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Industrie de la cosmétique sur TikTok : les cinq grandes tendances de 2023

site-industries-cosmetiques Une personne présentant un téléphone arborant le logo tiktok.

Essor de l’enseigne Action France, challenges ultra-travaillés, alerte sur les tests sur les animaux, boom des influenceurs masculins… TikTok redistribue les cartes sur l’industrie de la cosmétique.

Visibrain, l’outil de veille des réseaux sociaux, décrypte le secteur de la beauté sur TikTok entre mai et août 2023.

Tendance 1 : l’essor des enseignes généralistes petits prix sur TikTok

Maybelline, NYX, Kiko… Les marques de cosmétique petits budgets font mouche auprès des internautes et s’imposent parmi les plus mentionnées sur TikTok devant YSL, Fenty ou encore Lancôme.

Mais il n’y a pas que les marques spécialisées dans la cosmétique qui attirent les internautes. Les enseignes généralistes petits prix montent en puissance à l’image d’Action France, marque la plus mentionnée sur TikTok en matière de cosmétique juste après Maybelline. Dans une moindre mesure, nous retrouvons aussi les enseignes Normal et Primark, régulièrement mentionnées dans les vidéos.

Tendance 2 : des challenges de plus en plus travaillés

Initialement connu pour ses challenges viraux, TikTok continue d’être alimenté par ce format qui n’a pas quitté le réseau social, mais qui s’est transformé. Devenus travaillés, ces challenges prospèrent sur le secteur de la cosmétique sur TikTok. À l’image de la créatrice @sachacvl qui met en lumière le « 100yearsofbeauty » qui retrace les différentes époques en maquillage en quelques secondes.

Tendance 3 : l’appel à l’aide des TikTokeurs sur la maltraitance animale

L’exploitation des animaux dans les laboratoires cosmétiques fait polémique sur le réseau social. La mise en scène du lapin Ralph dans une vidéo de l’association Human Society International a pour mission d’alerter et de sensibiliser sur les conditions des animaux.

La vidéo, relayée par @julie.lpnn est, par exemple, la plus vue (8 millions de vues) et la plus likée (1 million de likes) lorsque l’on parle de cosmétique sur TikTok.

Tendance 4 : l’heure de gloire des influenceurs masculins sur TikTok

L’époque où l’industrie cosmétique n’attirait que des influenceuses féminines est révolue ! Et pour cause, deux hommes s’imposent dans le top 10 des TikTokeurs beauté les plus influents (« Fabian CRFX » et « Un garçon stupide »). Ensemble, ils cumulent près de 2,5 millions de likes sur leurs vidéos. 

Tendance 5 : les marques à l’assaut de TikTok : Les Secrets de Loly, Nocibé, Printemps parmi les plus influentes

De nombreuses marques de cosmétiques ont sauté le pas de TikTok, et développent leur contenu sur le réseau social de l’engagement. Surfer sur les tendances astrologie pour l’une, annoncer l’arrivée de nouvelles marques pour une autre ou présenter des sélections pour une autre marque, toutes les idées sont bonnes pour communiquer sur TikTok.

Les Secrets de Loly, Nocibé France, Printemps, Schwarzkopf Professional et Normal France sont les cinq marques qui enregistrent le plus de likes sur TikTok.

Les Laboratoires Boiron lancent CBD by Boiron

Aujourd’hui, 80 % des Français ont déjà entendu parler du CBD et 66 % voudraient en savoir davantage sur cette molécule extraite du cannabis¹. Parmi les Français âgés de 30 à 50 ans, ils sont 59 % à le percevoir comme une réelle solution de santé². 

Les Laboratoires Boiron, qui proposent des solutions de santé à partir de plantes depuis plus de 90 ans, lancent de nouveaux produits cosmétiques à base de CBD. Le CBD étant un actif fragile, ils ont fait le choix d’un procédé innovant pour le préserver : l’encapsulation. Les molécules de CBD sont incorporées dans des capsules facilement assimilables par la peau : les niosomes. « Ainsi concentrés, les bienfaits du CBD restent intacts jusqu’à leur libération au cœur de l’épiderme. Précisément là où la peau en a besoin », indique-t-on au sein des Laboratoires Boiron.

Les plantes de cannabis Sativa sélectionnées par les Laboratoires Boiron sont toutes cultivées en agriculture biologique. Sitôt récoltées, feuilles et fleurs sont rapidement transportées pour en préserver tous les actifs. Les molécules de CBD sont alors extraites et isolées des autres cannabinoïdes, comme le THC, avant d’être encapsulées dans des niosomes.

Les formules de ces nouveaux produits à base de CBD sont composées à plus de 95 % d’ingrédients d’origine naturelle3 .

Les packagings sont partiellement recyclés et recyclables4. Les étuis sont majoritairement composés de carton fabriqué à partir de résidus organiques issus de procédés agro-industriels, contenant 40% de fibres recyclées post-consommation.

Les produits CBD By Boiron sont fabriqués en France, au sein des Laboratoires Boiron à Messimy (Rhône).

1 Étude quantitative online sur le CBD, réalisée en juillet 2022 par Boiron via le panel Toluna Start, en France, sur un échantillon de 903 adultes, national représentatif en termes de genre, âge, région et catégorie socio-professionnelle.

2 Etude consommateurs online sur le CBD, réalisée en janvier 2021 par Expansion Consulteam, auprès de 300 consommateurs de produits OTC – CPAL – phytothérapie.

3 Selon la norme ISO 16128.

4 Excepté le tube du roll-on, non recyclé et non recyclable.

Superga Beauty dévoile son rapport RSE 2022

site-industries-cosmetiques Une affiche présentant un croquis automatique sur fond blanc.

La publication de son nouveau rapport RSE est l’opportunité pour Superga Beauty de dresser un état des lieux de ses avancées en termes d’écoresponsabilité, d’inclusion et d’implication sociale, et surtout d’affirmer ses engagements présents et futurs. 

Plus qu’un bilan, ce document se veut un « essentiel » de la société. Il guide ses évolutions, ses développements, ses process et ses collaborations.

Une ambition : être un véritable partenaire industriel pour les marques de la beauté

Superga Beauty a une vision claire : jouer un rôle prépondérant dans le grand défi de la transition environnementale de l’industrie de la beauté. Le groupe s’affirme comme force de proposition ainsi qu’allié des marques et des fabricants. Pour incarner cet enjeu, une méthodologie cohérente et efficace était indispensable. C’était l’objet de la démarche entamée trois ans plus tôt qui avait abouti au premier « essentiel » de Superga Beauty. Des process plus vertueux ainsi que des innovations ont soutenu cet engagement. Puis le groupe a voulu non seulement continuer sur sa lancée, mais surtout prolonger son élan. La nouvelle et deuxième édition de son « essentiel » est une suite logique.

« Nous progressons et nous nous fixons des objectifs audacieux. Pour que les marques nous choisissent comme partenaires, nous devons répondre à leur cahier des charges industriel tout en respectant leurs ambitions RSE. C’est un devoir d’être à la hauteur de leurs exigences. Notre démarche reflète celle d’une entreprise responsable, pleinement consciente de son impact sur la société et l’environnement », explique Leslie Bréau Meniger, présidente de Superga Beauty.

Le deuxième « essentiel » de Superga Beauty mesure ses progrès sur deux piliers fondamentaux : l’environnement et l’écosystème humain.

Un groupe écoresponsable

Superga Beauty s’est appuyé sur son bilan carbone pour identifier précisément ses sources d’émission et ses points d’amélioration. Le groupe s’est positionné sur l’objectif de réduction de 50 % de ses émissions de type Scope 1 (gaz à effets de serre produits par l’entreprise) et Scope 2 (émissions indirectes liées à l’énergie, hors du site de l’entreprise) d’ici 2030.

En 2022, le groupe a pu afficher une diminution de 29.68 % de ses émissions directes de sources de combustion par rapport à 2021, celles-ci portant essentiellement sur sa consommation d’électricité.

« En 2022, nos efforts ont été récompensés par le Carbon Disclosure Project (CDP) avec la note B, nous propulsant parmi les entreprises qui témoignent d’une prise de conscience accrue des questions écologiques et savent gérer les problématiques quant à leur impact et leur gestion des ressources », souligne Leslie Bréau Meniger.

Superga Beauty complète sa démarche en soutenant activement en interne une politique d’écoconception, aussi bien pour ses produits et formules en partenariat avec le laboratoire GBC, que pour les packagings et objets réalisés par sa division Promotion et Full Service.

Des engagements sociétaux

L’humain est un facteur clé des évolutions de Superga Beauty. Il est au cœur de toutes les réflexions. « L’écosystème que construit Superga Beauty et dans lequel il s’inscrit englobe ses collaborateurs, ses clients, ses fournisseurs et, au-delà, la société entière. Nous avançons forts de deux principes : l’inclusivité et l’équité. Nous mettons en œuvre des actions fondées sur la sécurité et la qualité de vie au travail, ainsi que sur l’éthique et le respect de tout un chacun », indique Leslie Bréau Meniger.

Superga Beauty s’est également engagé contre les violences faites aux femmes. Le groupe a fait de ce sujet de société son grand combat. Il a mis en place une politique inclusive forte en soutien et pour la réinsertion professionnelle des victimes. Il est mécène de la « Maison des Femmes », de la fondation « Face » et signataire de sa charte « 1 in 3 women ». 

L’engagement RSE est un mouvement perpétuel, et Superga Beauty en est intimement convaincu. Le groupe compte poursuivre ses initiatives et en référer régulièrement avec des actions concrètes et des données vérifiées. 

« Nous sommes fiers du chemin parcouru, mais aussi humbles et parfaitement conscients d’être seulement au début de la démarche. Nous continuerons à aller de l’avant »

conclut Leslie Bréau Meniger.

Boet Brinkgreve nommé CEO du Laboratoire de Haute Parfumerie et Beauté, une nouvelle entité de Richemont

site-industries-cosmetiques Un bâtiment en verre avec une enseigne automatique devant lui.

Le 1er septembre 2023, Richemont, le géant suisse du Luxe, a nommé Boet Brinkgreve au poste de CEO de sa nouvelle division dénommée Laboratoire de Haute Parfumerie et Beauté.

« Je souhaite (…) la bienvenue à Boet Brinkgreve au sein de Richemont et de son comité de direction. Boet établira et dirigera notre nouveau Laboratoire de Haute Parfumerie et Beauté afin de permettre à nos six Maisons déjà impliquées dans la parfumerie d’atteindre une masse critique dans ce domaine hautement compétitif, où l’échelle est cruciale. En partenariat avec les Maisons, et tout en respectant leur positionnement haut de gamme unique, la plateforme exploitera les ressources de nos Maisons pour aider à développer les créations les plus raffinées et les licences les plus prometteuses », a déclaré Johann Rupert, président de Richemont.

« Le rôle de M. Boet sera déterminant pour permettre à nos Maisons d’atteindre leur plein potentiel sur ce marché dynamique, en élargissant leur base de clientèle tout en améliorant les capacités des Maisons à répondre aux besoins de leur clientèle très exigeante. Grâce à sa connaissance approfondie de l’industrie de la parfumerie, à ses succès antérieurs dans la conduite de nouvelles entreprises, à sa remarquable expérience dans la constitution d’équipes internationales gagnantes et à son engagement en faveur de l’approvisionnement en ingrédients durables, je suis convaincu que Boet sera un atout majeur pour le groupe », a poursuivi Johann Rupert.

Avant d’être nommé PDG du Laboratoire de Haute Parfumerie et Beauté de Richemont en 2023, Boet Brinkgreve a occupé plusieurs postes de direction chez dsm-firmenich de 2007 à 2023, dernièrement en qualité de président de la division des ingrédients et de l’approvisionnement du groupe et membre du comité exécutif de dsm-firmenich. Avant de rejoindre dsm-firmenich, il a fondé plusieurs start-ups puis a travaillé pour DuPont dans des fonctions de développement commercial de 2003 à 2007.

Photo : ©Richemont

Vers des silicones moins nocifs

site-industries-cosmetiques Différents types de produits de soins de la peau sur une surface blanche.

Les silicones (“polysiloxanes”) sont utilisés dans de nombreuses applications industrielles, de la cosmétique à l’aérospatial.

« Néanmoins, lors de leur synthèse, peuvent se former des oligosiloxanes cycliques, de petites molécules dont certaines sont classées toxiques pour l’environnement et suspectées comme pouvant être des perturbateurs endocriniens », rappelle le CNRS.

Dirigée par un chercheur du CNRS, une équipe de scientifiques du laboratoire hétérochimie fondamentale et appliquée (CNRS/Université de Toulouse Paul Sabatier), de l’entreprise Elkem Silicones et du département de chimie de l’Université autonome de Barcelone a mis au point un procédé permettant de synthétiser des silicones à partir de siloxanes cycliques de manière plus propre et plus écologique, tout en empêchant la formation de ces impuretés dans le produit fini. 

Ces résultats ont été publiés dans la revue scientifique Science. Selon le CNRS, ils pourraient avoir des retombées considérables dans le secteur industriel.

Skinobs établit les faits marquants des tests précliniques et cliniques pour le premier semestre 2023

site-industries-cosmetiques Une jeune femme posant joyeusement devant un arbre.

Le rapport semestriel de Skinobs établi sur le premier semestre 2023 (S1-2023) analyse l’évolution des thématiques de recherches effectuées sur ses deux plateformes dédiées aux tests précliniques (in-silico, in-tubo, in-vitro, ou ex-vivo…) et cliniques (in-vivo sur l’homme) en cosmétiques par rapport à la même période sur l’année 2022. 

Leur significativité s’appuie d’une part sur le référencement quasi-exhaustif et indépendant des laboratoires, méthodes, appareils, revendications, études, mécanismes d’actions à l’échelle mondiale et d’autre part sur le volume des recherches des responsables d’évaluation sur cette période représenté par plus de 5 000 utilisateurs de 66 nationalités. 

Réalisé deux fois par an, ce rapport oriente les marques et acteurs du secteur des tests quant aux sujets cosmétiques de prédilection, en anticipation des lancements de produits.

Test cliniques : le boom des tests consommateurs

  • L’hydratation fait un bond de 12 points et représente près de la moitié (49 %) des revendications recherchées sur les plateformes au cours du premier semestre 2022. « On savait l’hydratation comme étant la revendication la plus recherchée dans la catégorie des tests cliniques. En évaluation clinique, l’hydratation qualifie une peau hydratée, saine et tonique, qui résiste aux agressions, à la pollution, sera moins inflammée, moins soumise aux signes du vieillissement. C’est à la fois une revendication et un état de la peau qui reflète la qualité d’un produit cosmétique et le bien-être des consommateurs. Ce n’est donc pas étonnant que l’hydratation soit au premier rang ». Cette revendication est aussi celle qui est reliée au plus grand nombre de méthodes et d’instruments de mesure pour son évaluation. Les plateformes en recensent plus de 25. Cela peut expliquer la hausse des recherches. 
  • La revendication barrière cutanée entre au palmarès de manière significative avec 18% des recherches. Elle s’inscrit dans une tendance post-covid et caractérise une nouvelle posture de la cosmétique qui veut protéger davantage la peau d’où le concept récent de « Healthy Skin », mais aussi l’attention portée aux peau sensibles. Cette revendication est en lien avec l’immunité et s’applique généralement à l’évaluation des ingrédients innovants qui visent à la renforcer.
  • Le segment hygiène fait son retour dans le type de produits recherchés : la plupart des autres soins – Visage, Cheveu, Corps, Maquillage et Solaire – demeurent dans des proportions stables par rapport à 2022, laissant une nouvelle part de 5% des recherches aux produits d’hygiène qui auraient représenté 10% du marché mondial de la beauté en 2022 selon les estimations de L’Oréal (Hors Dentifrice, Savon, Rasoir et lames), là encore conséquence d’un processus d’hygiénisation post covid. 
  • L’anti-âge recule de façon globale au profit de revendications relatives à la sphère apaisante, anti-inflammatoire ou encore peau sensible qui gagne 10 points.
  • Le boom des test consommateurs : si les tests biométrologiques peau/cheveu/ongle se maintiennent en première position avec 51% des recherches en 2023, ils cèdent une part aux tests de tolérance qui poursuivent leur hausse déjà amorcée en 2022 (17% S1-2023) et surtout aux tests consommateurs qui gagnent 8 points pour s’établir à 21% des recherches vs 13% en 2022. « Je pense que les tests consommateurs bénéficient de la tendance neurosensorielle. C’est aussi le fruit de l’amélioration de la plateforme à laquelle nous avons ajouté les laboratoires qui grâce au digital, ont établi des protocoles de routines standard et ciblés, précise Anne Charpentier. L’avènement des méthodes nomades en lien avec les outils digitaux permet également de solliciter les volontaires de manière plus précise et efficace. Les outils digitaux sont en effet de précieux alliés pour constituer des bases de données et les traiter avec pertinence. Enfin la réglementation qui impose un renforcement de la preuve – six critères de véracités –, influence certainement cette augmentation. »

Test précliniques : de nouvelles revendications, apparition du conseil, des tests UV in-vitro et des tests d’écotoxicité parmi les tests types recherchés

Dans la somme des recherches effectuées, il n’y pas une revendication prédominante. La répartition homogène s’explique parce qu’il s’agit de preuves de concept communes à de nombreux sujets.

« Ce qui est nouveau, commente Anne Charpentier, c’est par exemple la revendication “non-photo toxique” qui correspond à 8 % des recherches et vient valider la non-toxicité des produits lorsqu’ils sont en interaction avec le soleil. On pourrait supposer une prise de conscience récente. »

Trois autres nouvelles revendications font leur apparition, en lien avec la notion d’exposome, qui identifie l’ensemble des facteurs environnementaux auxquels nous sommes exposés, voire surexposés, notamment la lumière bleue de nos écrans et la pollution. « Anti-lumière bleue » (9 %), « anti-pollution » (8 %) et « fonction barrière » (10 %) plus générique, représentent à elles trois plus d’un quart des recherches sur la plateforme.

L’allégation « anti-âge » est toujours en tête. Pour rappel, elle fait appel à des technologies et des outils de biométrologie sophistiqués, avec différentes options de validation quantitative ou/et visuelle. Sur le plan clinique, « la revendication “anti-âge”, devenue well-ageing, renvoie aux propriétés biomécaniques de la peau, contrairement à l’hydratation qui se caractérise sur un plan physiologique », indique Anne Charpentier. L’anti-âge est une revendication ombrelle associée à des sous-revendications telles que tâches, pigmentation, rides, relâchement, éclat, état de surface, structure de la peau, etc.

Des solutions décoratives linerless

site-industries-cosmetiques Une personne insère un rouleau de papier dans une machine automatique.

La nouvelle gamme d’Avery Dennison sera dévoilée à Labelexpo 2023 aux côtés des dernières innovations en matière d’emballages connectés.

Lors de Labelexpo Europe 2023, qui se tiendra à Bruxelles du 11 au 14 septembre 2023, Avery Dennison lancera AD LinrSave et AD LinrConvert, première génération de solutions décoratives linerless basée sur une technologie brevetée de microperforation. Ces solutions permettront de réduire considérablement les déchets d’étiquettes, de diminuer l’empreinte CO2 et l’empreinte eau tout en garantissant la fonctionnalité et l’attrait en rayon des étiquettes auto-adhésives. Cela marque la prochaine étape du parcours d’innovation d’Avery Dennison, permettant à l’industrie de s’orienter vers un avenir plus durable et plus connecté.

« AD LinrSave et AD LinrConvert sont faciles à intégrer dans l’équipement existant, et avec jusqu’à 80 % d’étiquettes en plus par rouleau, ils permettent des productions plus efficaces avec moins de changement, explique Wayne Middleton, Senior Linerless Segment Lead EMENA chez Avery Dennison. Ces étiquettes linerless, plus durables, peuvent être appliquées facilement et avec précision sur une large gamme de types d’emballages utilisés dans des secteurs tels que l’alimentation et les boissons, le vin et les spiritueux, ainsi que produits ménagers et de soins personnels. »

Ces développements font suite au lancement en avril d’AD XeroLinr DT, une alternative durable et sans dorsal pour les étiquettes à informations variables.

Avery Dennison présentera également les derniers exemples d’emballages « connectés » avec une série de prototypes étiquetés utilisant les technologies RFID et NFC.

Lors de l’événement, Avery Dennison organisera une série de « tables rondes » interactives de 30 minutes sur les dernières tendances en matière de développement durable et les changements réglementaires qui affectent l’industrie de l’emballage :

  • « Comment l’écodesign peut vous aider à créer des emballages plus durables »
  • « Le règlement sur les emballages et les déchets d’emballages (PPWR), expliqué »
  • « Comment l’empreinte carbone peut vous aider à mesurer l’impact sur l’environnement »
  • « Le passeport numérique de produit (DPP) : Qu’est-ce que c’est et quelle opportunité pour vous ? »
  • « Stratégie sur les produits chimiques pour le développement durable : Qu’est-ce que c’est et comment cela vous affecte-t-il ? »

Steve Flannery, vice-président senior et directeur général de Materials Group EMENA, commente : « chez Avery Dennison, nous plaçons le développement durable au cœur de tout ce que nous faisons et envisageons un avenir connecté et circulaire. Labelexpo est une excellente occasion pour nous de présenter nos nouvelles solutions et de nous engager avec nos partenaires et nos clients sur les questions clés qui façonneront l’avenir de notre industrie au cours des prochaines années, telles que les passeports numériques de produits et le règlement sur les emballages et les déchets d’emballages. »

Lipoid Kosmetik renouvelle son statut Platinum EcoVadis pour la quatrième fois

site-industries-cosmetiques Prix platine du développement durable Ecovadis pour Brouillon auto.

Lipoid Kosmetik, fabricant de premier plan de matières premières naturelles pour l’industrie des cosmétiques et des soins personnels, communique sur sa réussite en matière de développement durable, reconnue par EcoVadis, le leader mondial de l’évaluation et de la notation de la responsabilité sociale des entreprises et des pratiques de développement durable.

EcoVadis évalue les initiatives en matière de développement durable dans diverses catégories, notamment l’environnement, le travail et les droits de l’homme, l’éthique et l’approvisionnement durable. À ce jour, plus de 100 000 entreprises à travers une variété de pays et d’industries collaborent avec EcoVadis. Malgré le nombre largement croissant d’entreprises évaluées, Lipoid Kosmetik est classée parmi les 1 % les plus performants depuis 2016.

« Nous sommes immensément fiers d’avoir reçu à nouveau cette reconnaissance prestigieuse de la part d’EcoVadis, a déclaré Peter Röthlisberger, directeur général de Lipoid Kosmetik. Le développement durable est au cœur de notre philosophie d’entreprise, et cette réalisation souligne notre engagement à mettre en œuvre et à maintenir des pratiques durables, et à avoir un impact positif sur l’environnement, la société et l’industrie dans son ensemble. »

Un sac vibrant, grâce à sa finition holographique

site-industries-cosmetiques Un morceau de papier avec un motif violet.

Inspiré par la tendance biofabrication où les formes organiques rencontrent la technologie et l’IA, le décor du sac conçu par Rissmann mime la complexité du tissu cellulaire humain, grâce à la lumière qui donne vie à ses couleurs en les faisant briller et vibrer de mille éclats. 

Ce rendu 3D est obtenu grâce à une finition holographique sur des teintes métalliques, faisant de ce sac unique une œuvre en constante évolution.

Le sac, équipé d’une poignée en coton collé est fabriqué à partir de fibres 100 % recyclées, dont 60 % issus de matières PCW. Il est certifié FSC.

Rissmann crée, développe et fabrique des packagings en papier d’exception – sacs, boites et coffrets sur mesure – qui affichent le caractère unique des marques de luxe dans la mode, les cosmétiques, les parfums, les bijoux, les spiritueux ou la technologie.


Caractéristiques techniques du sac vibrant :

  • Effet 3D
    Impression offset, violet clair
  • Finition par transfert, violet foncé, brillant et gaufré
  • Hologramme brillant, scintillant, réfléchissant, plat

Les Laboratoires Expanscience dévoilent leur 1er rapport de mission

site-industries-cosmetiques Une affiche avec les mots « conseils infantiles et ressources ».

Devenus société à mission en 2021, les Laboratoires Expanscience publient leur premier rapport de mission. Après s’être engagés à devenir régénératifs d’ici 2040, ce rapport marque une étape importante dans la transition de l’entreprise, et dans l’accomplissement de ses objectifs RSE.

« Aider les individus à façonner leur bien-être est notre raison d’être. Nous sommes convaincus qu’être en bonne santé ne dépend plus uniquement des choix de chacun·e et des traitements thérapeutiques. Le bien-être des individus et la santé de la planète sont des enjeux collectifs et interdépendants. L’urgence est là : notre planète est confrontée à des enjeux sociaux, climatiques et de préservation du vivant sans précédent, et face à ce constat, je suis convaincu que les entreprises font partie de la solution. À ce titre, nous avons fait de notre raison d’être notre colonne vertébrale et notre boussole. Ce rapport montre où cette boussole nous emmène, et surtout où nous en sommes. Si je suis fier du chemin déjà parcouru, depuis la signature du Pacte Mondial des Nations Unies en 2004, j’ai conscience que vouloir devenir une entreprise meilleure pour le monde, c’est faire plus encore », commente Jean-Paul Berthomé, Président des Laboratoires Expanscience.

Une raison d’être, « Aider les individus à façonner leur bien-être »

Pour traduire sa raison d’être en actes concrets, Expanscience s’appuie sur quatre objectifs statutaires et son programme de RSE impACT, co-construit en 2021 avec 40 collaborateurs/trices.

Le rapport de mission 2022 fait le point sur les avancées d’Expanscience en réponse à ses quatre objectifs sociaux et environnementaux. Parmi celles-ci :

  • Concevoir des produits et services utiles pour le bien-être, éco-socio-conçus, et toujours plus inspirés de la nature et du vivant 

100 % des nouveaux produits Mustela, conçus et fabriqués en 2022 suivent une démarche d’éco-socio-conception. Toutes les gammes de produits Mustela contiennent en moyenne 95 % d’ingrédients d’origine naturelle.

100 % des actifs cosmétiques Expanscience sont d’origine naturelle et 33 % sont certifiés biologiques, ou équivalents, ou commerce équitable.

  • Contribuer à l’atteinte des objectifs climatiques planétaires, à la protection et à la régénération de la biodiversité

Expanscience a réduit son intensité carbone de près de 8 % en 2022.

Expanscience a poursuivi et renforcé ses actions de décarbonation et de sobriété énergétique, notamment sur son site de production et d’Innovation recherche et développement en Eure-et-Loir : achat de certificats de production de biométhane dans son contrat énergétique, interruption d’une de ses trois chaudières principales, obtention de la norme ISO 50 001.

L’ensemble des collaborateurs et collaboratrices dans le monde a été formé à la Fresque du Climat.

Expanscience avance vers une comptabilité carbone intégrée pour « compter ce qui compte » dans ses opérations courantes et dans ses demandes d’investissements pour orienter ses décisions.

  • Aider ses collaboratrices et collaborateurs à être acteurs de leur épanouissement et bâtir avec eux une entreprise plus inclusive et solidaire Un index égalité 

Femmes-Hommes évalué à 99 sur 100 en France Un audit complet des avantages sociaux réalisé dans toutes les filiales d’Expanscience avec pour objectif la mise en place d’ici fin 2023 d’une Care Policy.

85 % des filiales Expanscience certifiées Great Place to Work.

  • Mobiliser ses communautés et son écosystème afin de construire ensemble un modèle d’affaires à impact positif sur la société, les individus et leur environnement 

93% des fournisseurs stratégiques d’Expanscience ont évalué leurs pratiques environnementales et sociales sur EcoVadis. Transformation progressive de l’offre de la marque Mustela en cohérence avec le programme impACT d’Expanscience et la feuille de route définie par la marque lors de la Convention des Entreprises pour le Climat (CEC).

Expanscience fait partie des 14 sponsors du consortium “Pulp in Action” : un projet de recherche et développement dédié à la problématique du packaging dont les travaux portent sur l’utilisation de fibres cellulosiques en alternative au plastique.

Tendre vers un modèle régénératif

Le rapport met en lumière la transformation engagée par Expanscience pour construire un modèle d’affaires à impact positif et devenir une entreprise régénératrice d’ici 2040. Dans cette optique, Expanscience a notamment pour objectifs de :

Renoncer progressivement d’ici 2027 à la fabrication et commercialisation des lingettes Mustela qui représentent actuellement 20% du chiffre d’affaires de la marque.

Valider une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre (scopes 1, 2, 3) compatible avec un réchauffement climatique limité à 1,5 °C à horizon 2030 dans le cadre de son engagement auprès de l’initiative SBTi (Science Based Targets initiatives.

Réaliser une empreinte biodiversité complète en 2023 et d éfinir d’ici 2024 un plan d’action pour réduire l’impact des activités sur les écosystèmes et contribuer à leur redonner une capacité à se regénérer.

Avoir d’ici 2025 toutes ses filiales dans le monde certifiées Great Place To Work.

Déployer des expérimentations pour tester de nouveaux modèles régénératifs (offres, services, partenariats…) au travers de son Lab impACT qui réunit des acteur.rice.s internes et externes qui agissent pour la transition d’Expanscience et de son écosystème.

« Expanscience est une ETI familiale, et c’est une véritable chance. Cette gouvernance nous permet de faire des choix audacieux et de repenser notre modèle économique pour réduire et remplacer les externalités négatives. Notre objectif est de basculer petit à petit, en apprenant, vers un modèle d’affaires compatible avec les limites planétaires, régénérateur des écosystèmes vivants et non vivants. Ce premier rapport confirme que nous sommes sur la bonne voie… mais qu’il reste encore du travail ! », souligne Karen Lemasson, directrice RSE et Open Innovation des Laboratoires Expanscience.

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