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wesource présente son nouvel actif booster de bronzage

site-industries-cosmetiques Une dune de sable avec des vagues qui boostent le bronzage.

Une peau bronzée est souvent synonyme de bien-être, de santé et même de jeunesse. Cependant, si le soleil apporte de nombreux bénéfices, une exposition prolongée et non protégée expose à des risques pour la peau comme un vieillissement cutané prématuré.
Afin d’apporter un effet bonne mine sans exposition au soleil, wesource, la marque d’ingrédients actifs cosmétiques de Seppic, a développé Lumipod, activateur de mélanine pour une peau hâlée naturellement. Lumipod est un activateur de bronzage qui stimule la synthèse de mélanine et son transfert des mélanocytes vers les kératinocytes, sans UV.

Ce nouvel ingrédient actif, Aminovector estérifié, est une molécule définie, 100 % d’origine naturelle, approuvé Cosmos, à la composition et la forte performance stables et reproductibles.

Des tests in vivo comparatifs avec l’acétyl tyrosine ont démontré que Lumipod à 1% présente une meilleure efficacité avec des résultats significativement visibles dès 4 jours (6 % de variation de bronzage, mesuré par la variation d’ITA – Angle Typologique Individuel – sur volontaires) et sur la durée (15 % de variation maintenus 15 jours après l’arrêt de l’application).

Anne-Sophie Dutailly, Chef produit wesource, déclare : « Ce nouvel ingrédient actif est un bel exemple d’innovation qui illustre l’expertise et la capacité de Seppic à répondre au double besoin de naturalité et d’efficacité exprimé par les consommateurs. Les équipes de Seppic conçoivent, éprouvent et fabriquent des ingrédients dans le plus grand respect des personnes et de l’environnement, pour que la science des ingrédients progresse au bénéfice de tous. »

Une nouvelle classe d’enzymes végétales

site-industries-cosmetiques Un gros plan d'une fleur violette présentant une nouvelle classe d'enzymes végétales.

Plant Advanced Technologies annonce la découverte d’une nouvelle classe d’enzymes végétales, publiée en exclusivité dans la revue scientifique PNAS1, avec ses partenaires de l’Université de Kyoto (Japon) et de l’Université de Lorraine (France).

Plant Advanced Technologies PAT, société de biotechnologie végétale spécialisée dans l’identification, l’optimisation et la production de biomolécules végétales rares à destination des industries cosmétiques, pharmaceutiques et de protection des végétaux en agriculture, annonce la publication dans la revue américaine PNAS, des résultats d’une étude à laquelle elle a participé, investiguant une nouvelle classe de molécules de défense chez les végétaux dont les mécanismes de synthèse étaient jusqu’alors inconnus.

O-prényltransférases aromatiques : nouvelles enzymes aux pouvoirs insoupçonnés

La découverte porte sur une nouvelle classe d’enzymes identifiée dans des plantes produisant des substances naturelles de défense très originales (substances O-prénylées). La découverte de ces enzymes et des mécanismes de défense associés participent à une meilleure connaissance de l’immense diversité chimique présente chez les végétaux.

Une première mondiale grâce à une collaboration académique internationale

Ces travaux ont été réalisés dans le cadre des collaborations scientifiques entre Plant Advanced Technologies PAT, le Laboratoire Agronomie et Environnement (LAE) de l’Université de Lorraine et le laboratoire d’étude de l’Expression de gènes végétaux de l’Université de Kyoto. Ils ont été rendus possibles grâce à des contrats industriels (LAE-PAT) et au travers des projets collaboratifs Bioprolor2 (financé par la région Grand Est) et Impact Biomolécules (financé par l’I-Site Lorraine Université d’Excellence).

Une découverte exploitable par PAT sur tous ses marchés

Le potentiel de cette découverte est très prometteur car il donne un outil biotechnologique supplémentaire à Plant Advanced Technologies PAT pour la création et la production industrielle de nouveaux actifs innovants et déclinables sur les différents marchés servis par Plant Advanced Technologies PAT et ses filiales : pharmaceutique, cosmétique, nutraceutique et protection des végétaux en agriculture.

Frédéric Bourgaud, directeur de la recherche et de l’innovation de Plant Advanced Technologies PAT et co-auteur de l’article publié dans la revue PNAS, explique : « Cette découverte va nous permettre d’augmenter le portefeuille de molécules que nous sommes capables de générer. Nous étudions d’ores et déjà la mise en œuvre de ces enzymes dans les procédés industriels de Plant Advanced Technologies PAT, notamment au sein notre filiale (100%) Cellengo, productrice de molécules rares à haute valeur ajoutée par procédés de fermentation. Le savoir-faire de Cellengo est un atout unique pour exploiter cette découverte afin de proposer de futurs actifs remarquables à visée industrielle. »

1 Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America (PNAS)

Report du Simppar

site-industries-cosmetiques Une affiche pour le 30e anniversaire du Simpar présentant un événement du Report du Simpar.

Créé en 1991 par la Société française des Parfumeurs, le Simppar, salon professionnel dédié aux matières premières et services destinés à l’industrie de la parfumerie, devait fêter ses 30 ans les 2 et 3 juin 2021 pour sa XVe édition.

Les récentes décisions gouvernementales ne permettront pas au salon de se tenir comme prévu. Les organisateurs ont pris la décision de le reporter à 2022. 

La XVe édition du Simppar se tiendra ainsi les 1er & 2 juin 2022, Espace Champerret à Paris.

Le plan de salle et les numéros de stands de cette année seront appliqués à l’identique pour le Simppar 2022. 

Découvrez notre hors-série international

site-industries-cosmetiques Les industries cosmétiques présentent des produits adaptés aux appareils mobiles pour un usage domestique en janvier 2020.

Bonne nouvelle ! Notre hors-série international 2021-2022 est sorti. Dans cette édition, vous pourrez lire nos dernières actus produits & marchés, nos avis d’experts en cosmétologie, en recherche et en réglementation.

Sans oublier notre dossier qui met en lumière toute la filière parfumerie-cosmétique d’un pays. Après la Corée du Sud, le Japon, les États-Unis, la Finlande dans nos éditions précédentes, c’est au tour de la Suisse d’être mise en avant… La Suisse, un pays qui évoque tout de suite la qualité…

Notre hors-série, tout en anglais, est d’ores et déjà disponible en téléchargement sur notre site. Les abonnés le recevront sous peu dans leur boîte aux lettres. Et les visiteurs des salons internationaux pourront le récupérer aux entrées…

Bonne lecture !

Le groupe Albéa récompensé par EcoVadis avec le niveau Gold.

site-industries-cosmetiques Cote de durabilité Ecodias or.

La plateforme internationale d’évaluation de la performance développement durable des entreprises a noté la performance d’Albéa en 2021 sur les thèmes du développement durable dans quatre grandes catégories : environnement, social & droits de l’homme, éthique et achats eesponsables.

Avec une note globale de 67/100, Albéa rejoint les 5 % des entreprises les plus performantes évaluées par EcoVadis et les 3% des entreprises évaluées dans la catégorie  « Industrie manufacturière de produits en plastique ».

« En tant que groupe comptant 31 sites dans 13 pays, notre défi est d’atteindre un niveau RSE homogène sur l’ensemble de nos sites, déclare Gilles Swyngedauw, vice-président développement durable et innovation. L’évaluation d’EcoVadis nous aide à améliorer de manière continue notre performance et de structurer et déployer efficacement notre programme RSE. »

« Nous sommes très honorés d’être reconnus comme l’une des entreprises les plus durables de notre industrie, ajoute François Luscan, président et CEO d’Albéa. Cette reconnaissance nous motive à renforcer notre position de leader d’opinion, d’innovateur et de partenaire de confiance et à poursuivre notre collaboration étroite avec nos clients et nos parties prenantes. »

Cosfibel Group optimise sa sortie de crise

site-industries-cosmetiques Un homme et une femme posant pour une photo devant un bureau, représentant la sortie de crise optimisée du Groupe Cosfibel.

Loin de renier les difficultés qui affectent les filières luxe et beauté, le groupe Cosfibel résiste, anticipe et rebondit. Acquisitions, partenariats, ouverture sur de nouveaux marchés, développement de l’offre, nouvelle direction, tels sont les axes d’une stratégie résolument offensive.

Si Cosfibel a vu son chiffre d’affaires diminuer de 16 % en 2020, le groupe a néanmoins gagné des parts de marché en beauté. Il a étendu son réseau commercial et procède actuellement à plusieurs acquisitions de niches en France et à l’étranger. Grâce à une création adaptée, le groupe a su préserver ses marges opérationnelles et s’est constitué un trésor de guerre pour faire face à toute opportunité. Enfin, Alain Chevassus organise sa succession avec l’arrivée de Marie Sermadiras en tant qu’Executive Vice President de Cosfibel Group.

Une présence internationale renforcée

Cosfibel a mis la situation économique à profit pour réfléchir, réorganiser, consolider son offre et sa présence sur le terrain. Son réseau d’urban networks se renforce en Asie (Shanghai et Singapour) et en Europe (Suisse et Benelux), ainsi qu’en France avec le récent rachat de l’entreprise Boite Alu à Bordeaux.  

Acquisitions et partenariats au service du proche import et de la diversification 

Intégrée au pôle Industries, Boite Alu permet au groupe de se renforcer dans le packaging métal, notamment dans les domaines de l’alimentaire et de la beauté. Cosfibel a acquis 100 % du capital de MMB, un trader de proche import situé à Breda et spécialiste du pack pliant et rigide pour le marché de l’épicerie fine notamment. En outre, MMB, dispose d’un site exclusif de sourcing à Varsovie, une réelle opportunité pour nos clients.

La société Laser dirigée par Ségolène De Pommereau vient de rejoindre le groupe et fera l’objet d’une joint-venture (51/49). Laser s’illustre dans le domaine des diffuseurs d’huiles essentielles, dessinés en France et développés en Asie. Riche d’un réseau de proche import, elle possède de fortes connexions avec les marques de pharmacie, parapharmacie, phyto-cosmétiques et aromathérapie. 

Ces trois sociétés disposent d’un potentiel de croissance supérieur à celui du marché. Leur acquisition devrait représenter en année pleine un chiffre d’affaires de 15 M$, soit exactement le terrain cédé pendant l’année 2020. 

Enfin, à court terme, Cosfibel poursuivra sa politique d’acquisitions dans le domaine du luxe et des marchés fine food.

Une politique RSE consolidée

Depuis la naissance de son programme Cares voilà 10 ans, Cosfibel conserve son avance avec ses programmes sociaux. Au sein du groupe, la dimension RSE s’est diffusée par capillarité à tous les niveaux avec l’obtention de la Gold Medal d’Ecovadis. 
Cosfibel fait ainsi partie du 1 % des entreprises les mieux notées du secteur en matière d’environnement, de droits de l’homme et du travail, d’éthique et de développement durable.  

Cosfibel, demain : Marie Sermadiras monte à bord

« Du haut de ses 31 ans, Marie est une personnalité forte, pleine d’élan vital et d’énergie positive. Proche de nos valeurs, douée d’une bonne écoute et foncièrement team worker, explique Alain Chevassus. Je l’accompagnerai comme Executive Chairman du groupe avec la volonté de préparer le passage d’une PME à une ETI, dotée d’une magnifique équipe et d’un très beau projet », conclut celui-ci.

Seppic se renforce sur le marché de la nutricosmétique

site-industries-cosmetiques Un champ contenant des herbes hautes.

La société EPI France, spécialisée depuis plus de 20 ans dans le développement et la fabrication d’ingrédients actifs d’origine naturelle pour les marchés de la nutricosmétique et de la cosmétique, rejoint Seppic.

EPI France (Extraction Purification Innovation France) est une société familiale française avec un savoir-faire unique. Le haut niveau de qualité et de performance appliqué à la fabrication de ses ingrédients permet à EPI d’offrir sur le marché l’un des ingrédients phare, Ceramosides, dont l’efficacité par voies orale et topique sur la beauté de la peau a été scientifiquement prouvée et validée par des études cliniques. Seppic distribue cet ingrédient depuis plus de 10 ans.

Déjà reconnu sur le marché de la cosmétique, Seppic est précurseur sur le marché de la nutricosmétique et accompagne, depuis une dizaine d’années, ses clients pour le développement de compléments alimentaires beauté, partout dans le monde.

Cette acquisition vient renforcer l’expertise et le savoir-faire de Seppic en extraction botanique et sa position de fournisseur d’ingrédients de haute qualité destinés au marché de la beauté. Avec le transfert de savoir-faire et les outils de production internes d’EPI, Seppic maîtrise ainsi l’intégralité du processus de recherche, de développement et d’industrialisation, depuis l’extraction des matières premières jusqu’aux principes actifs.

Le marché de la nutricosmétique représente entre 6 et 7 milliards de dollars en 2020 à l’échelle mondiale, avec une croissance comprise entre 8 et 10% par an. Ce dynamisme fait écho à l’essor du concept de beauté holistique et à une forte demande de la part des consommateurs de plus en plus tournés vers des compléments alimentaires alliant efficacité, qualité et naturalité.

Jean Baptiste Dellon, directeur général de Seppic, déclare : « Cette acquisition offre à Seppic de nouvelles perspectives de croissance sur les marchés de la cosmétique et de la nutricosmétique. Nous sommes très heureux d’accueillir les équipes d’EPI France au sein de Seppic. Notre coopération de longue date et les valeurs d’expertise, de qualité et d’attention apportées à nos clients que nous partageons avec EPI France nous permettront d’opérer rapidement des synergies pour le développement et la commercialisation de nouveaux ingrédients. »

Valérie Bizot, présidente et co-fondatrice d’EPI France déclare : « Notre partenariat avec Seppic a toujours été très fructueux et nous sommes convaincus qu’avec une entreprise innovante comme Seppic, le savoir-faire et les compétences développés par EPI France continueront à progresser et à être valorisés. »

Global Cosmetics Cluster, réseau international de clusters cosmétiques

site-industries-cosmetiques Logo du cluster mondial des cosmétiques.

Quinze associations de cinq continents lancent le premier réseau international officiel de clusters cosmétiques, Global Cosmetics Cluster, une porte d’entrée vers l’internationalisation des PME.

Quelque 15 clusters et associations nationales de la cosmétique et de la parfumerie, ont annoncé le lancement officiel du Global Cosmetics Cluster, le réseau mondial représentant l’ensemble de la chaîne de valeur de l’industrie de la beauté : ingrédients, formulation, fabrication, packaging, produits finis, distribution et logistique, ingénierie / machines-outils, lignes d’assemblage, tests et analyses / contrôle qualité, services, recherche et formation.

Ce secteur était évalué à 380,2 milliards de dollars en 2019 et devrait atteindre 463,5 milliards de dollars d’ici 2027. La croissance du marché des cosmétiques est due à la prise de conscience croissante de l’importance de la beauté et du bien-être dans la population féminine et à l’attractivité de l’industrie pour les femmes entrepreneurs et la main-d’œuvre. Le marché de la beauté est innovant, dynamique et progressif, contribuant à l’amélioration du mode de vie, en plus d’être aidé par un revenu par habitant en constante augmentation dans les pays émergents1

La nouvelle entité comprend 15 membres fondateurs, représentant plus de 3 700 entreprises sur les cinq continents. Le conseil d’administration de la nouvelle association est présidé par Cosmetic Valley (France), avec Beauty Cluster (Espagne) en tant que trésorier et Canadian Cosmetics Cluster en tant que secrétaire et complété par Cosmetics Cluster UK.

Selon Marc-Antoine Jamet, président de Cosmetic Valley : « Global Cosmetics Cluster a été initié et lancé par Cosmetic Valley en 2016 pour fédérer nos forces et nos ressources, partager les bonnes pratiques en cosmétique et travailler sur des projets communs. Et ce processus sera d’autant plus important dans le contexte de la crise sanitaire qui amène de nouveaux défis, favorisant un nouvel équilibre des pouvoirs dans le secteur cosmétique au niveau mondial, avec de nouveaux concurrents, mais aussi de nouvelles opportunités. Les défis sont difficiles à surmonter. Nous devons les affronter ensemble. « Global Cosmetics Clusters » a été mis en place pour responsabiliser chacun de ses membres et nous rendre collectivement plus forts. Je suis très tenté de citer Henry Ford, figure emblématique d’une précédente révolution industrielle qui disait : se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est un succès. Travaillons ensemble et renforçons notre coopération ! »

En 2019, ses membres ont décidé de se structurer en groupes de travail avec pour objectif de devenir une association officielle, ce qui est maintenant pleinement réalisé. En 2020, une nouvelle branche, Global Cosmetics Cluster-Europe, a été créée avec le soutien du programme COSME de la Commission européenne.

Le but du nouveau méta cluster est d’accroître la collaboration internationale, tant pour le business que pour des projets de recherche et d’innovation, en créant des opportunités de réseautage et de partenariats, aidant ainsi ses membres à se développer.

Global Cosmetics Clusters Adhérents 1- Management - Info marché

1 https://www.alliedmarketresearch.com/cosmetics-market

Pot Sulapac d’origine biologique pour la nouvelle crème déodorante i+m

site-industries-cosmetiques Une crème et des œufs sont placés dans un bol blanc.

La société berlinoise i+m a choisi Sulapac Nordic Collection by Quadpack pour les nouveaux venus de sa gamme de produits cosmétiques naturels.

La marque allemande primée i+m a lancé un nouveau produit au sein de sa ligne « We reduce! ». Elle a commercialisé le déodorant en crème à la rose dans un emballage innovant en matière de développement durable : le pot de 30 ml de la Sulapac Nordic Collection de Quadpack, le fabricant et fournisseur international d’emballages destinés aux produits de beauté.

Composé d’un matériau compostable d’origine biologique qui se biodégrade sans laisser de microplastiques, cet emballage a été développé par Quadpack suivant les standards de durabilité les plus élevés. « Pour nous, Quadpack est un partenaire, qui nous a aidés depuis le début à faire de gros progrès en matière d’emballage durable. Cela faisait longtemps que nous étions à la recherche d’une alternative sans plastique et le pot Sulapac offre tous les avantages de celui-ci tout en étant compostable et composé de matières premières renouvelables », explique Jörg von Kruse, Managing Director de la société i+m.

Fière de son histoire, proposant depuis toujours des produits de soins pour la peau équitables et végans, la société i+m a gagné trois prix liés au développement durable pour ses produits. La ligne « We reduce! » fut la dernière finaliste du German Sustainability Award Design 2021 grâce à son emballage exempt de plastique et à ses produits cosmétiques naturels certifiés. Approchant le secteur des produits de beauté de façon holistique tout en y intégrant l’écologie, le bien-être animal et l’économie sociale, i+m choisit ses partenaires selon leur capacité de développer les produits cosmétiques « profondément durables » du futur.

Les pots Sulapac Nordic Collection by Quadpack s’adaptent parfaitement au concept : composés de bois et de liants végétaux, des matières premières biologiquement recyclables, la gamme propose une approche déterminante et innovante au défi des déchets plastiques.

Pierre Fabre annonce le retour progressif à la normale de ses activités après avoir été victime d’une cyberattaque

site-industries-cosmetiques Cyberattaque, activités Pierre Fabre+

À la suite de la cyber attaque subie par le groupe Pierre Fabre le 31 mars dernier, les opérations de remédiation informatique ont permis le retour progressif à la normale des principales opérations de l’entreprise.  

Après le redémarrage des activités de distribution effectif depuis le 15 avril, les principales usines du groupe situées à Gien (médicaments), Soual (dermo-cosmétiques) et Avène (dermo-cosmétiques) ont redémarré progressivement leurs productions industrielles depuis le lundi 26 avril. L’usine de fabrication d’actifs pharmaceutiques et dermo-cosmétiques de Gaillac avait pu quant à elle poursuivre ses opérations. 

En France comme à l’international, l’activité commerciale n’a jamais été interrompue et les opérations de distribution ont désormais repris normalement dans la totalité des filiales du groupe.

Grâce aux stocks de sécurité et à la continuation des livraisons prioritaires, le groupe est parvenu à assurer la continuité de la mise à disposition de ses traitements thérapeutiques aux patients. Par ailleurs, les stocks de produits dermo-cosmétiques détenus par les grossistes, les distributeurs et les pharmaciens ont été globalement suffisants pour absorber la demande des consommateurs.  

Par mesure de précaution, et conformément à son plan prévisionnel de gestion des risques, le système informatique du groupe avait été immédiatement mis en veille le 31 mars dernier pour éviter la propagation du virus. Les clients, partenaires et autorités de santé ont été régulièrement tenus informés de la situation et une plainte a été déposée, l’attaque ayant été revendiquée.

Dans le cadre des opérations de remédiation, tous les systèmes d’information et supports informatiques du groupe ont été passés en revue pour vérifier ou restaurer leur intégrité et pour renforcer leur sécurisation.  

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