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Un actif issu des algues remporte le « Green Ingredient » Gold Award au salon in-cosmetics 2016

Seppic remporte le « Green Ingredient » Gold Award au salon in-cosmetics 2016, pour Ephemer, principe actif issu de Celebrity, l’innovation technologique dans la culture cellulaire des macroalgues. Ce prix est décerné par un jury d’experts de la cosmétique. Il récompense un ingrédient ayant un impact significatif pour préserver l’environnement et utilisé depuis plus d’un an dans les applications cosmétiques.

Ephemer, est un extrait de gamétophytes, cellules de macroalgues cultivées en laboratoire à une étape éphémère du cycle de vie de l’algue Undaria Pinnatifida. Lors de cette étape, les cellules de macroalgues sont connues pour contenir davantage de molécules anti-oxydantes. Cet actif contribue à la protection de la peau en renforçant sa capacité anti-oxydante, ralentissant ainsi la formation de radicaux libres responsables du vieillissement.

La technologie basée sur la culture in-vitro permet à Seppic de limiter le prélèvement de ressources marines pour la production de l’actif Ephemer. Cette récompense illustre l’engagement de l’entreprise dans le développement d’une innovation responsable sur le long terme.

Guénolé Le Calvez, directeur de BiotechMarine, filiale de Seppic dont est issue l’innovation, a déclaré : « Cette récompense est une fierté pour Seppic et BiotechMarine, elle illustre l’audace et la créativité dont ont fait preuve les équipes de recherche pour aboutir à cette innovation unique qui offre d’importantes perspectives pour de nouveaux actifs responsables. »

Plus d’informations dans le numéro 6 (juin 2015) de la revue Industries Cosmétiques.

Sepiplus S devient le polymère liquide et concentré le plus polyvalent

Photographier - Livre photo

Seppic présente les nouveautés du Sepiplus S. Une étude récente a montré qu’en plus de sa forme concentrée, Sepiplus S est ultra flexible au niveau du mode d’introduction en formulation.

Multifonctionnel (épaississant, stabilisant et texturant) et respectueux de l’environnement, il devient maintenant le polymère liquide et concentré le plus polyvalent !
Sepiplus S est un polymère liquide, préneutralisé, prêt à l’emploi pour la formulation à froid. La nouvelle étude montre qu’il peut être incorporé à tout moment du procédé : avant, pendant, ou après l’émulsification et même être ajouté dans une émulsion froide déjà formée ! Il assure une parfaite stabilité et une viscosité identique quelque soit le mode d’introduction. Il est l’ingrédient incontournable du formulateurpour ajuster la viscosité finale ou pour « rattraper » une formule !

Sepiplus S assure un bon compromis entre performance technique et respect de l’environnement, car il est issu du procédé de fabrication “Technologie Latex Inverse”
consommant peu d’énergie. Sous forme concentrée, il permet de diminuer le transport d’eau par rapport aux grades standards (non concentrés) et utilise moins d’énergie pour sa fabrication que les polymères poudres précipités.

[www.seppic.com]

L’Oréal reconnue pour la 7e fois comme l’une des sociétés les plus éthiques au monde

Institut Ethisphere - Éthique

L’Oréal a été reconnue par l’Institut Ethisphere, leader mondial dans la définition et la promotion des standards d’éthique des affaires, comme l’une des « Sociétés les Plus Éthiques au Monde » (2016 World’s Most Ethical Company).

Cette reconnaissance est attribuée aux entreprises qui agissant conformément à leurs principes, travaillent sans relâche pour que la confiance soit une composante clé de leur ADN d’entreprise, et façonnent les futurs standards de leur industrie en adoptant dès aujourd’hui les bonnes pratiques de demain.

Être lauréat pour la 7e fois démontre l’engagement de L’Oréal en faveur de standards éthiques élevés.

Jean-Paul Agon, président-directeur général, a déclaré : « Nous sommes honorés d’avoir été sélectionnés par Ethisphere, cette récompense est un motif de fierté pour l’ensemble des collaborateurs de L’Oréal. Au cours des 10 dernière années, nous avons vu croître les attentes concernant le comportement responsable des entreprises. Ces 10 prochaines années, l’Éthique sera un élément essentiel pour avoir le droit d’opérer, et non plus une simple option facultative. L’Éthique sera un avantage compétitif déterminant pour les entreprises pionnières dans ce domaine. »

Emmanuel Lulin, directeur général de l’éthique, délégué du président, a indiqué : « Cette septième reconnaissance nous conforte dans l’idée qu’une entreprise dotée d’une solide culture d’intégrité a bien plus de valeur. Les quatre Principes Éthiques de L’Oréal – Intégrité, Respect, Courage et Transparence – nous aident à prendre de meilleures décisions et à faire face aux enjeux éthiques d’aujourd’hui et de demain. »

« Les entreprises comptent sur Ethisphere pour élever et mesurer de manière continue les standards en matière du comportement des entreprises. Celles qui sont à l’avant-garde dans les domaines de la citoyenneté, de l’intégrité et de la transparence créent plus de valeur pour leurs investisseurs, les communautés dans lesquelles elles sont présentes, leurs clients et leurs collaborateurs, renforçant ainsi un avantage commercial durable, explique Timothy Erblich, président-directeur général d’Ethisphere. Nous félicitons tous les collaborateurs de L’Oréal pour cette récompense. »

L’évaluation « Sociétés les Plus Éthiques au Monde » s’appuie sur le Ethics Quotient™ (EQ) de l’Institut Ethisphere, mis au point après plusieurs années de recherche, vérifié et affiné à l’aide du conseil d’experts. Ce quotient permet d’évaluer quantitativement et de manière objective, cohérente et normalisée la performance des entreprises. Les informations recueillies offrent un échantillonnage complet des critères de référence relatifs aux compétences clés, plutôt qu’à l’ensemble des aspects de la gouvernance d’entreprise, de la gestion des risques, du développement durable, de la conformité et de l’éthique.

Les scores sont attribués dans cinq catégories clés : programme éthique et conformité (35 %), responsabilité sociale et sociétale (20 %), culture éthique (20 %), gouvernance (15 %) et leadership, innovation et réputation (10 %), et sont communiqués à chacune des sociétés prenant part au processus.

[https://www.loreal.com/group/governance/acting-ethically.aspx]

L’esprit des parfums Jean-Paul Gaultier mis en scène par Cosfibel Premium

parfum - Puig

Le groupe Puig célèbre les parfums Jean-Paul Gautier avec ces deux coffrets fêtes des mères et fêtes des pères. L’univers industriel du film publicitaire entre humour et séduction s’exprime là dans un coffret pop up signé de l’expertise Cosfibel.

Les deux versions hommes et femmes sont de conception identique : le coffret à rabat aimanté est entièrement recouvert d’un papier polyester argent imprimé en quadrichromie dans une harmonie chromatique recherchée. Ce polyester argent offre aux décors imprimés toutes sortes de reflets par transparence. Il permet en outre l’impression de motifs, tels que ce plumetis argent qui apparait en réserve sur les deux faces latérales.

Que la fête commence
A l’intérieur, un double plateau permet de soutenir la scène. D’un côté il est collé à la face interne du rabat, de l’autre il forme le plancher du décor et le couvercle de la base où viennent se loger les produits. A l’intérieur, la base est tapissée jusqu’à un centimètre du bord, d’une carte dont l’épaisseur forme un rebord qui sert de butée à ce plancher.
La mise en scène est composée de pièces imprimées, découpées au laser et contrecollées par un système de pliage/collage qui renforce l’effet de relief. Silhouettes, engrenages et autres motifs, jusqu’au logo au centre, prennent l’ombre et la lumière du polyester argent imprimé. Un ruban retient le couvercle dans sa position ouverte, un autre permet de soulever le plancher du décor pour accéder aux produits.

Applaudissements
Ce coffret peu commun aura demandé à Cosfibel la mise en place d’un process de fabrication particulièrement pointu, comprenant 25 étapes manuelles d’assemblage. Les multiples essais et les étapes de validation justifient une exigence commune de perfection et l’exact respect du cahier des charges.
Au final, ce duo de coffrets ménage une double surprise au consommateur ; la féérie de la mise en scène, puis, dans un second temps, la découverte des produits, parfum et soins logés à l’intérieur de la base.

Les Français et le bio : un nouveau paysage de consommation et d’habitudes de vie se dessine

Des photos de vous - Laurenz

Le marché des produits bio est en croissance permanente depuis une dizaine d’années. Mais qui sont les acheteurs de produits bio alimentaires et cosmétiques ? Pourquoi sont-ils passés au bio ? Pourquoi y restent-ils ? Organics Cluster Rhône-Alpes et Cosmebio se sont associés pour répondre à ces questions en concevant une étude consommateurs intitulée « Profil des consommateurs et pratiques d’achat de cosmétique et alimentation Bio en 2016 (1) », réalisée par OpinionWay/ Senseva. Cette étude délivre des messages pertinents et annonce un nouveau paysage de consommation et de comportements des Français.

Des consommateurs soucieux de leur santé

Les résultats de l’étude ont mis en évidence le fait que les acheteurs de produits bio sont attentifs à leur santé physique et psychologique à plus de 80 %. Ilspratiquent régulièrement une activité physique pour plus de la moitié (50 %), et majoritairement une activité de plein air ou une activité sportive de manière hebdomadaire. Ils ont un intérêt marqué pour la cuisine, la recherche de produits alimentaires de qualité (+ 60 %) mais aussi pour les activités de bien-être, phénomène plus conséquent chez les consommateurs de cosmétiques bio (+ de 50 %).

Focus surla 1ère expérience bio

Le principal déclencheur d’achat est la prise de conscience pour +50 % des acheteurs : impact écologique, problèmes de santé, scandales sanitaires. Le plus souvent, la clef d’entrée dans le bio reste l’alimentation achetée en majorité en supermarché (près de 60 %). Le consommateur passera ensuite à des produits transformés et/ ou à la cosmétique bio. Les consommateurs bio sont récents pour la majorité d’entre eux étant donné les efforts d’innovation et de communication de la part des entreprises du Bio (58 % de moins de 5 ans en alimentaire et 70 % des achats en cosmétique il y a moins de 5 ans).

Passer au bio, c’est changer son style de vie

Passer au bio implique unchangement de vie pour 85 % des acheteurs : 71 % font plus attention à leur mode de consommation (gaspillage alimentaire, consommer moins mais mieux, gestion des déchets, covoiturage…). 65 % sont plus attentifsà leur santé : ils prennent soin de leur corps, font des cures détox, commencent ou intensifient leur activité physique.

Les 4 raisons principales du passage au bio :
* se rassurer (préserver sa santé, consommer des produits sains, préserver sa peau) 41 %
* les valeurs (préserver la nature, la planète, respect des producteurs) 26 %
* le plaisir (le bien-être et celui de sa famille) 21%
* par peur (pesticides, produits chimiques) 15 %

Ce passage au bio se fait de manière durable pour la totalité des consommateurs. Les termes les plus employés lors des questions ouvertes sur l’achat de produits bio sont la fierté, le soulagement, l’intérêt et le plaisir. La consommation de produits bio apparaît majoritairement comme un acte « sérieux », nourrit par desbesoins de sécurité, de sens et de cohérence. Cette consommation reste essentiellement basée sur laconfiance accordée à la filière et impose un haut niveau d’exigence.

L’étude a permis de définir différentes typologies d’acheteurs en alimentation et en cosmétique bio.

Spécificités et profil des acheteurs de cosmétique bio

Des acheteurs de cosmétiques bio plus engagés que la moyenne

Premier constat : 85 % des acheteurs de cosmétiques bio ont également acheté un produit alimentaire bio au cours des 12 derniers mois. On remarque également que la prise de conscience de l’impact écologique, les scandales sanitaires et les problèmes de santé sont des éléments déclencheurs beaucoup plus importants chez les acheteurs de cosmétiques bio. La consommation de produits bio est déclarée plus importante auprès des acheteursde cosmétique bio (74 %).
Pour se rassurer, ces consommateurssont attachés à la visibilité d’un label et au respect de la peau.
L’achat des cosmétiques bio se font en GMS, pharmacies et parapharmacies et magasins bio à part égale. Les 1ers produits sont : les soins visage (20 %), les produits cheveux (20 %) et les soins du corps (16 %).

Les 5 profils d’acheteurs de cosmétiques bio

Les ambassadeurs engagés (33 %)

Ce groupe dont l’âge moyen est le même que celui des français. Ils ont defortes valeurs (environnement, nature…) associées à un fort potentiel d’achat. La présence d’un label Bioest importante. Ilssontplus prescripteurs que la moyenne et s’intéressent davantage aux vertus de la nature.

Les accros de la beauté (25 %)

Il s’agit d’un groupejeune à très forte proportion de femmes qui sort le soir, qui aime aller dans des espaces de relaxation/bien-être. Peu consommateurs de produits bio, ce groupe privilégie le prix, principal levier à l’achat

Les seniors soucieux de leur santé (21 %)

Ce groupe est constitué d’une part importante de 65 ans et plus, peu actifs sur les réseaux sociaux. Ils cherchent surtout des produits respectueux de la peau mais un label bio leur importe peu.

Les défenseurs de la cause animale (12 %)

La garantie que les produits cosmétiques sont non testés par les animaux est un critère d’achat important. Consommer des produits cosmétiques bio leur permet d’être en cohésion avec leurs valeurs.

Les hipsters du Bio (8 %)

Composé de 51% d’hommes, ce groupe est très actif sur les réseaux sociaux. Il se concentre sur son apparence physique, son alimentation etson bien-être. Consommer des produits cosmétiques bio est synonyme pour eux de rêve et de voyage.

*(1) Etude consommateursOrganics Cluster/ COSMEBIO réalisée par Senseva/ OpinionWay du 2 au 14 février 2016 -selon la méthode CAWI -auprès d’un échantillon de 1076 acheteurs de produits Bio de mars 2015 à mars 2016, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

[www.cosmebio.org]

Total Fluides et Seppic ont signé un accord pour le développement et la commercialisation d’émollient

Photographier - Chirurgie plastique

Les émollients bio-sourcés : de nouvelles opportunités de développement pour les produits cosmétiques

Les attentes toujours plus exigeantes des formulateurs cosmétiques et des consommateurs pour la naturalité, la sécurité des ingrédients et la sensorialité du toucher des produits, constituent un axe majeur de développement dans les ingrédients cosmétiques. Les expertises, appliquée et commerciale, de Seppic dans les marchés cosmétiques et de Total Fluides dans le développement et la production de molécules hautement purifiées, permettent de répondre à ces attentes.

Total Fluides, acteur international reconnu dans la production et la commercialisation d’alcanes fluides de haute pureté, et Seppic, créateur d’ingrédients de spécialité pour la cosmétique, ont signé un accord le 11 avril 2016 pour le développement et la commercialisation d’émollients. Cette collaboration se concrétise par le lancement d’une offre complète d’émollients type alcane de grande pureté incluant une toute nouvelle gamme d’émollients bio-sourcés et biodégradables.

[www.seppic.com]
[www.totalspecialfluids]

Seppic lance deux gammes d’émollients : EMOSMART et EMOGREEN

ORFINA CERAMIC PVT. LTD. - Crème hydratante

A l’occasion du salon InCosmetics qui se tient du 12 au 14 avril à Paris, Seppic lance EMOSMART et EMOGREEN, deux gammes d’émollients pour applications cosmétiques.
EMOSMART et EMOGREEN sont deux gammes d’huiles (alcanes) facilement biodégradables. Produites par Total Special Fluids grâce à un procédé breveté de distillation et de purification et commercialisées par Seppic, les deux gammes répondent aux plus hautes exigences de pureté.
Grâce à une structure chimique inerte, les EMOSMART, d’origine synthétique, et les EMOGREEN, d’origine végétale, s’adaptent à tous types d’applications, soin de la peau et des cheveux, maquillage, solaire, hygiène… Ils peuvent être formulés en conditions extrêmes, dans des formulations riches en actifs, et quelque soit le pH. Compatibles avec tous les types d’huiles, faciles à utiliser, les EMOSMART et les EMOGREEN couvrent une large palette sensorielle en terme de textures.
Les EMOGREEN, en plus de leur parfaite biodégradabilité, sont 100 % biosourcés. Ils remplacent idéalement les huiles de silicones pour les consommateurs à la recherche de naturalité et de respect de l’environnement. Le développement de ces nouvelles gammes d’ingrédients s’inscrit pour Seppic dans une démarche responsable sur le long terme, répondant aux exigences de ses clients et des consommateurs en termes d’ environnement et de santé.

Sabrina Mizaël, Chef Produit Émollients & Émulsionnants chez Seppic, explique : « Les EMOGREEN et les EMOSMART permettent d’imaginer des produits de beauté plus respectueux de l’environnement assortis d’une expérience sensorielle unique. »

[www.seppic.com]

Forum Labo & Biotech Lyon : succès confirmé pour la première édition

Industrie cosmétique - Forum Labo

Avec une fréquentation de 2200 visiteurs pendant 2 jours, Forum Labo & Biotech Lyon – manifestation du CIFL – qui s’est tenu à Lyon les 30 et 31 mars, a su mobiliser les acteurs clés des régions Auvergne/Rhône-Alpes et PACA faisant de cette première édition une belle réussite.
Ce succès se justifie à bien des égards : format de 2 jours propice à la convivialité, rencontres d’affaires constructives avec 317 rendez-vous planifiés, contenu riche alliant conférences scientifiques et formations techniques plébiscitées par 823 auditeurs et vitrine de l’innovation de la profession avec 146 nouveautés présentées. Forum Labo & Biotech Lyon conforte ainsi sa position d’événement leader sur le marché du laboratoire !

UNE AFFLUENCE FORTE AU-DELA DES REGIONS AUVERGNE/RHONE-ALPES ET PACA

Cette première édition s’est fait l’écho du dynamisme du marché du Laboratoire des régions Auvergne/Rhône-Alpes et PACA qui représente 20 % environ de ce marché national avec plus de 400 millions d’euros.
Certes la proportion des régions Auvergne/Rhône-Alpes et PACA est importante puisque 68% des 2200 visiteurs du salon en sont issus mais il est intéressant de noter que 32 % du visitorat est venu du reste de la France (principalement Ile de France, Languedoc-Roussillon, Bourgogne et Pays de la Loire) et de la Suisse.
Ce succès d’affluence s’explique par une offre de produits large et diversifiée pour la recherche, l’analyse et le contrôle, présentée par 171 exposants (Consommables 33 %, Produits/Réactifs 29 %, Equipements 50 %, Instrumentation 49 %, Services 47 %).

UN CLIMAT D’AFFAIRES FRUCTUEUX PORTÉ PAR LES LAB’MEETINGS

La plateforme de rendez-vous d’affaires a généré 317 rendez-vous ciblés et qualifiés entre exposants et visiteurs. Le temps de visite ainsi optimisé a permis aux visiteurs inscrits aux Lab’Meetings de nouer des contacts très fructueux. Les participants étaient porteurs de projets à court terme et 7 5% d’entre eux avaient un rôle actif dans le processus d’achat.

DES CONFERENCES SCIENTIFIQUES ET FORMATIONS TECHNIQUES PLEBISCITEES

Le programme des conférences scientifiques et des formations a répondu aux attentes des visiteurs ainsi qu’à leur besoin accru d’expertise puisque 823 personnes y ont assisté.
11 formations de haut niveau, dispensées gratuitement par plusieurs exposants (Analytik JenA France, Aspec, GE Healthcare, Honeywell, Messer France, Metrohm, Mettler Toledo, Pall Life Sciences, Perkinelmer, Promega France, Sigma-Aldrich, Thermo Scientific), ont offert à 534 auditeurs la possibilité d’approfondir leurs connaissances sur des sujets pointus, scientifiques et techniques. Elles donnaient droit à une attestation de formation.
La conférence « La chromatographie de l’interdit » organisée par le Club Lyonnais de Chromatographie de l’AFSEP a attiré 180 congressistes et la conférence « Vers la Biologie 2.0 : outils innovants pour la gestion de l’accréditation en laboratoire de biologie médicale » (animée par Horizons Qualité) a rassemblé 110 personnes.

LE RÉVÉLATEUR D’INNOVATION ET DE RECHERCHE

Forum Labo & Biotech Lyon a joué pleinement son rôle de vecteur de produits et services innovants multi- sectoriels avec 146 nouveautés présentées dont 72 avant-premières (38 % à visée européenne et internationale).
Fort de son succès, la nouvelle édition lyonnaise est certainement une expérience à renouveler. Pour l’heure, le prochain rendez-vous avec ce salon sera à Paris du 29 au 31 mars 2017 à Paris expo Porte de Versailles.

Export : accéder au marché brésilien

Brésil - Drapeau du Brésil

Le secteur cosmétique brésilien a été affecté par le ralentissement de l’économie brésilienne en 2015. Après plus de deux décennies de croissance à deux chiffres, les ventes de l’industrie de la beauté ont totalisé un montant de 42,7 Mds BRL (soit environ 10 Mds EUR), en baisse de 6 % par rapport à l’année 2014.

Le Brésil reste néanmoins le 3e marché mondial de produits de beauté et d’hygiène, derrière la Chine et les États unis.

Par ailleurs, les fabricants locaux de cosmétiques continuent de parier sur le lancement de nouveaux produits innovants pour contourner la crise, cherchant ainsi à apporter de réels bénéfices et nouveautés pour le consommateur, le motivant à acheter. Le potentiel de croissance du secteur reste positif grâce au volume important de potentiels consommateurs, ce qui représente une excellente perspective pour les fabricants français d’emballages de luxe et d’ingrédients innovants (secteurs encore peu développés au Brésil).

Le Brésil est le premier consommateur mondial de déodorants, de parfums et de produits pour enfants ; le deuxième en produits masculins, produits d’hygiène bucco-dentaire, capillaires, solaires et pour le bain ; le troisième en maquillage ; quatrième en produits pour la peau ; et cinquième en produits dépilatoires.

Les perspectives de développement de la filière sont encore importantes, en raison notamment du faible taux de pénétration relatif de certains produits, du vieillissement de la population et de changements culturels.

L’industrie nationale est pour sa part fortement développée. Le secteur des parfums, produits cosmétiques et d’hygiène corporelle compte 1 659 entreprises. Parmi ces sociétés, 20 entreprises représentent toutefois à elles seules 73 % du volume de ventes du secteur et réalisent un chiffre d’affaires dépassant les 100 millions de BRL. De grands groupes locaux et internationaux se répartissent le marché. Parmi les entreprises les plus importantes, on peut citer les multinationales Avon, Coty, Colgate-Palmolive, Johnson & Johnson, Procter & Gamble, Unilever, L’Oréal, ainsi que les entreprises brésiliennes Natura SA et O Boticário.

Dans un contexte économique difficile, et face à une concurrence locale importante, l’industrie cherche aujourd’hui à renforcer les lancements de produits innovants et accessibles.

Les importateurs et distributeurs de matières premières destinées à l’industrie cosmétique locale souhaitent répondre à cette demande d’innovation constante, en recherchant sur les marchés internationaux des emballages et ingrédients correspondants aux exigences des consommateurs. Les segments suivants sont particulièrement porteurs :

  • agents transformateurs contenus dans les produits capillaires: ingrédients permettant de modifier la nature du cheveu ou de le réparer le plus rapidement possible ;
  • modificateurs sensoriels pouvant offrir : de nouvelles textures, un meilleur taux de pénétration des couches cellulaires (pour l’hydratation de la peau), une meilleure luminosité de la peau, un parfum agréable ;
  • ingrédients uniques capables de regrouper et fournir le plus de bienfaits possible ;
  • ingrédients spécialisés pour les peaux noires, aux caractéristiques particulières (normales à grasses et très sensibles) ;
  • nouvelles molécules pour les produits solaires.

Il est important de souligner que l’accès au marché brésilien d’ingrédients cosmétiques est relativement simplifié d’un point de vue réglementaire ; la grande majorité des ingrédients cosmétiques ne sont, par exemple, pas obligés de s’enregistrer auprès de l’Agence Nationale de Surveillance Sanitaire brésilienne (ANVISA). Les produits cosmétiques finis sont, eux, soumis à une législation nettement plus rigide et restrictive.

Pour les fabricants de matières premières souhaitant explorer le marché, le salon In-Cosmetics Brasil (organisé du 5 au 6 octobre 2016 à São Paulo) est un évènement incontournable. Le salon réunit plus de 200 exposants de matières premières, fragrances, équipements de laboratoire et de solutions d’essai et de réglementation et près de 3 000 fabricants de cosmétiques de toute l’Amérique latine.

Infos+

Business France organise, pour la troisième année consécutive, un pavillon France sur l’évènement.

https://www.cosmetiques.industries/lien/bresil

 

Etiquettes : faire chuter les non conformités

5Sept Étiquette - Fabrication

Patrick Wack se définit comme « un petit patron heureux qui a repris la boîte il y a 20 ans ». Cette « boîte », c’est 5 sept étiquette, un imprimeur d’étiquettes adhésives en bobines situé à Courthézon dans le Vaucluse. Le dirigeant est heureux parce qu’il investit chaque année 20 % des 10 M€ qui constituent son chiffre d’affaires et qu’il « recrute, surtout des jeunes pour assurer l’avenir. » Aujourd’hui, « la boucle est bouclée. Nous faisons des étiquettes autant pour l’industrie que pour les services. Nous faisons autant de traitement de données que de traitement papier. » Avec les investissements de l’entreprise, la chaîne de production a gagné en efficacité et en contrôles. « Les taux de non-conformité se sont écroulés. Ils sont inférieurs à 1 % » se réjouit Patrick Wack. Pour parvenir à ce résultat, l’entreprise s’est aussi dotée de nombreux outils informatiques pour maîtriser les échanges d’informations. Les clients donnent aujourd’hui leurs BAT en ligne, peuvent gérer leurs commandes sur un portail et même imprimer directement leurs créations. Le dirigeant confesse : « dans les métiers techniques, on gagne beaucoup à gérer mieux. » Il s’emploie donc à organiser au mieux les nombreuses informations qui lui sont transmises, au risque même de transformer les procédures internes de ses clients qui doivent utiliser de nouveaux outils pour sécuriser leur production et leur approvisionnement.
Les marchés de l’imprimeur se divisent en trois : un tiers pour les cosmétiques, un autre pour l’agroalimentaire et un dernier pour les vins & spiritueux. Le marché des étiquettes, que ce soit le _facing_ ou la contre-étiquette, est relativement stable. Il croît de 2 à 3 % par an. Mais la croissance du groupe s’explique par la fidélité de ses clients (l’Occitane depuis 15 ans par exemple) et l’accueil de nouveaux. « Nous sommes contents de la situation, _résume-t-il. La vague va nous porter quelque temps…

www.5septetiquette.com

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