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Cosmetic 360 : la Cosmetic Valley confirme une montée en puissance

Cosmetic Valley - COSMÉTIQUE 360

Marc-Antoine Jamet, président de la Cosmetic Valley et Jean Luc Ansel, directeur général et fondateur, ont présenté les grandes avancées stratégiques du pôle en France et à l’international et confirmé l’expansion de l’événement Cosmetic 360 qui se déroulera au Carrousel du Louvre les 13 et 14 octobre 2016.

Considérée comme l’un des pôles de compétitivité les plus dynamiques par le ministère de l’Économie, avec un rythme de création d’emplois de 1 000 à 2 000 chaque année, la Cosmetic Valley est en progression constante à plusieurs niveaux. Le nombre de ses adhérents a été multiplié par 10 entre 2004 et 2016, passant de 40 à 450 membres en une dizaine d’années. « Cette dynamique d’adhésion qui correspond à une vérité industrielle ne se tarit pas puisque 70 entreprises nous ont rejoints au cours des 6 derniers mois », ajoute Marc-Antoine Jamet. Certaines de ces entreprises viennent de régions éloignées, dont la région PACA, convaincues des services mis en œuvre à leur égard. Marc-Antoine Jamet souligne également comme facteur notable, l’arrivée ou le retour de grands noms de l’industrie comme Procter & Gamble, l’Oréal au conseil d’administration ou Sephora, signifiant ici l’élargissement du portrait de regroupement de PME au profil industriel.
Le troisième signe de dynamique tient dans l’accroissement au niveau international avec des adhérents étrangers toujours plus nombreux. Pour continuer à converger dans ce sens le pôle se donne pour objectif de réaliser une confédération de clusters avec un certain nombre de pays, la Malaisie vient d’être signée et Taiwan est en projet pour mai. Agrandissement également au niveau territorial, la Cosmetic Valley originellement soutenue par les régions Centre, Normandie et Île-de-France s’ouvre à d’autres possibilités, et note des premiers accords en cours avec l’Aquitaine et le Limousin. Marc-Antoine Jamet souligne à cette occasion la cessation de label du Pôle PASS (Parfums, Arômes, Senteurs et Saveurs) de la région Drôme/PACA qui devrait s’adosser à compter du 1er juillet à la Cosmetic Valley, « nous prenons notre temps pour faire un mariage de raison » commente-t-il.
Enfin, soutenu dans sa démarche par le ministre de l’Économie, le pôle active son rapprochement avec la French Tech dans tous les domaines de la cosmétique. Un Congrès dédié à la beauté connectée sera d’ailleurs proposé le 5 juillet à Chartres. Un nouveau rendez-vous qui s’inscrit à l’agenda de six Congrès organisés au cours des 12 prochains mois ainsi que la participation à 5 salons internationaux. Plus de 100 entreprises seront présentes sous la bannière Cosmetic Valley lors du prochain salon In Cosmetics à Paris, « c’est un record, nous n’avons jamais eu une place aussi importante » affirme Marc-Antoine Jamet.

Cosmetic 360, le rendez-vous de l’innovation prend de l’ampleur

Moment phare de cet agenda 2016, la nouvelle édition de Cosmetic 360 se déroulera au Carrousel du Louvre à nouveau plébiscité, sur une surface qui devrait s’étendre à 5 000 m2 contre 3 000 en 2015. Positionné comme vitrine internationale de l’innovation pour toute la filière parfumerie-cosmétique, le rendez vous à pour ambition de _« refaire de la France le lieu où le secteur industriel se retrouve pour avancer » _souligne Marc-Antoine Jamet.
L’innovation dans tous ses états, autour de 3 piliers d’exigences, qualité, sécurité, environnement, reseté au cœur du sujet et sera illustrée cette année au travers de 250 exposants, soit une centaine de plus que l’année passée, professionnels des matières premières, formulation, packaging, test, produits finis et distribution. 4 000 visiteurs sont attendus et une présence plus marquée du secteur distribution mieux représenté. Au cœur de l’innovation, la technologie liée à la beauté connectée sera mise en valeur au sein d’un espace dédié. Plus d’accueil également pour les porteurs de projets avec la « start-up zone », ainsi que la nouvelle « zone découverte et coworking » pour ceux d’entre eux qui participent pour la première fois à un salon.
Enfin l’open innovation, moment de collaboration entre laboratoires privés et équipes R&D des grands noms de la filière, promet de nouvelles opportunités et accueillera notamment entre autres cette année LVMH Recherche et Chanel R&D.

PAT présente ses premiers actifs sur In-Cosmetics

Cosmetic Valley - Industrie cosmétique

Pour la première fois, PAT lance 2 ingrédients actifs naturels développés au sein de son laboratoire de R&Dpendant plusieurs années et destinés à enrichir son propre catalogue d’actifs. Ces derniers sont issus de plantes ayant bénéficié d’une complète optimisation par la technologie PAT plantes à traire® afin de produire un extrait innovant issu des racines. PAT propose ainsi des produits maitrisés de la graine à l’extrait, et allant même jusqu’au test d’efficacité biologique.

Les deux produits proposés, issus d’espèces végétales différentes, ont des revendications cosmétiques en « éclat du teint» et « hydratation », appuyées par un screening d’activités biologiques. Ils seront commercialisés sans exclusivité auprès d’acteurs de la cosmétique à la recherche de produits efficaces et novateurs. L’un de ces actifs sera d’ailleurs présenté dans l’Innovation Zone du salon afin de mettre en lumière la forte innovation du Groupe et sa capacité à développer des principes végétaux rares.

PAT va ainsi profiter du rayonnement international de ce salon, qui réunit chaque année à Paris les acteurs majeurs du secteur de la Cosmétique (laboratoires, grandes marques, fabricants et distributeurs), pour mettre en avant ses technologies et savoir-faire. Le Groupe présentera également sa technologie de production innovante PAT plantes à traire® sur son stand et les possibilités de collaboration sur-mesure.

D’autres lancements sont à prévoir pour la fin 2016-début 2017. Cette nouvelle stratégie de développement commercial vient parfaitement compléter l’activité de recherche sur-mesure pour des produits exclusifs à certains grands industriels.

Acquisition confirmée de Couleurs de Plantes

L’Assemblée Générale de Couleurs de Plantes qui s’est tenue le 18 mars dernier a approuvé l’acquisition par Plant Advanced Technologies de 51% du capital de la société Couleurs de Plantes, spécialisée dans la production et l’extraction de colorants d’origine végétale.

Cette acquisition permet à PAT d’intégrer des savoir-faire complémentaires uniques et lui offre des synergies fortes, notamment en cosmétique où la demande en colorants naturels est de plus en plus forte. Couleurs de Plantes contribuera à l’amélioration des résultats de l’exercice 2016.

www.plantadvanced.com

Le point sur… La nouvelle réglementation cosmétique en Chine

Crème solaire - Soin de la peau
Asian beauty face closeup portrait with clean and fresh elegant lady.

La Chine est un marché de près de 1,4 milliard d’habitants, dont la demande en produits cosmétiques est en constante augmentation. Cependant, l’entrée sur le marché chinois reste compliquée pour les entreprises étrangères, car de nombreuses normes et réglementations s’appliquent aux produits cosmétiques.

La fin du mois de décembre a vu la parution de deux nouveaux textes très attendus, sur le marché intérieur chinois, mais également au niveau international pour tous les acteurs de la filière cosmétique : le nouvel inventaire des ingrédients cosmétiques et le nouveau règlement cosmétique chinois. Cosmed vous livre les clés de ces deux textes.

Comme dans de nombreux pays, la réglementation des produits cosmétiques en Chine définit les substances pouvant ou non être présentes dans un cosmétique.
Toutefois en Chine, la vérification de la formule doit se faire selon deux référentiels :
- d’abord, selon une liste positive qui détaille tous les ingrédients connus et autorisés dans les produits cosmétiques sur le marché chinois. C’est l’IECIC ou Inventory of Existing Chemical Ingredient in China ;
- ensuite, le règlement chinois des cosmétiques présente plusieurs listes de substances, avec une rédaction similaire au règlement européen des cosmétiques : substances interdites, substances réglementées, colorants, conservateurs, filtres UV et colorants capillaires autorisés. La parution du nouveau règlement chinois des cosmétiques, le Safety and Technical Standard for Cosmetics, a donc permis le renouvellement de ces listes.

Un nouvel inventaire des ingrédients

Le but de l’IECIC est de recenser tous les ingrédients approuvés par la CFDA (China Food and Drug Administration) pour leur utilisation dans un produit cosmétique.
Paru en 2003, le premier IECIC contenait 3 265 ingrédients.
Après un projet resté inachevé en 2012, il avait fallu attendre 2014 pour qu’un nouvel IECIC soit publié : l’IECIC 2014, contenant 8 783 ingrédients.
Suite aux erreurs et doublons de la version 2014, une nouvelle version avait été rapidement planifiée. Le 23 décembre 2015, l’IECIC 2015 était officiellement publié par la CFDA.

Le nombre d’ingrédients de l’IECIC 2015 reste inchangé par rapport à celui de l’IECIC 2014, mais 153 modifications ont été effectuées.
Neuf nouveaux ingrédients ont été ajoutés et neuf supprimés.
Parmi ces neuf ingrédients supprimés, huit l’ont été, car ils correspondaient à des doublons dans la liste. Un seul ingrédient a été véritablement retiré et n’est plus autorisé en Chine. Il s’agit de l’extrait de graines de pavot, de nom INCI, papaver somniferum seed extract.

Les nouveaux ingrédients en Chine

Un ingrédient est considéré comme nouveau s’il n’appartient pas à l’IECIC ou s’il n’est pas présent dans les listes du Safety and Technical Standard. Il doit alors faire l’objet d’un enregistrement spécifique et de l’approbation de la CFDA pour pouvoir être utilisé.
De nombreuses données et tests toxicologiques sont demandés, mais l’aboutissement des demandes est très rare. On comprend donc que les parutions de l’IECIC et du règlement soient très attendues.

Le Safety and Technical Standard for Cosmetics : le règlement cosmétique en Chine

Cela faisait déjà longtemps que la CFDA avait prévu de refondre le règlement cosmétique chinois.
En décembre 2012 était paru un premier projet resté sans publication officielle. Au cours de l’année 2015, deux documents ont été soumis à commentaires, le premier en février 2015 puis le second en août 2015. La CFDA a annoncé la parution officielle de ce nouveau texte le 23 décembre 2015.

Abrogeant le règlement actuel, c’est-à-dire l’Hygienic Standard for Cosmetics datant de 2007, il entrera en vigueur le 1er décembre 2016.

Ce nouveau règlement s’inspire des dernières réglementations internationales. Il permet l’adaptation des listes de substances interdites et autorisées, celles-ci n’ayant quasiment pas évolué depuis la parution de l’Hygienic Standard for Cosmetics en 2007.
Il comprend huit parties : généralités, ingrédients interdits et restreints, listes positives de conservateurs, colorants, colorants capillaires, et filtres UV, méthodes de tests physico-chimiques, méthodes de tests microbiologiques, méthodes de tests toxicologiques, méthodes de tests de sécurité humaine, méthode de tests pour évaluer l’efficacité.

Les dentifrices, qui faisaient partie de la catégorie des produits cosmétiques depuis décembre 2013, ne rentrent plus dans le champ d’application de ce nouveau règlement.

Le point sur les ingrédients : de nouvelles restrictions

La nouvelle liste des ingrédients interdits contient 1 388 entrées, soit 82 entrées supplémentaires et se rapproche de celle du règlement européen des cosmétiques.
Concernant les listes positives, il y a peu de changements dans celles des conservateurs, des filtres UV et des colorants. Là encore, une adaptation avec la réglementation européenne a été recherchée.
Les colorants capillaires en revanche deviennent beaucoup plus restreints puisque 47 seront autorisés lors de l’application du Safety and Technical Standard for Cosmetics, alors que 72 pouvaient être utilisés sous l’Hygienic Standard for Cosmetics.

Les changements importants concernant l’utilisation des filtres UV et conservateurs sont les suivants.
Le filtre UV PABA autorisé auparavant à 5 % a été supprimé de la liste.
Dans la nouvelle liste des conservateurs :
– cinq conservateurs ont été supprimés : chloroacétamide, methenamine, methyldibromoglutaronitrile, quaternium-15 et sodium iodate ;
– les limites d’utilisation de l’iodopropyl butylcarbamate sont diminuées ;
– les parabènes suivants sont désormais interdits : isopropylparabène, isobutylparabène, phenylparabène, benzylparabène, pentylparabène ;
– pour certains conservateurs, les catégories de produits ont été restreintes : le mélange methylisothiazolinone et methylchloroisothiazolinone est limité aux produits rincés, le triclosan devient autorisé seulement dans les gels douche, savons, déodorants, poudres de maquillage et nettoyants pour les ongles ;

Un règlement étoffé avec de nouvelles méthodes de tests

Toutes les méthodes de tests qui serviront pour le contrôle des cosmétiques et qui seront la référence en Chine sont décrites dans le nouveau Technical and Safety Standard for Cosmetics.
Les méthodes physico-chimiques sont au nombre de 77, soit 60 de plus par rapport à l’Hygienic Standard for Cosmetics. Les tests microbiologiques (6 méthodes), les tests toxicologiques (17 méthodes) sont identiques en nombre par rapport au précédent règlement, mais le protocole et la structure ont été ajustés.

Concernant les méthodes de mesure de l’efficacité, le texte se concentre plus spécialement sur les méthodes solaires. Les références normatives sont désormais internationales puisque les méthodes sont en ligne avec la norme ISO 24444:2010 pour la mesure du SPF et avec la norme ISO 24442:2011 pour la mesure de la protection UVA.

Vers de futures évolutions ?

Ces changements sur le Technical and Safety Standard for Cosmetics montrent une évolution positive de la Chine et une volonté d’adaptation aux réglementations européennes dans le domaine des cosmétiques. Néanmoins, la Chine garde ses spécificités notamment à travers l’approbation obligatoire pour un nouvel ingrédient et malgré ces modifications, l’enregistrement permettant l’exportation des cosmétiques en Chine reste long et complexe.

Après 20 ans, Technature innove encore

Cosmétologie - Visage

L’entreprise Technature célèbre cette année son vingtième. Durant ces deux décennies, elle ne cesse de grandir et de se développer, à Dirinon dans le Finistère.

La clé de voûte de Technature est l’innovation, « avec un rythme soutenu imposé de 4 à 5 nouveaux produits validés par semaine et 2 innovations majeures par an », souligne Pierre Morvan, directeur de l’entreprise. Le spécialiste du sur-mesure propose des solutions clients individualisées et personnalisées et assure un service complet grâce à son offre « full service ». De très grandes marques de soins beauté sont ses clients, principalement les instituts, les Spas et le retail.

Le « Made In France » est aujourd’hui apprécié pour la qualité de ses produits et de son savoir-faire. Grâce à un savoir-faire unique sur le processus de gélification de l’alginate et à l’utilisation de poudres naturelles et sans conservateurs, elle se hisse rapidement au rang de leader mondial sur le marché des masques de beauté Peel-off, son produit phare. Ce masque à effet seconde peau offre une sensation de confort unique grâce à sa texture surprenante, légère et “élastique”. Il se retire d’une seule pièce. Cette maîtrise du process de mélange de poudres ainsi que des températures et des temps de prise amène l’entreprise à élargir sa gamme de produits poudre…

La dynamique repose donc sur l’investissement en R&D. À l’affût d’actifs prometteurs aux effets polysensoriels ou d’ingrédients dans l’air du temps, la R&D propose de nouvelles textures, de nouvelles galéniques ou de nouveaux concepts. Ces efforts continus ont été récompensés par le trophée INPI « éveil à la propriété intellectuelle » fin 2013. Il valorise et sécurise ses éléments de différenciation. Dernièrement l’entreprise a investi dans un parc machine permettant la fabrication et le conditionnement de masques et patchs Hydrogel. Ces investissements réguliers permettent de rester compétitif tant sur le plan de la qualité que sur les volumes à traiter.

www.tech-nature.com

Mesurer simplement l’efficacité des formules grâce aux microscopes optonumériques

Olympus Corporation - Microscope

**Dans le domaine de la recherche en cosmétologie, la connaissance des propriétés physicochimiques du produit final (crème, émulsion, shampoing) nécessite à la fois une caractérisation des éléments qui constituent ce produit et une mise en évidence des interactions entre le produit et son lieu d’action (peau, cheveu ….). **

Ces études peuvent être réalisées très facilement grâce à la nouvelle génération de microscopes optonumériques DSX qui permettent aisément de caractériser tous les types d’échantillons classiquement utilisés en cosmétologie (liquides, émulsions, crèmes, poudres, cristaux…) déposés sur un substrat (naturel ou artificiel) ou sur un substrat minéral.

Exemple d’application : les cuticules de cheveux

Les cuticules de cheveux peuvent être facilement observés grâce à la technique HDR (High Dynamic Range) 2D et 3D des microscopes optonumériques de la série DSX dotés de l’objectif MPLFLN50XBDP.
La gamme de grandissement couvert permet d’observer des éléments allant de la dimension millimètre à la dimension subnanométrique. Quelles que soient son expérience et ses connaissances, l’image obtenue sera toujours la meilleure grâce à la fonction “Best image”. Des mesures tridimensionnelles peuvent être réalisées et certifiées très simplement grâce à une interface interactive et intuitive. Tout opérateur, quel que soit son niveau d’expérience pourra utiliser facilement et simplement les microscopes DSX pour réaliser des observations de contrôle ou des analyses très précises et à chaque opération.
Insérer : DSX500_2.tif
Légende : La gamme DSX, c’est la réponse à la métrologie cosmétique. Elle permet d’évaluer, de mesurer l’efficacité et de valider formules et produits finis dans son laboratoire en toute sécurité et avec toute la confidentialité nécessaire.

[www.olympus-ims.com]

Parfums : Shiseido rachète Serge Lutens

Serge Lutens - Shiseido

Posséder une marque exclusive fait désormais partie des attributs des grands groupes. Ne dérogeant pas à la règle, le Japonais Shiseido a fait main basse en décembre dernier sur la marque Serge Lutens.

Le géant Shiseido a signé en décembre 2015 l’acte final du rachat de la marque du créateur Serge Lutens, clôturant ainsi les discussions entamées neuf mois plus tôt. Cette transaction, dont le montant n’a pas été communiqué, offre au Japonais un nom reconnu en parfumerie et enmaquillage.De son côté, la marque a reçu l’assurance que le groupe allait désormais investir et consolider ses acquis par l’image.Cela passera notamment par l’ouverture en propre de nouvelles boutiques (à l’image de celles de Paris et de Moscou) dans les villes les plus prestigieuses du monde. En 2015, on comptait 2 000 points de vente répartis dans 35 pays. Serge Lutens conserve la direction de la marque afin de transmettre son esprit et son style. Le partenariat entre Shiseido et Serge Lutens a débuté en 1980 permettant au Japonais de se lancer en Europe 

Nicolas GOSSE

[www.sergelutens.com]

Le suivi de la performance des ateliers au coeur du Système d’Information

Industrie cosmétique - L'Oréal

«* Donner de la visibilité sur l’avancement des ordres de fabrication, fiabiliser les données de production qui sont transmises à l’ERP, sécuriser les contrôles qualité et les pesées matières, contribuer à la mise en place du lean management, motiver les équipes de production avec un management visuel simple et efficace, fournir les indicateurs et KPI aux managers : la liste des bienfaits d’un logiciel de type M.E.S. est longue ! *», explique Christian Flachard de Creative IT, l’éditeur du progiciel M.E.S. Qubes.
Déployé sur plus de 500 sites industriels, le progiciel Qubes contribue au quotidien à aider les entreprises industrielles dans leur démarche d’amélioration continue et d’optimisation de la performance industrielle. La solution s’adapte parfaitement aux contraintes des activités cosmétiques, pour preuve le témoignage du groupe Alkos Cosmétiques : la mise en place d’une solution M.E.S. Qubes au sein de leurs quatre sites de production a permis de réduire considérablement les coûts de production en optimisant les process de fabrication et en sécurisant les flux matières.

ERP + Qubes + machines

« Grâce à un ensemble d’interfaces standardisées, Qubes s’intègre dans le système d’information de l’entreprise avec d’une part l’ERP et d’autre part les équipements de production », poursuit Christian Flachard. Ce logiciel permet ainsi de récupérer les données en provenance de l’ERP (gammes, nomenclatures, OF…) et de remonter à l’ERP les informations de gestion désirées (quantités, temps). De la même manière, Qubes permet de collecter toutes les données qui apportent de la valeur ajoutée sur les équipements de production et les équipements de mesure.

[www.creative-it.net]

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