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Upcycling : Omegablue, nouvel ingrédient de Givaudan Active Beauty produit à partir de myrtilles sauvages

Givaudan Active Beauty réutilise des coproduits de l’industrie alimentaire et récupère les graines de Vaccinium myrtillus pour créer un ingrédient naturel en mesure de réparer les problèmes de sécheresse cutanée, d’irritation et de desquamation liés à une barrière lipidique amoindrie.

Omegablue est un ingrédient cosmétique créé à partir de myrtilles sauvages surcyclées, une plante qui pousse en Europe centrale et du Nord. Il est utilisé pour une réparation avancée de la peau.

Traditionnellement utilisées par l’industrie alimentaire pour leur jus et leur sucre, les myrtilles sont également une source importante d’anthocyanidines extraites de la pulpe et de la peau du fruit pour l’industrie des compléments alimentaires et l’industrie pharmaceutique. 

En outre, selon Givaudan Active Beauty, les minuscules graines des baies contiennent jusqu’à 20 % d’acide linoléique (oméga-6) et d’acide α-linolénique (oméga-3) dans un rapport optimal ; ces composés étant tous deux connus pour leurs capacités à améliorer l’hydratation et la fonctionnalité de la barrière cutanée. 

« Fabriqué par un procédé au CO2 supercritique dans un processus de surcyclage des graines de cette baie unique de myrtille Vaccinum, Omegablue a été développé comme agent apaisant topique pour les peaux sensibles et abîmées. Il calme efficacement l’inconfort cutané de manière transitoire ou curative et contient des acides gras essentiels de type sébum formant une barrière protectrice des agents externes », souligne Giada Maramaldi, responsable de la catégorie soins personnels chez Givaudan Active Beauty.

Selon l’entreprise, l’efficacité de l’Omegablue a été démontrée dans la déplétion induite par les tensioactifs lors de tests cliniques. « Trois jours après la lésion, la zone traitée a retrouvé sa fonction de barrière cutanée. L’Omegablue est également très efficace sur les peaux présentant une inflammation chronique (psoriasis) car il réduit de manière significative la gravité des érythèmes, jusqu’à 27%, et la formation de squames de 28 % en quatre semaines. Les résultats sont encore meilleurs pour les peaux souffrant d’eczéma, puisque la gravité de l’érythème a diminué de 37,5 % et le taux de démangeaison de 42,8 %. En outre, le PASI (Psoriasis Area Severity Score) et l’EASI (Eczema Area Severity Score) sont nettement améliorés, de 27 % et 35 % respectivement », indique-t-on chez Givaudan Active Beauty.

Pour illustrer le potentiel d’Omegablue dans les applications pour le soin de la peau et du corps, Givaudan Active Beauty a formulé une huile de douche baptisée S.O. Smooth, avec une texture légère et soyeuse. Enrichie en huile de chia, un ingrédient naturel qui nourrit la peau en douceur, cette huile de douche nettoie et protège la peau contre les agressions extérieures et « restaure et maintient la barrière cutanée pour ramener la peau dans sa zone de confort. »

L’Omegablue fait partie de la collection upcycling de Givaudan Active Beauty lancée en octobre 2020.  Cette collection comprend huit autres ingrédients fonctionnels.

Selon Givaudan Active Beauty, la réduction des déchets est aujourd’hui la nouvelle norme en matière de durabilité et les produits cosmétiques contenant des ingrédients recyclés ou upcyclés séduisent quelque 69 % des consommateurs, en particulier au Brésil (80 %) et en Chine (74 %)1. « Les consommateurs sont prêts à aller au-delà et à faire de l’upcycling des produits de beauté une tendance majeure pour les années à venir, sans renoncer aux éléments clés de la protection de la peau », précise-t-on au sein de l’entreprise.

1 – CMI Global Study, mai 2020.

VPI signe le bouchon du nouveau parfum Girl de Rochas

ROCHAS (Interparfums) a choisi VPI (Faiveley Plast Beauty), spécialiste français dans l’injection et la décoration de pièces plastiques esthétiques pour la réalisation du bouchon de Girl de ROCHAS.
Lancé en France en mars 2021, Girl de Rochas rend hommage à la femme et s’inscrit pleinement dans les attentes des consommatrices actuelles qui recherchent toujours plus de création respectueuse de l’environnement.

Interparfums souhaitait sublimer le capot de cette toute nouvelle fragrance féminine par une teinte claire et mate dans l’esprit du flacon au design minimaliste.
Le bouchon cylindrique lisse en plastique partiellement recyclé est composé de PP biosourcé pour la partie intérieure, de PET recyclé et de PP biosourcé chargé minéral pour l’extérieur. VPI garantit ainsi un minimum de 42% de matière recyclée et biosourcée en poids dans le produit.
Ces combinaisons de matières ont permis d’obtenir et de respecter la même teinte vert pastel du flacon. « Les actions respectueuses de l’environnement sont fermement ancrées dans la politique de notre entreprise. C’est pour répondre aux sollicitations de nos clients et les accompagner dans leur stratégie et démarche RSE que nous avons développé ce bouchon » souligne Marc Beltrami, Directeur Commercial VPI. Ce capot, véritable défi technique, est le fruit d’une étroite collaboration entre les équipes d’Interparfums et de VPI dans le respect d’une démarche d’éco-conception. Il habille les 3 contenances développées par Rochas : 40, 60 et 100ml

Congrès My Blue CosmET’IC : les microalgues et la mer au service de la beauté

Banyuls accueillera du 10 au 12 mars 2021, au sein du laboratoire Arago, lieu historique de la recherche sur le milieu marin, les rencontres internationales de « la beauté et la mer » My Blue CosmET’IC.

Il s’agit de trois jours de congrès destinés à la filière cosmétique organisés avec le soutien de la Fondation Tara Ocean, du CNRS et de Sorbonne Université. Une demi-journée d’échange avec des startups issues de laboratoires de recherche est également planifiée.

L’objectif : faire un état des lieux des dernières recherches et initiatives sur le milieu aquatique dédiées à l’ensemble de la filière cosmétique, depuis l’ingrédient au packaging, en passant par la formulation.

Les microalgues seront au centre des débats. Utilisées dans des formules chimiques sous forme soluble ou dispersible (sous la forme de microparticules qui restent en suspension), elles produisent également des substances fractionnées chimiquement (hydrolysées en sucres) de façon à disposer de matières premières utiles à la fabrication de polymères biosourcés. 

Les emballages biosourcés ou écoresponsables seront évoqués à plusieurs reprises, notamment à l’occasion d’une présentation de l’initiative Spice (pour Sustainable packaging initiative for cosmetics) lancée par L’Oréal et le spécialiste du conseil environnemental Quantis pour construire l’avenir de l’emballage durable et réduire l’empreinte environnementale des produits cosmétiques.

Au sein du comité scientifique : des académiques et des industriels. « My Blue CosmET’IC est un congrès unique par sa valeur scientifique ainsi que par l’étendue des domaines abordés. Des experts internationaux partageront leurs travaux sur la biodiversité, le biomimétisme, la biodégradabilité. Ingrédients et emballages seront à l’honneur. Notre volonté est de donner une vision claire et une lecture objective des données publiées dans la littérature. Par exemple, la Febea démontrera que la cosmétique représente une infime partie de la pollution aquatique. L’impact sur l’environnement des filtres solaires sera par ailleurs abordé dans le cadre de la présentation d’outils dédiés », indique Claudie Willemin, ancienne présidente de l’IFSCC (International Federation of Societies of Cosmetic Chemists), à l’initiative de l’événement avec Oceanics.

Membre du comité scientifique et intervenant, Stéphane Bruzaud, enseignant-chercheur au sein de l’Institut de recherche Dupuy de Lôme (Université de Bretagne-Sud) conçoit par exemple des polymères biosourcés et biodégradables pour les domaines de l’emballage et la cosmétique en particulier (production à partir de biomasse végétale essentiellement par fermentation). Il travaille également à l’adaptation les propriétés de ces polymères d’origine bactérienne et biosourcée en jouant sur la structure des PHA (polyhydroxyalcanoates) ainsi que sur le suivi de la biodégradabilité dans différents milieux, notamment marins. Il œuvre par ailleurs, en partenariat avec l’association Tara Océan, à la caractérisation des pollutions environnementales par les plastiques et microplastiques avec la conception de dispositif d’extraction pour les quantifier et les qualifier.

Greensea, filiale de Greentech, spécialiste de la culture des microalgues et la transformation des algues en ingrédients innovants, est le sponsor premium de l’événement. « My Blue CosmET’IC  est une manifestation importante. Sponsoriser l’événement nous permet de soutenir la filière et a pour objectif, à titre industriel, d’initier de nouvelles collaborations. Nous sommes convaincus de l’intérêt du congrès, il nous a semblé naturel d’appuyer la démarche initiée par Claudie Willemin », précise Jean-Yves Berthon, président directeur général du groupe Greentech.

Autres sponsors : L’Oréal, Pierre Fabre ainsi que Codif (spécialiste des biotechnologies et de la biologie cutanée développant de nouveaux actifs et des modèles d’études uniques), Basf, DSM, Grosset-Fournier & Demachy (cabinet de conseils en propriété industrielle), et Seppic,  Mibelle Group sponsorise pour sa part My Blue CosmET’IC Innov’AwaRD, compétition de startups.

Le congrès My Blue CosmET’IC sera accessible en distanciel, en direct, avec un format à la fois interactif et immersif.


Greensea, sponsor premium

Filiale du groupe Greentech, Greensea (ex-Aquamer) fournit depuis 35 ans le marché mondial en algues, microalgues et ingrédients actifs issus de plantes aquatiques et destinés à différents marchés, dont la cosmétique.

L’entreprise affiche quelque 10 000 litres de capacité de production en réacteurs tubulaires et annulaires, et collabore avec la société portugaise Allmicroalgae, filiale à 50 % de Greentech, qui produit plus de 100 tonnes de microalgues chaque année.

Greensea participe au programme d’investissement d’avenir Oceanomics en lien avec les expéditions Tara.


Un consortium européen autour des PHA

L’Institut de Recherche Dupuy de Lôme est partie prenante du projet européen NENU2PHAR dont l’objectif est de développer une filière bioplastique, à base de PHA, européenne et durable.

Sélectionné dans le cadre de l’appel à projets H2020, le projet rassemble quelque 17 partenaires. Le consortium a tenu sa réunion de lancement en septembre 2020. Initié pour une durée de 4,5 ans et coordonné par le CEA, il est soutenu à hauteur de près de 5 millions d’euros par la Commission européenne. De la sélection de souches bactériennes ou de microalgues pour la production de PHA à la formulation et le traitement de biopolymères et la production de huit produits différents à base de PHA pour des marchés applicatifs variés, dont la cosmétique : ce projet couvre l’ensemble de la chaîne de valeur de la production et l’utilisation de bioplastiques à base de PHA.

Arcade Beauty présente un échantillon pour Prisme Libre de Givenchy

Pour soutenir le lancement de son produit iconique, la Maison Givenchy a confié à Arcade Beauty le développement d’un poudrier permettant de reproduire en petit format la gestuelle d’application de la poudre libre, baptisée « shake – stamp – blend  ».

Ce thermo poudrier est l’une des récentes innovations présentées par le groupe. Il comporte quatre alvéoles contenant quatre teintes de poudre et un tamis dont les perforations réalisées au laser reproduisent le logo 4G de la Maison, à l’image du boîtier du produit vente. 

Il suffit de soulever l’opercule, de déposer la houppette fournie avec l’échantillon sur le tamis et de secouer le poudrier. La texture ultra fine ainsi mélangée s’applique sur le visage à l’aide de l’applicateur, d’un geste rapide et précis pour rehausser l’éclat du teint et lui donner un fini mat velouté.

Clean Beauty : Jolimoi s’engage avec Beautylitic

Bousculés par une crise de confiance des consommateurs qui redoutent les risques des produits cosmétiques sur leur santé, les industriels de la beauté retravaillent leurs formules pour garantir de la transparence aux consommateurs, c’est l’émergence de la “clean beauty”.

Afin d’offrir plus de lisibilité et de transparence à ses clients, Jolimoi, start-up de la beautytech française spécialisée dans le social selling de produits de beauté, s’est alliée à Beautylitic, une plateforme Saas BtoB d’analyse des cosmétiques.

Évaluant quatre critères clés – la santé, la pollution, la biodiversité et l’activité du produit – la plateforme fixe un cadre pour permettre aux labos de recherche, industriels et marques de développer des cosmétiques durables et transparents. 

« La Clean Beauty est née aux États-Unis et désigne à l’origine une cosmétique qui ne comprendrait pas d’ingrédient controversé pour la santé (paraben, phénoxyéthanol, colorants synthétiques, silicone, tensioactifs sulfatés), explique Candice Colin, fondatrice de Beautylitic. On se rend compte que le terme est parfois utilisé de manière opportuniste. Certains l’assimilent à la cosmétique bio, tandis que d’autres englobent des produits composés d’ingrédients naturels. D’autres enfin prennent en compte le sourcing, la fabrication et son impact environnemental dans cette notion. Cette confusion ne facilite évidemment pas la compréhension de la “clean beauty”. »

Dès janvier 2019, Jolimoi est l’une des toutes premières entreprises à adopter la solution Beautylitic pour analyser les produits de beauté distribués sur sa plateforme et notamment l’exposition aux substances controversées. Les produits évalués par Beautylitic sont ensuite classifiés en trois catégories, en fonction de la composition de leur formule. Cette classification est réévaluée de manière automatique (grâce au logiciel Beautylitic) sur une base hebdomadaire afin de tenir compte des évolutions scientifiques et réglementaires.

« Jolimoi a été la première entreprise de distribution de produits de beauté française à faire ce pari audacieux d’assurer aux consommateurs toute la transparence de la composition des produits de beauté commercialisés, à l’appui d’un partenaire indépendant pour être à la hauteur de la confiance de ses clients, se félicite Isabelle Rabier, fondatrice de la société. Grâce à la technologie de Beautylitic, les stylistes beauté sont davantage informés sur la composition des produits et peuvent mieux conseiller leur communauté de clients. Ce choix précurseur s’inscrit pleinement dans la promesse de Jolimoi de renverser la chaîne de valeur du secteur de la beauté en offrant une information plus transparente, plus qualifiée et personnalisée aux consommateurs, afin qu’ils posent un choix plus avisé. »

Transparence, sécurité, et Green Sciences, L’ Oréal dévoile sa vision de la beauté du futur

 L’Oréal, qui a engagé une profonde transformation de sa Recherche & Innovation en orientant ses méthodes vers les Green Sciences (Biosciences), se fixe pour objectif que 95% de ses ingrédients soient issus de sources végétales renouvelables, de minéraux abondants ou de procédés circulaires à l’horizon 2030, et que 100% de ses formules soient sans impact négatif sur l’environnement aquatique, afin d’offrir aux consommateurs des produits toujours plus sûrs, plus performants et plus respectueux de l’environnement. 
A l’heure où la protection de la planète est un impératif absolu et où la pandémie de Covid-19 renforce la demande de produits à la fois bons pour la santé et sans danger pour l’environnement, L’Oréal ouvre un nouveau chapitre de sa R&I en considérant le respect de la nature comme un moteur pour créer des alternatives renouvelables aux ingrédients issus du pétrole. Ainsi, le Groupe s’appuiera sur les récents progrès des Green Sciences (Biosciences), pour cultiver durablement des ingrédients et extraire le meilleur de la nature grâce à des procédés de haute technologie. En 2020, 80% des matières premières du Groupe sont déjà aisément biodégradables, 59% sont renouvelables, 34% sont naturelles ou d’origine naturelle. 29% des ingrédients utilisés dans les formules de L’Oréal ont été élaborés selon les principes de la Chimie Verte1. 

Nicolas Hieronimus, Directeur Général Adjoint de L’Oréal, en charge des Divisions, déclare : « Avec les Green Sciences, nous entamons un nouveau chapitre de la Recherche de L’Oréal, la force motrice de notre entreprise depuis sa création. Notre ambition à l’horizon 2030 est d’offrir aux femmes et aux hommes partout dans le monde des produits cosmétiques toujours plus performants, sûrs, et respectueux de l’environnement ». 

Pour réaliser cette transition, L’Oréal mobilise toutes les ressources des Green Sciences : les récents progrès des connaissances agronomiques, les développements des biotechnologies, la Chimie Verte, la science de la formulation, les outils de modélisation. Le Groupe mise aussi sur des partenariats stratégiques avec des universités, des start-ups et ses propres fournisseurs de matières premières. 

Barbara Lavernos, Directrice Générale Recherche, Innovation et Technologie, souligne : « Grâce aux Green Sciences, nous allons relever l’ambitieux défi scientifique et technologique que représente cette transition. Et c’est cette approche vertueuse basée sur l’économie circulaire qui nous permettra d’atteindre de nouveaux niveaux de performance et de découvrir des bénéfices cosmétiques inédits, sans compromis sur la qualité ni la sécurité, au service d’une beauté respectueuse de notre planète ». 

Toujours plus de transparence pour permettre aux consommateurs de faire des choix responsables 

Pour répondre à l’exigence légitime et grandissante des consommateurs en matière de transparence sur les ingrédients et la composition des produits, L’Oréal renforce encore sa démarche et lance de nouvelles initiatives afin d’améliorer l’information et le dialogue et permettre à chacun de faire des choix éclairés. 

  • L’Oréal développe sa démarche de transparence à travers son site “Au coeur de nos produits”. Lancé en mars 2019, il répond aux questions du grand public sur les ingrédients utilisés dans les formules et sur la composition de ses produits. La plateforme, qui référence près de 1.000 ingrédients, est désormais accessible dans 45 pays, en 8 langues (FR/EN/CN/GER/SP/IT/RUS/PORT). Ces contenus, basés sur les avancées scientifiques, se déploient progressivement sur les sites web des grandes marques du Groupe (L’Oréal Paris, Garnier, La Roche-Posay, Maybelline, Redken, Essie, Kérastase, Yves Saint Laurent…). 
  • Parallèlement, un dispositif d’affichage de l’impact environnemental et social des produits cosmétiques, lancé en juin 2020 dans le cadre du programme L’Oréal for the Future, se déploie à l’international avec la marque Garnier et progressivement dans l’ensemble des marques du Groupe. 
  • Courant mars 2021, pour s’adresser directement au grand public, une campagne de sensibilisation sur la démarche Au coeur de nos produits sera organisée sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn, YouTube…) dans une vingtaine de pays pour permettre aux consommateurs d’échanger avec les chercheurs. Un dispositif pilote, réalisé en janvier 2021 en France, a permis d’aller à la rencontre des internautes et d’instaurer avec eux un dialogue très fructueux. 

Toujours plus de sécurité pour le consommateur et pour l’environnement 

La sécurité des produits et la prise en compte de leur éventuel impact sur l’environnement sont au coeur de l’engagement de L’Oréal. 
Le groupe a été pionnier dans le développement des méthodes alternatives aux essais sur les animaux en créant des modèles de peaux reconstruites pour évaluer la sécurité des produits. Dès 1989, L’Oréal a cessé de tester ses produits sur des animaux, soit 14 ans avant que la réglementation ne les interdise. Le Groupe s’est aussi mobilisé pour faire reconnaître ces méthodes alternatives en Chine. Depuis 2014, les autorités chinoises ne testent plus les cosmétiques non fonctionnels produits localement et ce progrès s’étend peu à peu : depuis 2021, ces mêmes cosmétiques importés en Chine n’ont plus besoin d’être testés sur des animaux, sous réserve d’un certificat de conformité aux bonnes pratiques de fabrication. 

En matière environnementale, L’Oréal continue à améliorer le profil environnemental de ses formules. Il s’était doté dès1995 d’un laboratoire de recherche pour mesurer et modéliser l’impact de ses produits sur les écosystèmes (eaux et sols) et sur la biodiversité. Dans le cadre de son programme L’Oréal for the Future, le Groupe s’est fixé pour objectif d’ici à 2030 que 95% de ses ingrédients soient biosourcés, issus de minéraux abondants ou de procédés circulaires, et que 100% de ses formules soient évaluées grâce à sa plate-forme de tests environnementaux, afin de garantir leur innocuité sur la diversité des écosystèmes aquatiques côtiers et d’eau douce. 

ADF&PCD et PLD Digital Days les 23, 25 et 30 mars : les inscriptions sont ouvertes

ADF&PCD et PLD s’associent au salon Packaging Première et à la prestigieuse compétition de design, les Pentawards pour proposer trois “Digital Days”.

Les Digital Days ont pour vocation de créer des opportunités de rencontres entre designers, acheteurs et fournisseurs, de favoriser la découverte des dernières tendances et innovations des grandes marques, et les nouveaux emballages de l’année avec les ADF&PCD et PLD Innovation Awards.

Les inscriptions pour les ADF&PCD et PLD Digital Days les 23, 25 et 30 mars sont ouvertes.

Les trois Digital Days seront les premiers événements digitaux de l’année pour le packaging et ont pour ambition d’apporter l’inspiration, le networking et les dernières innovations sur les marchés de la beauté, des boissons, des aérosols et des dispensings. 

Pour s’inscrire.

Report de Pharmacosmetech en septembre 2021

L’actualité sanitaire et les contraintes liées à la pandémie amènent les organisateurs de Pharmacosmetech, salon dédié aux services, équipements et process pour les industries pharmaceutique et cosmétique, à reporter l’événement initialement prévu en juin 2021.

Souhaitant apporter à leurs exposants, visiteurs et partenaires des conditions de business optimales, les organisateurs du salon ont pris la décision de décaler la 3e édition – qui devrait s’appeler Pharmatech Cosmetech – au 14, 15 et 16 septembre prochains.

Leur objectif : « proposer une 3e édition innovante et performante, alliant une offre industrielle et technologique de pointe et une demande qualitative. »

La 2e édition du salon s’était tenue les 15, 16 et 17 septembre 2020 au Parc des Expositions de Chartres.

Croda acquiert Alban Muller, l’expert d’ingrédients actifs naturels

Croda International Plc (“Croda”), qui utilise la science intelligente pour créer des ingrédients et des technologies de haute performance afin d’améliorer la vie (Smart science to improve lives) annonce aujourd’hui l’acquisition de la société Alban Muller International.

Avec un revenu annuel de 18 M€ pour l’année au 30 juin 2020, Alban Muller est un leader dans la création et la fourniture d’ingrédients botaniques et naturels pour l’industrie mondiale de la beauté. Cette acquisition élargit le portefeuille d’ingrédients actifs de Croda pour les clients du secteur cosmétique.

Créée en France en 1978 et employant aujourd’hui 90 personnes, la société Alban Muller est réputée pour sa démarche éco-responsable de développement d’extraits botaniques innovants, d’ingrédients de formulation naturels et de produits cosmétiques bio.

En mettant l’accent sur les matières premières de provenance locale, elle s’intègre parfaitement en complétant l’activité « Beauty Actives » de Croda, représentée par Sederma et Crodarom, sociétés également basées en France.

Cette acquisition permet à Croda d’accéder à certaines des technologies les plus innovantes du marché des plantes, notamment la Zéodratation, une technologie de séchage à faible consommation d’énergie qui préserve les ingrédients actifs les plus sensibles.

Avec Alban Muller reconnue comme un leader du développement durable sur le marché, cette acquisition va renforcer l’important portefeuille d’ingrédients biosourcés de Croda et confirme son engagement à devenir le fournisseur d’ingrédients innovants le plus durable.

Cette opération permet aux clients de Croda d’accéder à des ingrédients actifs naturels de haute technologie tout en améliorant la croissance future d’Alban Muller grâce à l’accès au réseau de vente international de Croda et à son expertise en matière de formulation. Maarten Heybroek, Croda Consumer Care President explique : « Nous admirons la stratégie RSE et le vaste savoir-faire d’Alban Muller depuis de nombreuses années et nous sommes ravis d’accueillir l’équipe dans la famille Croda. L’acquisition d’Alban Muller renforce la position de Croda en tant que leader mondial des actifs naturels et botaniques, et nous aide à répondre à la demande croissante des clients en quête d’ingrédients d’origine naturelle pour améliorer le profil développement durable de leurs produits. »

Monsieur Alban Muller ajoute : « Je suis heureux de passer le relais à Croda pour étendre davantage la démarche éco-responsable pour laquelle je milite depuis tant d’années. Croda est le partenaire idéal pour augmenter la croissance des produits naturels, renforcer notre expertise et nous donner accès à de nouveaux marchés. Je suis sûr que cette association stimulera les futurs développements d’ingrédients naturels qui seront très bénéfiques pour les consommateurs. » 

La transaction est soumise aux conditions habituelles de pré-clôture et devrait être clôturée d’ici la fin du premier trimestre 2021.

Visitez les sites :
www.crodapersonalcare.com
pro.albanmuller.com

Des capots très green

Spécialiste d’une offre parfumerie clefs en main, Coverpla s’est dès l’origine démarquée par des capots injectés en surlyn sans insert. Aujourd’hui, l’entreprise niçoise diversifie sa gamme de capots dans un objectif 100 % éco-responsable.

Depuis ses premières collections de capots, Coverpla s’est appliquée à travailler des moules, dont les empreintes permettant à la pièce de se clipser directement sur le cache-pompe. Ces capots pour la plupart injectés en surlyn sont ainsi devenus de parfaits candidats au recyclage.

Mais pour répondre à la demande de diversification, Coverpla a développé avec quelques-uns de ses partenaires, des capots en alu, zamac, bois ou autres résines, exigeant la présence d’un insert.

Une offre en mouvement

En ligne avec ses engagements en termes d’éco-conception, Coverpla mène une réflexion sur des capots monomatériaux ou autour d’un concept d’insert amovible.

L’entreprise profite notamment des innovations de son partenaire espagnol Pujolasos pour étoffer son offre d’un modèle de capot exclusif réalisé en bois FSC doté d’un insert liège compressé, ou bien d’une pièce en PP dont l’insert se retire facilement par le consommateur afin d’être recyclé.

Compte à rebours pour le recyclable

Les prochains capots en bois de Coverpla baptisés Too-Doo et Torrid disposeront tous deux d’un insert en liège. Puis, la quasi-totalité des capots bois du catalogue pourra disposer d’un insert en liège.

Enfin, Coverpla a développé un moule spécifique qui lui permettra de réaliser prochainement un capot en matière biosourçée de type PLA, 100 % biodégradable. 

D’autres développements suivront au fil des demandes client.

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