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FaiveleyTech inaugure une nouvelle salle blanche ISO 7

Le site FaiveleyTech Annecy annonce la mise en place d’une nouvelle salle blanche dédiée aux opérations additionnelles d’assemblage. Cette installation vient augmenter la force d’action de la BU Santé de FaiveleyTech sur les marchés des dispositifs médicaux, des consommables de diagnostic, des emballages pharmaceutiques et de l’administration de médicaments.

Portée par une croissance constante, la BU Santé de FaiveleyTech investit pour un outil et une force de production complémentaires en phase avec les exigences de ses clients et les évolutions du marché.

FaiveleyTech est un groupe international, d’origine française, spécialiste de l’injection plastique à forte valeur ajoutée pour des marchés exigeants, sélectifs et/ou normatifs de l’industrie, de la beauté et de la santé.

Le groupe augmente ses capacités de production en installant une nouvelle salle blanche ISO 7 de 100 m² sur son site d’Annecy. Celle-ci vient compléter les trois ateliers d’injection en salle blanche ISO 7 de 1700 m² (800 m², 600 m² et 300 m²), les deux ateliers d’assemblage en salle grise et le laboratoire microbiologique intégré. Cette nouvelle salle blanche accueillera ses premiers projets pendant l’été 2023.

FaiveleyTech développe ses capacités d’assemblage en salle blanche ISO 7, en complément de ses activités d’injection (en salle blanche ISO 7 également).

« Grâce à ce nouvel équipement, FaiveleyTech propose au marché de la santé une offre complète incluant des opérations additionnelles complémentaires à l’injection en salle blanche ISO 7. Cette approche, qui concerne les secteurs des dispositifs médicaux, des consommables de diagnostic, de l’emballage pharmaceutique et de l’administration de médicaments, est une vraie valeur ajoutée », précise Lionel Frutoso, directeur de la BU santé. 

FaiveleyTech Annecy : site clé de la business unit Santé

La BU Santé de FaiveleyTech s’articule autour de trois domaines d’activité stratégiques : la pharma (administration de médicaments et packagings pharmaceutiques), le diagnostic et les dispositifs médicaux.

Le site de FaiveleyTech Annecy (auparavant Eudica) est orienté pharma et diagnostic, avec comme points forts l’industrialisation, l’automatisation des process ultra qualifiés, un niveau élevé d’équipements et une production en atmosphère contrôlée.

Il apporte aux acteurs du secteur pharmaceutique une réactivité accrue et une grande souplesse. Ses installations favorisent la fabrication de gros volumes à haute cadence, avec des automatisations performantes adaptées à des exigences qualité fortes.

Le site FaiveleyTech Ticino (auparavant Socoplast), implanté en Suisse, s’inscrit en complément et fonde son expertise sur les dispositifs médicaux. Équipé d’une salle blanche ISO 8, il fournit à ses clients des possibilités de prototypages, d’accompagnement design et d’études de produits. La maîtrise de la micro-injection, de l’assemblage, de la soudure et du parachèvement est particulièrement pertinente pour la réalisation de petites et moyennes séries.

FaiveleyTech investit constamment dans ses sites de production et s’inscrit comme un partenaire polyvalent et agile des entreprises du secteur de la santé. L’association de ses savoir-faire produit (administration de médicaments, packagings pharmaceutiques, diagnostic, dispositifs médicaux) et de ses savoir-faire techniques (production en atmosphère contrôlée, industrialisation et automatisation de process haute-cadence, maîtrise des qualifications à fortes exigences, solutions d’assemblage, micro-injection) en fait un acteur incontournable de l’industrie de la santé.

L’application Claire de la Febea au programme des écoles d’esthétique, de cosmétique et de parfumerie

Grâce à la mobilisation de la Confédération nationale de l’esthétique parfumerie (Cnep), l’application Claire élaborée par la Fédération des entreprises de la beauté (Febea), qui décrypte les ingrédients des produits cosmétiques, sera intégrée aux programmes des écoles pour les étudiants de CAP, BP, Bac Pro et les BTS des métiers de l’esthétique, de la cosmétique et de la parfumerie pour la rentrée 2023.

Développée par la Febea en 2020 avec le concours de la Société française de cosmétologie (SFC), l’application Claire propose des informations scientifiques, fiables et pédagogiques, sur plus de 29 000 ingrédients présents dans les produits cosmétiques. Elle est destinée aux professionnels du secteur (conseillers de vente, coiffeurs, esthéticiennes…) et aux consommateurs.

L’application Claire permet de rechercher des informations sur un ingrédient en particulier ou de scanner la liste des ingrédients d’un produit pour savoir ce qu’il contient. Il ne donne aucune note ou avis sur l’ingrédient mais uniquement des informations scientifiques vulgarisées, fiables et vérifiées, pour permettre au consommateur de se faire sa propre opinion.

Dès la rentrée 2023, sous l’impulsion de la Cnep, l’application Claire sera intégrée aux guides d’accompagnement des référentiels des diplômes de l’esthétique, cosmétique et parfumerie de l’éducation nationale, donnés aux formateurs. Plus de 12 000 élèves seront alors formés à l’usage de cette application. L’objectif : leur fournir un outil facile d’utilisation qui leur permet de répondre rapidement à toutes les questions que posent les clients sur la composition des produits cosmétiques.

L’application Claire a été présentée à toutes les inspectrices d’académie de France, dans le cadre du programme national de formation.

Un extrait de fleur de safran agissant comme antioxydant, anti-âge et apaisant

Grâce à son éco-procédé d’extraction enzymatique breveté, Biolie a développé Saffrever, un extrait de fleur de safran agissant comme antioxydant, anti-âge et apaisant.

Un actif naturel upcyclé…

Cet actif aqueux est obtenu par extraction enzymatique de coproduits de la culture du safran. Il est issu de pétales upcyclés de crocus à safran.

… aux propriétés multiples

Saffrever inhibe l’activité de β-galactosidase et d’IL-1, faisant de lui un actif anti-âge aux propriétés apaisantes très efficace selon Biolie. Il possède également des propriétés antioxydantes et repousse jusqu’à 90 % des radicaux libres.

Bon teint, bon œil avec Lumene et le tube Tense de Cosmogen

La marque nordique Lumene a choisi le tube breveté Tense de Cosmogen pour son correcteur hybride Lumene, Invisible illumination, serum in concealer.

Cette formule innovante multi-bénéfices combine un massage froid, un soin sérum yeux et la couvrance d’un correcteur, pour rafraîchir, hydrater et illuminer le contour de l’œil. Fidèle aux valeurs de la marque, le tube est en PE recyclé et l’applicateur est détachable pour faciliter tri et recyclage en fin de vie.

La vision de Lumene est  d’être la marque de beauté n°1 des pays nordiques, reconnue pour ses ingrédients issus d’un artisanat arctique durable auprès d’une large communauté de consommateurs internationaux. Sa mission est de développer des produits de beauté durables et performants pour un avenir meilleur.

Le tube Tense continue de séduire. Le bénéfice perçu est immédiat, grâce à l’effet froid de son applicateur en zamak et à sa gestuelle facile et experte. Le design de ce packaging breveté avait été entièrement repensé pour que l’applicateur soit démontable et réutilisable sur un nouveau tube, disponible en plastique recyclé. Tous les composants – capot, applicateur, tube – sont séparables et recyclables en fin de vie.

Fin 2022, Cosmogen avait lancé une collection de cinq applicateurs en zamak texturé, se distinguant par leur personnalisation et leur sensation. Cosmogen propose le développement de designs exclusifs aux marques.

Seppic étend son savoir-faire aux cheveux

À l’heure où une femme sur deux pourrrait souffrir de chute de cheveux excessive au cours de sa vie1 , le marché mondial de la nutricosmétique s’intéresse de plus en plus au segment capillaire. Seppic, forte d’une expertise de plus de 10 ans sur la peau, étend désormais son savoir-faire aux cheveux en révélant des résultats cliniques prometteurs.

Le maintien et le renouvellement de cheveux sains sont directement corrélés avec leur composition en lipides. C’est pourquoi les céramides, connus pour leur implication dans la formation des lipides intracellulaires, jouent un rôle clé et agissent comme une barrière pour la protection de la cuticule des cheveux.

C’est en partant de ce constat que Seppic a lancé une étude clinique sur son ingrédient nutraceutique naturel Ceramosides, obtenu à partir de lipides de blé et riche en phytocéramides.

Cette étude randomisée, réalisée en comparaison avec un placebo, a été menée sur un panel de femmes de tous âges touchées par une chute de cheveux non pathologique. En seulement trois mois, les résultats mettent en lumière des effets significatifs sur différents paramètres clé du cheveu :

  • une croissance significative de la longueur des cheveux de 12.5% vs. placebo
  • une multiplication par 2 du nombre de cheveux en phase de croissance: + 11 000 (contre moins de 5000 pour le groupe placebo)
  • une diminution significative de 27% de la chute de cheveux vs. placebo
  • une amélioration significative de la résistance des cheveux à la casse grâce à l’augmentation de leur élasticité
  • une réduction significative du sébum au niveau du cuir chevelu chez les femmes ayant des cheveux à tendance grasse

Cette nouvelle étude vient ainsi enrichir le champ d’application de Ceramosides, dont l’efficacité anti-âge et hydratante sur la peau a déjà été prouvée par trois études cliniques. 

Ceramosides est vegan, garanti sans OGM, sans additif, sans conservateur et sans gluten. Il est certifié casher et possède également un grade biologique.

1 Cleveland Clinic. Hair Loss in Women. (online). Consulted in June 2023. 

Groupe Berkem signe un accord de distribution en Inde avec Indchem International

Groupe Berkem, acteur de référence de la chimie du végétal annonce la signature d’un accord avec Indchem International, fournisseur mondial majeur d’ingrédients cosmétiques pour le secteur de la beauté, pour la distribution de ses ingrédients cosmétiques en Inde. 

Indchem International est l’un des principaux fournisseurs d’ingrédients pour le marché du « lifestyle », dont la force réside dans l’analyse et la réponse aux tendances de marché en constante évolution, garantissant à leur client des produits avec des spécificités toujours plus strictes que celles exigées par le marché international. Par ce nouvel accord de distribution et dans la continuité des accords de distribution signés précédemment, Groupe Berkem étend sa stratégie de maillage international via des distributeurs spécialisés, sur les marchés du « lifestyle » et de la cosmétique en Inde pour ses ingrédients d’origine végétale. 

L’industrie cosmétique indienne était estimée à 5,49 milliards d’euros en 2019, avec l’ambition de tripler d’ici 2025, et atteindre 17,8 milliards d’euros. L’augmentation de la classe moyenne et de son pouvoir d’achat, l’expansion des canaux de vente, l’influence des célébrités, et la recherche de débouchés alternatifs à la Chine, sont autant de facteurs pour une demande renforcée de produits cosmétiques haut de gamme face à laquelle l’industrie souhaite se tenir prête.* 

Éric Moussu, directeur commercial de Groupe Berkem, déclare : « Conscient du fort potentiel de croissance du marché indien et de l’importance d’apporter de la naturalité aux produits cosmétiques afin de garantir leur qualité et performance, nous sommes très fiers de pouvoir compter sur de solides partenaires comme Indchem international, fortement implanté sur le territoire, pour assurer la distribution des ingrédients cosmétiques de Groupe Berkem, et de participer à la naturalisation du marché des cosmétiques en pleine transformation tout en renforçant notre présence à l’international. » 

Tavleen Sainathan pour IndChem International, ajoute : « Nous soutenons constamment nos clients et nous efforçons d’être un fournisseur de solutions à guichet unique. Notre expertise dans l’identification de produits spécifiques permet à nos clients de se démarquer au sein des marchés qu’ils adressent. Grâce à des acteurs référents de la chimie du végétal comme Groupe Berkem, nous pouvons renforcer cette offre unique de produits de qualité, et permettre à nos clients de se renforcer sur les marchés adressés via des ingrédients hauts de gamme. » 

* Source : données issues de BusinessFrance

Marquage laser : Seram bénéficiera du savoir-faire de Qiova

La société Seram, filiale du groupe Neyret, spécialisée dans les accessoires et ornementations pour l’industrie du luxe, s’allie à l’expertise de Qiova en matière de solutions innovantes de traitement de la matière par laser femtoseconde.

Grâce à la technologie laser multifaisceaux programmable brevetée par Qiova, Seram pourra réaliser, dans des temps extrêmement courts, une variété infinie de marquages fonctionnels mais aussi esthétiques, sur une large gamme de matériaux : verre, métal (aluminium, zamac, laiton, cuivre…), céramique, polymère, textile, bois, carton…

Le laser femtoseconde, par le biais d’une interaction spécifique de la lumière avec la matière, permet d’obtenir des rendus exceptionnels, à même le produit ou sur un décor rapporté (plaque métal, décor cuir…) en ayant une parfaite maîtrise de la précision et de la reproductibilité.

Les QR codes, intégrés au décor ou de l’ordre de l’infiniment petit, seront désormais personnalisables à très haute cadence, pour permettre l’identification unitaire des packagings sans perturber l’expérience utilisateur. Le digital sera intégré dans le produit de façon évolutive et rétroactive pour créer le lien avec les utilisateurs.

Le groupe Neyret est désormais capable d’offrir une solution globale (laser + logiciel) et peut ainsi fournir aux clients une solution clé en main, avec la société Seram sur la partie Laser et la société Sansara (groupe Neyret également) sur l’environnement logiciel de suivi unitaire des produits.

Depuis la conception jusqu’à la solution digitale, en passant par l’accompagnement, ces nouvelles solutions complètes de décoration ou traçabilité intégreront l’ensemble des contraintes industrielles clients tout au long du projet.

Les enjeux de ce rapprochement Seram-Qiova sont multiples.

Elle permettent de répondre aux :

  • nouvelles attentes des consommateurs : RSE / environnement / transparence / story telling /
  • nouveaux besoins de marquages esthétiques : revamping / co-branding / Sensorialité
  • nouveaux usages des produits : millennials / NFT / phygital / second vie
  • nouvelles exigences du marché et des régulateurs : loi Agec / anticontrefaçon / DPP (Digital Product Passeport)

Pochet : 400 ans d’innovation et de nouvelles collaborations avec des start-up

Fondé en 1623 dans la vallée de la Bresles, le groupe Pochet a récemment accueilli ses clients dans ses locaux parisiens pour un parcours retraçant son histoire, mettant en avant ses innovations et ses initiatives.

« 400 ans : cela nous donne une magnifique ressource pour préparer l’avenir », souligne Xavier Gajey, CEO du groupe Pochet qui célèbre, cette année, ses 400 ans d’histoire.

De la petite verrerie du Courval au groupe multi-matériaux actuel, le groupe Pochet a su grandir en alliant excellence, luxe et innovation. Le groupe – qui emploie aujourd’hui 3 700 collaborateurs sur trois continents – est devenu une référence en matière de production de flacons en verre complexes tout en diversifiant son savoir-faire dans les domaines des matériaux et du parachèvement.

Une ambition affichée : « être durablement le partenaire incontournable de l’industrie de la beauté. »

Ainsi, deux annonces ont été faites dans ce sens : la maison Chanel et le groupe Pochet ont développé un outil digital de mesure de l’ensemble de ses consommations énergétiques en temps réel ; le groupe Pochet s’est par ailleurs engagé dans un partenariat avec la start-up MagREEsource pour proposer à ses clients des aimants recyclés fabriqués en France.

« On ne peut pas être durable dans le temps si l’on n’est pas décidé à mettre la planète et les équipes au cœur du projet », relève Xavier Gajey.

Une meilleure maîtrise des consommations énergétiques

Inscrit dans sa démarche RSE, le groupe Pochet s’est fixé l’objectif ambitieux de réduire de 50 % ses émissions de CO2 d’ici à 2033. Pour répondre à cet objectif, il s’est associé à la maison Chanel et a mis en place dans l’ensemble de ses usines, et plus spécifiquement dans son usine de Pochet du Courval – Guimerville, un outil digital de mesure de l’ensemble de ses consommations énergétiques en temps réel.

Cet outil innovant a été développé en partenariat avec la maison Chanel, le groupe Pochet et la start-up Metron, fournisseur de la solution.

Installé mi 2022 dans l’usine verrière de Pochet du Courval – Guimerville, l’outil Metron permet le pilotage de l’ensemble des consommations énergétiques de l’usine, avec la mise en place d’un standard de consommation à l’article/ligne de production.

Grâce à ces nouveaux moyens de pilotage, l’usine de Pochet du Courval a observé un gain de 27 % sur la consommation de gaz de ses arches de re-cuisson depuis octobre 2022 ainsi qu’un gain en cours de chiffrage de la consommation de ses fours et feeders.

Cet investissement s’inscrit dans une démarche collaborative à long terme entre la maison Chanel et la maison Pochet, plaçant l’écoresponsabilité au cœur des actions des deux entreprises.

« La relation de longue date que nous avons avec nos clients nous permet d’innover au-delà des process en sortant notre zone de confort, en nous ouvrant vers l’extérieur grâce à des partenariats qui font sens et qui apportent de la valeur à l’ensemble de l’écosystème », précise Benoit Marszalek, directeur des opérations de Pochet du Courval.

Des aimants recyclés 

Très attaché à la protection de l’environnement, au recyclage des matières premières et à la protection des ressources naturelles, le groupe Pochet s’est engagé dans un partenariat depuis 18 mois avec la start-up française MagREEsource pour proposer prochainement à ses clients des aimants recyclés fabriqués en France.

MagREEsource développe une technologie innovante permettant de recycler des aimants sourcés en France issus du démantèlement d’éoliennes ou encore de moteurs électriques.

« Cette innovation permettra notamment de diviser par 10 l’empreinte carbone de l’aimant par rapport à un aimant fabriqué en Asie », précise Nicolas Piffault, directeur RSE du groupe Pochet.

Grâce à sa connaissance du marché de la beauté et du luxe, le groupe Pochet entend intégrer, en partenariat avec MagREEsource et ses clients, ces aimants responsables dans les capots de parfums.

Le groupe a la conviction qu’innover, c’est aller au-delà des produits et des procs pour construire des partenariats porteurs de sens avec l’ensemble de son écosystème, en s’ouvrant sur le monde et poursuivre sa transformation.

« C’est totalement innovant et audacieux qu’une entreprise de 400 ans tel le groupe Pochet, s’associe avec une jeune start-up pour inscrire les codes du luxe dans la durabilité », précise Nicolas Piffault.

Une conférence pour discuter de l’avenir de l’industrie cosmétique européenne

Dans le cadre du partenariat interrégional européen Go4Cosmetics, les régions Centre-Val de Loire et Lombardie ont organisé une conférence pour discuter de l’avenir de l’industrie cosmétique européenne, avec le soutien de Cosmetic Valley, pôle de compétitivité français, et REI – Reindustria Innovazione, agence de développement et coordinateur du Lombardy Cosmetics System.

L’événement a été accueilli par le Comité européen des régions à Bruxelles lundi 3 juillet, en présence des institutions européennes et des acteurs de l’industrie cosmétique.

Aujourd’hui, l’industrie souhaite attirer l’attention des institutions européennes sur ses défis et sur la nécessité d’être considérée comme une industrie prioritaire. En effet, si certains secteurs de la chaîne de valeur de l’industrie cosmétique sont reconnus comme des industries clés par l’UE, l’industrie cosmétique dans son ensemble ne fait pas encore partie des 14 écosystèmes industriels prioritaires européens. Les programmes européens ne ciblent pas l’industrie cosmétique en tant que secteur d’application, ce qui limite considérablement l’accès au financement. Ce manque de reconnaissance a donc des impacts directs sur les acteurs académiques et industriels.

L’industrie a besoin du soutien de l’UE pour atteindre les objectifs du pacte vert européen et poursuivre avec succès ses transitions écologique et numérique.

Le 3 juillet, les écosystèmes cosmétiques des régions européennes se sont réunis pour présenter leur stratégie conjointe de recherche et d’innovation afin d’accélérer les transitions et de rester compétitifs face à une concurrence internationale accrue.

Un programme riche

La conférence a rassemblé des experts issus de tout l’écosystème cosmétique pour partager connaissances, stratégies et témoignages. Le programme a été modéré par Christopher Burns, co-directeur de Burnstorm Communication.

L’événement a débuté par le discours d’ouverture de François Bonneau, président de la région Centre-Val de Loire, et de représentants de la région de Lombardie. Marc Antoine Jamet, président de Cosmetic Valley, a apporté un éclairage supplémentaire sur les défis actuels de l’industrie.

La première table ronde, intitulée « Stratégies pour réussir », s’est concentrée sur la mise en œuvre des transitions écologiques et numériques dans l’industrie cosmétique. Les intervenants ont inclus des représentants de la Commission européenne (CE) et du Parlement européen (PE), des experts réglementaires, des représentants de l’industrie du Lombardy Cosmetic System et d’une ETI française reconnue.

La deuxième table ronde a abordé le sujet de la concurrence internationale dans l’industrie cosmétique. Le panel comprendra des conférenciers éminents du Parlement et de la Commission, de Cosmetica Italia, des représentants du Beauty Cluster, ainsi que des représentants de l’industrie du Lombardy Cosmetic System et d’une célèbre entreprise cosmétique française.

Lors de la troisième table ronde, « Relever les défis de l’industrie cosmétique », les participants ont exploré comment la recherche, l’innovation et les compétences peuvent contribuer à surmonter les défis de l’industrie et saisir de nouvelles opportunités. Des représentants clés de la Commission européenne, du monde universitaire et de l’industrie partageront leurs perspectives et leurs success stories, suivis d’une séance de questions-réponses.

La conférence s’est conclue par des remarques de clôture et des conclusions politiques d’Anne Besnier, Vice-Présidente de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur de la région CentreVal de Loire et membre du Comité des Régions et de Christophe Masson, Directeur général Cosmetic Valley.

Cette conférence a été un riche moment d’échange entre les professionnels de l’industrie, les décideurs politiques et les parties prenantes pour favoriser la collaboration en vue d’une industrie cosmétique durable et résolument numérique.

Une industrie phare

Cet événement était l’occasion de mettre en évidence la valeur considérable de l’industrie cosmétique européenne qui, en 2021, est estimée à 80 milliards d’euros au prix de vente au détail et représente le plus grand marché de produits cosmétiques au monde. On estime que l’industrie des cosmétiques et des produits de soins personnels contribue à hauteur de 29 milliards d’euros de valeur ajoutée à l’économie européenne chaque année : 11 milliards d’euros issus de la fabrication de produits cosmétiques et 18 milliards d’euros indirectement par le biais de la chaîne d’approvisionnement.

En incluant l’activité économique directe, indirecte et induite, l’industrie soutient plus de 2 millions d’emplois. En 2021, plus de 255 111 personnes étaient employées directement et 1,71 million d’autres indirectement dans la chaîne de valeur des cosmétiques.

De plus, en attirant des investissements en dehors de l’UE, en développant des actifs incorporels tels que des marques et en investissant dans la recherche et le développement, l’industrie des cosmétiques et des produits de soins personnels contribue à renforcer la compétitivité de l’économie européenne et à favoriser sa prospérité future.

La grande majorité des 500 millions de consommateurs européens utilisent chaque jour des produits cosmétiques et de soins personnels pour protéger leur santé, améliorer leur bien-être et renforcer leur estime de soi. Des déodorants aux parfums, du maquillage aux shampooings, en passant par les savons, les écrans solaires et les dentifrices, les cosmétiques jouent un rôle essentiel à toutes les étapes de notre vie et offrent des services fonctionnels et émotionnels importants.

À propos de Go4Cosmetics : Pour permettre à l’écosystème européen de consolider sa position de leader mondial sur ce marché très concurrentiel, le Conseil Régional de Centre-Val de Loire, l’agence de développement économique régionale DEV’UP, le pôle de compétitivité Cosmetic Valley, la Région de Lombardie, l’agence de développement économique Reindustria Innovazione (REI) et l’écosystème cosmétique de Lombardie se sont associés pour créer un partenariat thématique européen « Go4Cosmetics » dans le cadre de la Plateforme de spécialisation intelligente pour la modernisation industrielle, promue par la Commission européenne et approuvée en juin 2021.

Huit autres régions européennes ont rejoint cette initiative : la Catalogne en Espagne, le Centre au Portugal, Nord-Ouest en Roumanie, Olomouc en République tchèque, la Sardaigne en Italie, la Normandie en France, la Nouvelle-Aquitaine en France et Lubelskie en Pologne. L’objectif est de renforcer la collaboration interrégionale pour connecter les différents écosystèmes régionaux, permettant ainsi l’échange d’expériences et de savoir-faire, avec pour objectif commun de concevoir, de planifier et de soutenir le développement de projets d’investissement impliquant activement les acteurs de l’industrie et les chercheurs, tout en tenant compte des derniers résultats de la recherche scientifique. Un aspect clé du partenariat Go4Cosmetics est qu’il englobe toute la chaîne européenne, des fournisseurs à la R&D jusqu’aux consommateurs, afin de favoriser de nouvelles alliances pour l’investissement, l’innovation et le partage d’expérience. Le partenariat sert également de véhicule pour représenter les intérêts de l’industrie cosmétique auprès des institutions européennes et mettre en lumière les politiques liées aux transformations numériques et écologiques.

Texen honore les nouveaux codes d’YSL pour All Hours

Nouveau décor, nouveaux challenges, le fond de teint All Hours adopte le design 2023 de la marque. Le logo Yves Saint Laurent enserre le capot à la manière d’un jonc. Cette subtilité décorative, ajoutée au défi technique d’une coiffe contenant des matériaux issus de matière recycléeaura demandé aux équipes de Texen audace technique et maturité industrielle. Défi relevé.

Le nouveau fond de teint All Hours promet une haute couvrance et une tenue pour un fini mat lumineux, sans effet masque. Dans le sillage du parfum Libre, son packaging arbore un nouveau design avec pour pièce centrale, le logo YSL.

Luxe et écoconception

Pour répondre aux attentes de la marque et à ses engagements environnementaux, partagés par Texen, le projet consistait à adopter un matériau nouvelle génération. Texen a poussé sa performance industrielle autour d’un double enjeu : exigence esthétique et usage de RPET. La coiffe a été réalisée en une seule pièce grâce à une gravure dans le moule du logo dont l’épaisseur du relief fut un défi supplémentaire.

Afin d’optimiser la conception des outils industriels, les équipes Texen se sont appuyées sur une étude rhéologique. Les experts perfectionnèrent ainsi les différents paramètres d’injection, anticipant le comportement de la matière afin d’éviter toute ligne de recollement pour une totale uniformité de la pièce moulée.

Cette expertise gagnée au fil du temps est un réel atout sur des produits où les attentes sont à la fois techniques et esthétiques. Seconde opération délicate : la décoration du capot et le marquage à chaud du décor exécuté en une seule passe.

Ce produit techniquement complexe et l’usage de matière recyclée a requis une solide coopération entre les équipes techniques et de développement de Texen au service de la marque. L’objectif d’éco-conception aura été au cœur de la collaboration. Rappelons que Texen agit plus que jamais en partenaire des marques sur des projets à forte maturité environnementale. 

Dans sa feuille de route 2025, 100 % des offres de Texen présenteront une alternative d’éco-conception.

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