent du 5 au 7 avril au salon « in-cosmetics Global », à Paris, pour présenter sa nouvelle solution industrielle, Dachser Cosmetics Logistics, adaptée aux besoins des clients du secteur des cosmétiques.

Premier pays exportateur de produits cosmétiques, la France est au cœur de ce marché mondial avec 16 milliards de produits exportés par an. Selon Dachser, le pays offre le périmètre idéal pour le lancement de sa nouvelle solution pour l’industrie cosmétique. Le déploiement de Dachser Cosmetics Logistics se poursuivra en Allemagne au second semestre 2022, puis sur les marchés stratégiques par la suite.

Quelque 50 % des exportations françaises de cosmétiques sont réalisées vers l’Allemagne, le Royaume-Uni, l’Espagne et l’Italie. Entre 2019 et 2021, le chiffre d’affaires du secteur cosmétique dans les activités de Dachser France et Maghreb a augmenté de 25 %.

Une réponse adaptée et personnalisée aux défis du secteur

Pour accompagner cette croissance, Dachser a mis en place une solution de transport et de logistique adaptée et personnalisée. « Grâce à son expertise en matière de logistique, combinée à un solide réseau mondial, Dachser Cosmetics Logistics est le partenaire idéal pour la distribution de produits cosmétiques sur tous les marchés européens et les principaux marchés mondiaux, en fonction des besoins de chaque entreprise », déclare Bruno Guillard, Corporate Business Development Manager Dachser Cosmetics Logistics.

S’appuyant sur une démarche durable solidement ancrée et une politique de sûreté et de sécurité de premier ordre, évaluée par Ecovadis et certifiée Full OEA, Dachser Cosmetics Logistics propose également des services d’entreposage complets et des services à valeur ajoutée sur mesure tels que le défilmage de palettes, la gestion des retours et des invendus, l’installation et la recharge de présentoirs, la création et la récupération de coffrets, etc.

Dachser Cosmetics Logistics permet de répondre aux attentes des fabricants de parfums et produits de toilette, grossistes et commerces détaillants en parfumerie et produits de beauté, adhérant ou non à une association telles que Cosmetic Valley, Cosmed ou Innov Alliance en France.

La solution Dachser Cosmetics Logistics sera présentée en détail aux professionnels du secteur lors du salon in-cosmetics Global.

Deux lauréats pour l’édition 2022 du concours international « The Cosmetic Victories »

Concours de dimension mondiale et de référence pour l’innovation, The Cosmetic Victories a pour objectif de mettre en lumière, au sein de la filière cosmétique, les travaux de recherche les plus prometteurs qu’ils soient issus de jeunes pousses, de PMEs ou de laboratoires « académiques », français ou étrangers. 

Plusieurs collèges d’experts internationaux ont d’abord examiné quelque 80 projets, enregistrés par Cosmetic Valley, issus de 18 pays.

Puis les six équipes encore en lice pour la finale de la 7e édition ont été entendues par un jury placé sous la présidence de Marc-Antoine Jamet, président du pôle de compétitivité, qui a dévoilé le 22 mars les noms des lauréats du palmarès 2022 lors d’une cérémonie diffusée sur Cosmetic Valley TV.

Dr Sami Halila, chercheur au sein du centre de recherches sur les macromolécules végétales (CNRS Grenoble, France) est lauréat du Prix Académique pour son projet Carbogel, « a Simple and Eco-Friendly Carbohydrate-Based Gelling Agent for Oily Phase. »

Le projet porte sur la gélification supramoléculaire de liquides organiques, comme des huiles, solvants ou esters gras, par des dérivés de monosaccharides qui s’auto-assemblent en un réseau 3D. Les gélateurs « sucrés » sont synthétisés selon une méthode éco-compatible et efficace (réaction dans l’eau). La gélification est effectuée par sonication, ou par chauffage/refroidissement, ou par dilution. Le gel peut servir de matrice stimuli-sensible pour la délivrance contrôlée d’agents cosmétiques. Carbogel contribue à la cosmétique « verte » et durable en limitant notre impact environnemental et social.

Le Prix Industriel a été attribué à Stefan Mazy, président-fondateur de la société Derma Health Solutions Pty Ltd (Australie) pour son projet SkinRNA Micro-cell Test. Première mondiale, ce test de diagnostic épigénétique est susceptible d’être répété en patch et en laboratoire qui quantifie l’efficacité des soins de la peau grâce à l’activité de l’expression génétique en temps réel. Le dispositif recueille plus de 15 000 gènes, tandis que ses algorithmes fournissent des scores d’activité d’expression génétique pour les fonctions de la peau, notamment la production de collagène et d’élastine ainsi que l’inflammation cutanée. Après l’intervention du produit, un deuxième test est effectué pour mesurer la nouvelle activité des gènes par rapport aux repères initiaux. Les consommateurs peuvent ensuite répéter les tests à intervalles réguliers pour suivre l’amélioration de la peau au niveau génétique sans attendre de signes visibles.

Photo : à gauche, Dr Sami Halila ; à droite : Stefan Mazy.

Expanscience lance un nouvel actif et annonce la certification FairWild de sa filière Schisandra en Chine

Expanscience, entreprise française et familiale indépendante, société à mission et certifiée B Corp, lance Calybiota Bio, un nouvel actif certifié Cosmos. Par ailleurs, engagé pour des filières responsables, Expanscience a accompagné financièrement et techniquement la coopérative chinoise qui cueille les baies de Schisandra dans le Sichuan (actif Sweetone Bio) pour la certification FairWild. C’est la première fois qu’une coopérative obtient cette certification en Chine. Expanscience avait par ailleurs obtenu le label Fair for Life pour ses actifs Macaline et Skinhairgium Bio, issus de la filière maca au Pérou, (2019) et pour son beurre d’illipé bio sourcé en Indonésie (2021).

Calybiota Bio, un actif 100% naturel qui rééquilibre le microbiote de la peau

Extrait riche en polysaccharides de calices de Kapokier rouge, un arbre sourcé en Afrique, Calybiota Bio est certifié Cosmos par Ecocert.

Particulièrement recommandé dans les produits cosmétiques de soin et d’hygiène intime, une étude clinique* a démontré son rôle protecteur de la flore vaginale. Cette étude a révélé un effet prébiotique au niveau de cette flore, une réduction de l’inflammation et des sensations d’inconfort, une hydratation de la zone intime et une amélioration du confort sexuel.

Calybiota Bio est également recommandé pour les peaux à tendance acnéique, atopique/eczémateuse ou hypersensibles, ainsi que pour les formules déodorantes. Cet actif permet de protéger et de maintenir l’équilibre du microbiote cutané.

FairWild, une certification qui garantit la durabilité de la ressource sauvage et le respect des communautés locales

Dans la continuité de sa démarche RSE « impACT », Expanscience a par ailleurs soutenu la certification FairWild de sa filière de cueillette de baies sauvages de Schisandra à partir desquelles est extrait l’actif anti-imperfection Sweetone Bio.

L’un des principaux enjeux de cette certification est la garantie de durabilité de la gestion des ressources non cultivées. Schisandra sphenanthera est une plante grimpante sauvage, originaire du centre et de l’ouest de la Chine, également présente en Corée et au Japon. Elle est référencée dans la médecine traditionnelle chinoise.

Ressources courantes des ingrédients cosmétiques, les plantes non-cultivées doivent être soumises à une gestion très prudente pour garantir le respect de pratiques rigoureuses, raisonnées et respectueuses de la ressource et de son habitat. Cette gestion permet de s’assurer que les quantités prélevées sont en adéquation avec les quantités disponibles et que les pratiques de cueillette garantissent le renouvellement et la préservation de la ressource et de son environnement.

Premier laboratoire pharmaceutique et dermo-cosmétique et premier fournisseur d’ingrédients cosmétiques à avoir été certifié B Corp en 2018, Expanscience est membre de l’Union pour le BioCommerce Ethique (UEBT) depuis 2011. Aujourd’hui « société à mission », l’entreprise s’engage à œuvrer pour le bien commun au travers de sa raison d’être « aider les individus à façonner leur bien-être » et s’est fixé une série d’objectifs sociaux et environnementaux tels que la contribution « à l’atteinte des objectifs climatiques planétaires » et « la protection et la régénération de la biodiversité ». L’accompagnement des partenaires pour la certification de ses filières d’approvisionnement s’inscrit dans cette démarche.

Expanscience en bref :

  • 4 activités : Dermo-Cosmétique, Rhumatologie, Dermatologie, Actifs Cosmétiques
  • CA 2021 : 287,2 M€ dont 74 % réalisés à l’international
  • 1098 collaborateurs et 14 filiales
  • 3,2% du CA investis en recherche et développement

À propos de la certification FairWild

La demande croissante en plantes sauvages – pour l’alimentation, les cosmétiques, le bien-être et les médicaments – peut être néfaste pour les espèces végétales potentiellement vulnérables. La norme FairWild et son système de certification fournissent un cadre mondial pour la collecte durable et le commerce équitable des ingrédients issus des plantes sauvages. Les entreprises participant à FairWild peuvent apporter une contribution positive à la conservation et à la gestion des espèces et des paysages sauvages, ainsi qu’aux moyens de subsistance des communautés rurales qui en dépendent.
En savoir plus : www.fairwild.org


* Etude clinique réalisée avec Calybiota Bio formulé à 1,25% dans un gel nettoyant et une crème et utilisés en combinaison tous les jours pendant 28 jours sur 4 groupes de femmes (post-vaginose, post-mycose, irritation et post-ménopause ; n=48).

Les effets du soleil sur la peau sous-estimés

La protection solaire est aujourd’hui un vrai enjeu de santé publique : chaque année dans le monde, de nombreux cancers de la peau sont détectés du fait d’expositions excessives aux rayonnements solaires. Par ailleurs, l’exposition solaire est reconnue comme un facteur de vieillissement prématuré de la peau ainsi que d’autres pathologies dermatologiques. Afin de mieux comprendre les habitudes solaires de la population, La Roche-Posay vient de mener avec Ipsos une étude épidémiologique de grande ampleur auprès de 17 000 personnes, dans 17 pays.

L’étude a été présentée en avant-première à Boston dans la session « late breaking news » du Congrès Annuel de Dermatologie de l’AAD (American Academy of Dermatology) 2022.

De mauvaises habitudes et idées reçues qui ont la peau dure

Quelque 88 % des répondants n’utilisent pas systématiquement de mesures de protection lors de leur exposition au soleil, et 15 % n’utilisent jamais de crème solaire. Près de la moitié des répondants ne pensent pas que les crèmes solaires protègent efficacement du cancer de la peau (50 %) et même des coups de soleil (40 %).

Cette protection insuffisante serait en grande partie liée à des idées reçues ou une méconnaissance des rayonnements du soleil, selon lesquelles :

  • Il ne serait pas utile de se protéger par temps nuageux ou pendant l’hiver. Ainsi, 77 % des répondants à l’échelle mondiale ont déclaré ne pas se protéger du soleil tout au long de l’année, mais seulement lors des journées chaudes et/ou leurs vacances ;
  • Les personnes déjà bronzées auraient moins voire plus du tout besoin de se protéger (selon 44 % des répondants) ;
  • Il ne serait pas indispensable de renouveler l’application d’une protection solaire. Seuls 26 % des répondants l’appliqueraient régulièrement, c’est-à-dire a minima toutes les deux heures.

De plus, seuls 12 % des répondants au total, et 19 % des personnes de phototype 1 (peau très blanche et très sensible, cheveux et yeux clairs), utilisent toutes les protections nécessaires lors de leur exposition au soleil. Outre la crème solaire, cela concerne : le fait d’essayer de rester à l’ombre (77 % des répondants), d’éviter de s’exposer entre midi et 16h (66 %), de porter des lunettes de soleil avec filtres UV (56 %), de se couvrir la tête (55 %) ou encore de porter des vêtements protecteurs (44 %).

Selon le Pr Thierry Passeron, dermatologue à Nice, France : « Cette grande étude épidémiologique menée à l’échelle internationale était indispensable pour mieux comprendre les habitudes de photoprotection des populations. Elle démontre un vrai besoin d’éducation, tant au sein de la population générale que des populations dites « à risque », qui même si elles se protègent mieux, ont des connaissances limitées sur les risques du rayonnement solaire. Cette étude menée par La Roche-Posay démontre notamment que 61 % des répondants méconnaissent les différences entre les UVA et UVB ! »

Une protection solaire insuffisante renforcée par des standards de beauté et une certaine addiction au soleil

Le retour des beaux jours signe aussi le retour des mauvaises habitudes en matière de protection solaire. Celles-ci ont pu être favorisées par les nombreuses communications sur les risques de carence en vitamine D. En effet, 87 % des répondants affirment que l’exposition au soleil leur permet de synthétiser de la vitamine D et 82 % d’entre eux que l’exposition solaire leur donne de l’énergie.

En cause également, les standards de beauté : 72 % de la population mondiale revendique le fait qu’une peau bronzée est attrayante, 64 % qu’elle donne l’impression d’être en bonne santé, et 49 % qu’il est inenvisageable de rentrer de vacances sans être bronzé.

Une population mondiale qui sous-estime souvent l’importance de la prévention

Si 88 % des répondants se disent conscients du fait que le soleil peut provoquer des problèmes cutanés et 81 % qu’il accélère le vieillissement de la peau, ils sont pourtant loin d’agir en conséquence.

Alors que l’auto-surveillance de la peau permet la détection précoce d’éventuelles lésions cutanées suspectes, le grand public dispose souvent de connaissances limitées en la matière et ne sait souvent pas dans quel cas consulter un dermatologue. De plus, 76 % des répondants ont déclaré ne pas régulièrement – voire jamais – consulter de dermatologue pour surveiller leurs grains de beauté.

Enfin, 57 % des personnes interrogées disent regretter de ne pas s’être davantage protégées du soleil par le passé, mais de profondes disparités sont à noter :

  • Entre les hommes et les femmes (respectivement 49 % et 65 %) ;
  • Entre les nouvelles et les anciennes générations (62 % des 18-24 ans, 65 % des 25-34 ans contre 47 % pour les plus de 60 ans) ;
  • Entre les profils à risque (présentant un mélanome, des lésions pré-cancéreuses, une allergie au soleil ou un système immunitaire affaibli) et le reste de la population (79 % versus 54 %).

Un enjeu de santé publique croissant

Alors que de nombreux scientifiques alertent sur l’augmentation des cancers d’ici à 2050, persistent de mauvaises habitudes. La Roche Posay estime qu’il faut sensibiliser la population mondiale aux outils de prévention, aux méthodes de protection, et à l’importance de la détection précoce.

« En tant que marque n°1 de dermocosmétiques recommandée par les dermatologues dans le monde, il est de notre devoir de sensibiliser le grand public à la prévention des cancers de la peau et plus largement aux effets néfastes du soleil. Depuis plus de 10 ans, nous menons des études avec des scientifiques du monde entier, contribuons à la formation des professionnels, et proposons des dépistages gratuits dans plus de 30 pays du monde. Cette étude mondiale prouve que notre travail de sensibilisation est loin d’être fini, et nous allons poursuivre nos efforts pour faire reconnaître la protection solaire comme un enjeu majeur de santé publique », a commenté Laetitia Toupet, présidente de La Roche-Posay international.

[podcast] Luc Gabriel relance Cherigan

Luc Gabriel, déjà connu pour The Different Company, a racheté la marque Cherigan créée en 1929. Il nourrit de grandes ambitions pour ces parfums artistiques et mélange créations d’origine et nouvelles propositions. Avec cette marque, Luc Gabriel entend faire partager ses découvertes. Interview à écouter en intégralité ici et à retrouver en partie dans le numéro 33 de la revue Industries Cosmétiques.

Pourquoi la vidéo d’un hydravion vintage ? La réponse à écouter par Luc Gabriel…

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