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Groupe Berkem signe un accord pour la distribution de ses ingrédients cosmétiques en Turquie

site-industries-cosmetiques Un bateau près d'une mosquée.

Groupe Berkem, acteur de référence de la chimie du végétal annonce la signature d’un accord avec Eigenmann & Veronelli, un fournisseur international de solutions dans le domaine des produits chimiques de spécialité et des ingrédients alimentaires, pour la distribution de ses ingrédients cosmétiques en Turquie. 

Eigenmann & Veronelli jouit d’une position et d’une expertise solides en Turquie et étendra les solutions qu’elle propose aux clients, accélérant ainsi la croissance du Groupe Berkem sur le marché des soins personnels.

 Ce nouvel accord de distribution permet au Groupe Berkem de confirmer sa volonté de renforcer sa présence internationale via des distributeurs spécialisés sur les marchés de la cosmétique et de la nutraceutique pour ses ingrédients d’origine végétale. 

Ces dernières années, l’industrie cosmétique Turque enregistre de fortes progressions annuelles, dont une croissance de 20 % en 2018. La demande intérieure pour les articles cosmétiques ne cesse de croître, alimentée tant par la hausse des revenus que par l’évolution des modes de consommation des femmes, mais aussi des hommes, de plus en plus touchés depuis quelques années par le marché des cosmétiques. 

La France, 1er pays fournisseur de la Turquie en 2017, bénéficie d’une notoriété particulière sur le secteur, ce qui permet aux marques françaises de profiter d’un excellent positionnement auprès des consommateurs turcs qui apprécient la qualité, le prestige et la renommée du « made in France ».*

Éric Moussu, directeur commercial de Groupe Berkem, déclare : « Ravis d’adresser le marché turc de la cosmétique via notre nouveau partenaire Eigenmann & Veronelli, nous maintenons les efforts afin de conclure des partenariats de qualité, permettant de proposer au marché de la cosmétique nos ingrédients naturels et biosourcés, et d’apporter de la naturalité à ces secteurs en plein essor. La position géostratégique de hub de la Turquie offre de belles perspectives de croissance et un potentiel important pour les acteurs comme Groupe Berkem. » 

Mauro Avidano, directeur commercial d’Eigenmann & Veronelli, ajoute : « Nous nous engageons continuellement à fournir des solutions qui répondent aux besoins en constante évolution des clients et des fournisseurs et à favoriser le développement durable des entreprises en proposant des ingrédients naturels et d’origine biologique. Avec cet accord, le groupe Berkem et E&V bénéficieront d’un partenariat stratégique qui leur permettra de se développer sur le marché des soins personnels en Turquie. »*

*Source : données issues de BusinessFrance

Repenser la gestion des déchets et la surproduction

site-industries-cosmetiques Une femme parcourt les produits cosmétiques sur son téléphone.

Le gaspillage et la surproduction font partie des problématiques auxquelles l’industrie de la beauté et des cosmétiques est confrontée. 

Le rapport d’Avery Dennison « les milliards manquants : le coût réel du gaspillage de la chaîne d’approvisionnement révèle que plus de 10 % des produits de beauté d’une valeur estimée à 4,8 milliards de dollars sont gaspillés dans les chaînes d’approvisionnement. 6,2 % des marchandises jetées sont le résultat d’une surproduction tandis que 4 % des stocks sont jetés du fait d’une dégradation ou d’une détérioration de la marchandise. Sans surprise, il s’agit d’une préoccupation croissante pour les marques, qui pourraient y laisser jusqu’à 2,8 % de leurs bénéfices annuels.

L’autre critère de poids dont il faut tenir compte est l’impact sur l’environnement des déchets cosmétiques liés aux shampoings, lotions, déodorants et autres produits de soins corporels. Aujourd’hui, le plastique est à l’origine de plus de 120 milliards d’unités d’emballage produites chaque année par l’industrie cosmétique, dont la grande majorité ne peut être recyclée. Selon un rapport de l’OCDE, seuls 9 % des déchets plastiques sont recyclés à l’échelle mondiale. Ce taux devrait atteindre 17 % d’ici 2060.

Selon l’étude d’Avery Dennison auprès d’une soixantaine d’entreprises de l’industrie cosmétique œuvrant aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Chine, en France et au Japon, l’impact des marques sur l’environnement provient à 23 % de leurs activités dans la supply chain.

Plus des trois quarts (77 %) des personnes interrogées suivent actuellement les déchets de leur chaîne d’approvisionnement. Toutefois, 18 % d’entre elles ont indiqué que le manque de visibilité et de transparence entre les partenaires commerciaux était le principal obstacle à la résilience de leur chaîne d’approvisionnement.

L’utilisation de la technologie RFID est une solution qui aide les marques à réduire le gaspillage de la supply chain. Elle crée une identité numérique unique pour chaque produit et relie le physique au numérique. Elle fournit des informations précieuses permettant aux consommateurs de prendre de meilleures décisions, notamment en matière de transparence et d’empreinte carbone.

Grâce aux récents développements technologiques, la RFID est mieux adaptée à l’étiquetage des petits articles, aux contenants de liquide ou bien encore aux produits ornés d’une marque métallique. 

La RFID offre un niveau supplémentaire d’authenticité et de traçabilité tout au long du cycle de vie d’un produit, de sa fabrication à la mise en rayon et au-delà. Elle permet d’identifier plus facilement les emballages et leur contenu dans le cadre de programmes de recyclage ou d’informer le consommateur qu’aucun ingrédient non souhaité, comme l’huile de palme par exemple, n’est présent dans l’article.

Le cloud de produits connectés atma.io aide les marques à atteindre leurs objectifs « zéro déchet » tout au long de la chaîne d’approvisionnement. Actuellement, plus de 28 milliards d’articles sont gérés par la plateforme atma.io dans les secteurs de l’habillement, de la vente au détail, de l’alimentaire et des soins de santé. 

L’outil d’analyse de l’impact carbone en temps réel d’atma.io fournit également aux marques des informations sur des données concernant l’empreinte carbone de leurs produits, y compris les émissions du champ d’application 3 et au-delà. Il s’agit d’un nouvel outil puissant qui capture des données à chaque étape du parcours d’un produit, de la matière première au consommateur, et qui peut aider les entreprises à se conformer à la future réglementation européenne sur le passeport numérique des produits (DPP).

L’outil d’élimination des déchets en temps réel atma.io utilise quant à lui l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique pour analyser et communiquer sur les anomalies et les inefficacités de la supply chain. Il s’agit notamment d’informations sur les mouvements de produits en retard au niveau des palettes ou même sur des articles isolés dans un entrepôt qui sont sur le point de périr. Ces fonctionnalités permettent aux marques de prendre des mesures rapides et proactives afin d’améliorer l’efficacité de leur supply chain, de minimiser les pertes de produits et de fournir des stocks suffisants pour répondre aux demandes des clients.

Cette technologie polyvalente contribue à trouver des solutions pertinentes pour diminuer le gaspillage et la surproduction. En exploitant ces solutions d’identification digitale, les marques peuvent garantir une meilleure visibilité des stocks, une durabilité accrue et une meilleure rentabilité.

Pierre Fabre consolide son expertise en dermatologie en créant une base de données internationale

site-industries-cosmetiques Une femme portant un haut rayé noir et blanc.

À l’occasion du 25e Congrès mondial de dermatologie (WCD), qui s’est déroulé à Singapour, du 4 au 7 juillet, le département de la relation patients Pierre Fabre a présenté le projet ALL, une enquête de grande envergure, la plus importante jamais réalisée en dermatologie.

Ce projet, lancé fin 2022, avec l’aide de la société Emma, a pour objectif de collecter des données sur tous les types de peaux (ALL Skins), toutes les maladies de peaux (ALL Dermatoses) et tous les phototypes (ALL Colors) afin de construire la plus grande base de données privée internationale.

Quelque 50 552 personnes, issues des populations adultes de 20 pays (représentant à eux seuls plus de 50 % de la population mondiale) répartis sur cinq continents, ont répondu aux 65 questions du projet ALL.

Les principales thématiques abordées sont liées à la prévalence et à l’impact des pathologies, mais également aux comportements, aux parcours de soins et aux besoins des patients concernés par une ou plusieurs dermatoses comme la dermatite atopique, le psoriasis, l’acné, la rosacée, ou encore le vitiligo (cf. Annexe 1).

La force de cette étude réside dans l’ampleur considérable des données recueillies et leur représentativité : les répondants sont issus d’échantillons proportionnels à la population de chaque pays (cf. Annexe 2), permettant une analyse très fiable des besoins à l’échelle mondiale, par territoire géographique. 

La base de données ALL a été construite avec analyse des résultats dans le temps (analyse longitudinale), pendant cinq ans (2023-2027). Les 3,3 millions de données permettront d’identifier les informations essentielles à une meilleure compréhension du vécu des patients.

« La création de cette base de données, exceptionnelle par sa couverture géographique, confirme notre engagement à œuvrer aux côtés des professionnels de santé dans le monde entier pour contribuer à l’amélioration de la qualité de vie des patients souffrant de pathologies de peau. Mieux connaître leurs attentes va nous permettre d’orienter notre façon de travailler et d’innover pour toujours mieux les accompagner dans leur parcours de soins en dermatologie », a déclaré Núria Perez Cullel, directrice médicale, et relation patient/consommateur Pierre Fabre.

Plus d’une personne sur trois souffre d’une maladie de peau, et pourtant, les politiques de santé et de prévention ne considèrent pas la dermatologie comme une priorité de santé publique. Le projet ALL vise à fournir un état des lieux mondial de la prévalence des principales maladies de peau et de leurs conséquences afin de générer une prise de conscience de tous les acteurs. Les patients atteints de maladies dermatologiques doivent être plus accompagnés et il est essentiel de réussir à convaincre les autorités publiques d’accorder une plus grande importance aux dermatoses dans les programmes de prévention. 

Ce projet, unique en son genre, a déjà obtenu le soutien de leaders d’opinion de renommée internationale : le Professeur Jean Hilaire Saurat de l’Université de Genève pour l’acné, le Professeur Gil Yosipovitch de l’Université de Miami, pour le prurit, les Professeurs Henry LIM de l’Université de Detroit et Khaled Ezzedine, dermatologue à l’APH Paris, pour la photoprotection, le Professeur Julien Seneschal, dermatologue au CHU de Bordeaux pour le vitiligo et le Professeur Marie Aleth Richard, dermatologue à l’APH Marseille et ancienne présidente de la SFD.

Les données de l’étude ALL seront également partagées avec les associations de patients de façon à les aider à porter leur plaidoyer auprès du grand public, des professionnels de santé ou des autorités. Sept associations de patients ont déjà été impliquées dans cette démarche en France comme à l’international.

« Pour les professionnels de la santé, le projet ALL est unique. Grâce à sa méthodologie, il va nous permettre de décrire pour la première fois la prévalence perçue du prurit à travers le monde, quels que soient l’ethnie, le sexe, l’âge ou la région des patients ! », a déclaré le Professeur Gil Yosipovitch, directeur du Miami Itch Center (Dr. Phillip Frost Dept. of Dermatology, Miller School of Medicine, Miami USA).

Annexe 1 :
Liste des sujets étudiés

Acné, psoriasis, rosacée, eczéma, lentigo, cancers cutanés, vitiligo, troubles des cheveux et des ongles, plaies/cicatrisation, douleur et prurit, actes esthétiques, troubles des soins bucco-dentaires, protection solaire. 

Annexe 2 :
Taille des échantillons par pays
5000 personnes en Chine ; 5000 personnes aux États-Unis ; 4001 personnes au Brésil ; 4001 personnes en Italie ; 4000 personnes en France ; 4000 personnes en Allemagne ; 4000 personnes en Espagne ; 3000 personnes en Inde ; 2500 personnes au Canada ; 2500 personnes au Mexique ; 2500 personnes en Pologne ; 2500 personnes en Corée du Sud ; 2000 personnes en Australie ; 1000 personnes au Danemark ; 1000 personnes en Israël ; 1000 personnes au Portugal ; 1000 personnes en Afrique du Sud ; 750 personnes aux Émirats Arabes Unis ; 500 personnes au Kenya ; 300 personnes au Sénégal.

Un système de pipetage de paillasse compact à 96 canaux

site-industries-cosmetiques Une tablette avec un microscope attaché à des fins de dessin automatique.

Mettler Toledo présente le premier système de pipetage de paillasse Rainin MicroPro 96 canaux portable. 

MicroPro permet de simplifier et de rationaliser le travail sur des microplaques à 96 et à 384 puits. 

Compact, abordable et facile d’utilisation, ce système se connecte en Bluetooth à un système de contrôle tactile offrant une expérience intuitive et conviviale avec toutes les caractéristiques et fonctions à portée de main.

Simplifie les flux de travail

Grâce à ses nombreuses fonctionnalités, le Rainin MicroPro permet d’améliorer la reproductibilité des résultats et de limiter les erreurs liées à la manipulation. Ses multiples modes de pipetage standard et avancés permettent des flux de travail plus rapides et de meilleure qualité.

Unique

Avec une hauteur d’à peine plus de 30 cm et une largeur de 19 cm, MicroPro est, selon Mettler Toledo, le plus petit système de pipetage à 96 canaux du marché. Il permet de libérer un espace sur une paillasse de laboratoire. Son poids de 5 kg fait de lui le seul système véritablement portable.

Malgré sa compacité, le MicroPro possède deux réglages de plateau ce qui permet d’améliorer la productivité. Il dispose également d’une interface d’utilisation claire, lumineuse, en couleur avec une résolution élevée ce qui rend son utilisation agréable.

Protocoles personnalisés 

Il est possible de créer des protocoles personnalisés en toute simplicité tout en composant et en enregistrant des séquences d’instructions et d’étapes de manipulation de liquide répondant exactement aux besoins du moment.

Givaudan communique sur son nouvel ingrédient upcyclé : la fraise Alcoholate Orpur

site-industries-cosmetiques Un gros plan d'une fraise rouge avec des gouttelettes d'eau.

La collection Orpur de Givaudan a été créée en 2000 dans le but d’exploiter le potentiel des matières premières naturelles emblématiques en parfumerie. 

« Strawberry Alcoholate Orpur », un ingrédient créé à partir des déchets de fabrication du jus de fraise, fait son entrée dans la collection !

Marypierre Julien, parfumeur, et Eléa Noyant, responsable marketing naturels, ont présenté ce tout nouvel ingrédient de parfums upcyclés de Givaudan sur Instagram.

« D’avoir accès à des fruits 100 % naturels ouvre la palette du parfumeur et permet une créativité beaucoup plus explosive au niveau des notes de départ. Cela apporte beaucoup de naturalité et de juteux à un parfum », indique Marypierre Julien.

« Cet ingrédient est issu de l’industrie des jus de fruits. C’est grâce à cette concertation entre les arômes, les fragrances, l’upcycling et les nouvelles techniques d’innovation que nous sommes capables, aujourd’hui, d’avoir des extraits solubles dans l’alcool qui peuvent être utilisés pour des parfums », explique Eléa Noyant.

« La fraise est un produit très versatile. Elle fonctionne très bien en eau de toilette, mais elle fonctionne aussi en bougie. Elle apporte une note très juteuse et très verte et pétillante en tête. Elle se marie très bien avec d’autres fruits. Elle se marie aussi par son côté floral », détaille Marypierre Julien.

Les plantes à parfum à l’honneur

site-industries-cosmetiques Une rose rose avec des feuilles vertes au premier plan.

En 2020, Lancôme faisait l’acquisition du Domaine de la Rose, à Grasse. Un site aujourd’hui de sept hectares dédié à la polyculture biologique d’une dizaine de variétés de plantes à parfum telles que la rose Centifolia, la tubéreuse, le jasmin ou encore l’iris.

Ce domaine ouvrira ses portes au public à l’occasion des prochaines journées du patrimoine, les 16 et 17 septembre 2023.

« Le Domaine de la Rose se veut un lieu de partage, de préservation et de célébration des savoir-faire naturels et culturels liés au parfum », indique-t-on chez Lancôme.

Une visite guidée permettra de découvrir l’histoire du domaine – où sont cultivées les plantes à parfum à l’aide de méthodes traditionnelles de polyculture –, une distillerie pédagogique ainsi que la « Maison Rose », une bâtisse écoconçue à l’architecture originale qui abrite un orgue à parfums.

Propriétaire, exploitant bio-agricole, producteur et parfumeur, Lancôme témoigne, avec ce domaine, son attachement à Grasse.

Lubrizol propose un nouveau modificateur de rhéologie

site-industries-cosmetiques La main d'une femme tient une bouteille de crème Lubrizol.

Carbopol SC-800 fait partie de la famille des polymères Carbopol de Lubrizol.

Indiqué pour les formules nettoyantes douces et sans sulfate, ce polymère est un modificateur de rhéologie pour les formulations douces et sans sulfate, gels douche, shampoings et nettoyants pour le visage. 

« Le polymère Carbopol SC-800 présente la meilleure efficacité d’épaississement, la meilleure clarté et les meilleures propriétés de suspension dans les études le comparant à d’autres polymères modifiés hydrophobes. Cela permet aux formulateurs de créer des esthétiques uniques dans leurs formules de nettoyage de la peau, y compris la suspension de perles naturelles, de gommages et d’autres éléments nettoyants », indique-t-on chez Lubrizol Life Science Beauty.

Selon l’entreprise, des études sur la génération de mousse ont par ailleurs montré que le polymère n’a pas d’impact négatif sur la qualité de la mousse, tant au niveau du volume de mousse généré que de sa morphologie.

Global Bioenergies revoit ses ambitions à la hausse

site-industries-cosmetiques Deux cuves arborant le logo "global bioenergies" dans un décor de brouillon auto.

Global Bioenergies, spécialiste de la conversion des ressources végétales en composés chimiques utilisés dans de nombreux domaines de pointe tels que les cosmétiques et l’énergie, a annoncé revoir à la hausse ses ambitions industrielles et décide d’ajuster sa feuille de route pour se concentrer dès à présent sur un projet d’usine de plus grande capacité de production que l’usine ViaViridia afin de répondre aux attentes de ses interlocuteurs industriels, commerciaux et financiers. 

Cette usine dimensionnée pour produire 10 000 tonnes d’isobutène et dérivés par an (contre 2 000 tonnes dans le projet précédent) visera les marchés de la cosmétique puis celui des carburants d’aviation durables pour lequel Global Bioenergies vient d’obtenir la certification ASTM.

Marc Delcourt, co-fondateur et directeur général de Global Bioenergies, commente : « Nous avons livré les premières commandes et notre chiffre d’affaires du premier semestre s’établit à 2,4 millions d’euros. Guidés par la tendance actuelle de l’accélération des renouvelables, par la forte traction des marchés sur le sujet et par les progrès techniques de notre procédé en voie directe, nous modifions notre feuille de route. Les activités commerciales de l’unité de Pomacle, certes génératrices de chiffre d’affaires mais à faible marge associée, ne sont plus prioritaires. Nous concentrons désormais tous nos efforts vers l’édification de cette usine de plus grande taille prévue pour démarrer fin 2027. En parallèle, nous commençons déjà à projeter notre technologie dans d’autres géographies et avec d’autres matières premières avec des groupes industriels internationaux. »

Pour L’Oréal, premier actionnaire de Global Bioenergies via son fonds d’investissement Bold (Business Opportunities for L’Oréal Development), ce projet d’usine de grande capacité fait écho aux enjeux environnementaux et engagements pris dans le cadre de son programme L’Oréal pour le futur. 

Ana Kljuic, Vice-Présidente R&I L’Oréal pour le futur & sciences vertes ajoute : « Notre engagement d’ici 2030 est d’atteindre 95 % d’ingrédients bio-sourcés, issus de minéraux abondants ou de procédés circulaires dans nos formules. Cette nouvelle ambition de Global Bioenergies va rendre les dérivés d’isobutène bio-sourcé accessibles à prix compétitif aux marchés des cosmétiques et, au-delà, permettre à tous de participer activement à la transition environnementale. »

Global Bioenergies publiera un calendrier des étapes de conception et de construction de l’usine d’ici à la fin de l’exercice 2023.

Biolie communique sur Biolime, un extrait de citron vert upcyclé 

site-industries-cosmetiques Un fruit Biolime recyclé avec des gouttelettes d'eau dessus, car Biolie promeut leur un extrait de citron vert vert.

Grâce à son procédé breveté d’extraction enzymatique zéro déchet, Biolie propose Biolime, un extrait aqueux de citron vert certifié Cosmos qui agit comme un bouclier pour protéger les cellules cutanées exposées à la pollution tout en boostant leur métabolisme.

« Cet ingrédient aide à lutter contre la pollution urbaine sur la peau. À 1%, Biolime lutte contre 100 % des dommages de l’ADN et stimule la production d’ATP de 30 % », indique Biolie.

Une vidéo permet de découvrir comment formuler une gelée anti-pollution rafraîchissante :

YouTube vidéo

D’autres ingrédients sont présentés dans cette vidéo :

  • Pyr’O, un extrait de poire upcyclée certifié Cosmos qui constitue une alternative durable à l’eau dans les formulations. Selon Biolie, des tests ont d’ailleurs montré que son pouvoir antioxydant est comparable à celui de la vitamine C et qu’il peut aider à lutter contre le vieillissement cutané !
  • Hydroblue, un extrait approuvé par Cosmos, obtenu à partir de spiruline et donnant une couleur bleue naturelle aux formulations ou émulsions à base d’eau.

Cellcosmet : une nouvelle génération de soins cellulaires, une filiale aux États-Unis 

site-industries-cosmetiques Un ensemble de produits cosmétiques sur fond rouge avec une touche auto brouillon.
Cellcosmet Gen 2.0 Product Offerings. Products pictured left to right include: Ultra Vital, Sensitive, Ultra Vital Light, Cellular Eye Contour Cream, and UltraCell Intensive.

Cellap Laboratoire, berceau des marques suisses de luxe Cellcosmet et Cellmen, s’implante aux États-Unis avec l’établissement d’un Cellap Laboratory Americas basé à New York.

« L’ambition principale du fondateur de Cellcosmet était de créer les produits de soin les plus efficaces pour revitaliser la peau avec les plus hauts standards de qualité. Notre philosophie repose sur l’innovation, la qualité, la sécurité des produits, le caractère suisse et les résultats. En introduisant Cellcosmet aux États-Unis, notre objectif était de continuer à apporter ce niveau d’excellence à de nouveaux consommateurs. Nous visons à étendre notre présence sur le marché des soins de la peau de luxe à travers le commerce électronique, les spas haut de gamme, les hôtels, les cliniques et les grands magasins haut de gamme. Chez Cellcosmet, nous valorisons notre communauté et nous sommes ravis d’apporter la quintessence de la science cosmétique suisse aux Etats-Unis », explique Tancrède Amacker, directeur général.

L’année dernière, les équipes scientifiques de Cellcosmet ont présenté une alliance progressive de deux technologies : les extraits cellulaires et la science du microbiome. Avec cette innovation comme catalyseur, Cellcosmet a introduit des formulations optimisées de ses lignes de soins cellulaires pour hommes et femmes, contenant la prochaine génération (Gen 2.0) de son ingrédient signature, CytoPep Cellular Extracts, et un nouveau complexe postbiotique. Cellcosmet continue de travailler sur ses formules pour revitaliser la peau, minimiser les traces visibles laissées par le temps et désormais protéger et préserver le microbiome de la peau. 

« Alors que l’ADN est le code de la vie, les protéines et les peptides sont le mécanisme de la vie. Infusés de plusieurs peptides et protéines et riches en collagène et autres protéines structurelles de la peau, les extraits cellulaires CytoPep sont l’élément vital à l’origine de la santé et du rajeunissement de la peau. Les extraits cellulaires CytoPep contribuent à stimuler le métabolisme énergétique et à accroître l’énergie cellulaire dans les cellules de la peau, en particulier les mitochondries, afin d’améliorer la visibilité et la santé de la peau par le renouvellement naturel des cellules cutanées et de renforcer la fonction de barrière cutanée. Cette nouvelle génération de produits associés au Postbiotics Complex et aux extraits cellulaires CytoPep, que nous avons développés pour préserver l’équilibre et la diversité du microbiote cutané, est prouvée pour optimiser visiblement la revitalisation de la peau », détaille Jérémie Soeur, Chief Science Officer.

Postbiotics Complex est composé de trois ferments d’origine marine qui, ajoutés à la formule du soin cellulaire, permettent de préserver et de renforcer la qualité de la peau. Le premier ferment, composé de molécules complexes, agit comme un film protecteur, protège la peau de la lumière bleue, améliore l’élasticité et maintient la fonction barrière de la peau. Les deux autres ferments sont efficaces pour lifter et raffermir visiblement la peau, révélant ainsi le véritable éclat du teint. Ils aident également la peau à se défendre contre certains facteurs de stress environnementaux.

Deux autres ingrédients rigoureusement sélectionnés, l’OleoComplex et le HydraProtect Film Complex, sont contenus dans les nouvelles formules Cellcosmet Gen 2.0. Ces ajouts aident la peau à maintenir une hydratation optimale pour une fonction de barrière cutanée qui protège efficacement le visage contre les facteurs agressifs de la vie quotidienne, y compris la pollution et le stress.

Dans le cadre de cette nouvelle ère, Cellcosmet offre également une nouvelle expérience sensorielle en améliorant la texture et le parfum de ses crèmes cellulaires pour la peau. Les formules non grasses à pénétration rapide sont soyeuses au toucher et laissent la peau incroyablement douce. Le parfum d’agrumes est rehaussé de notes florales et musquées, pour une senteur légère, fraîche et élégante sur la peau.

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