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Pochet : 400 ans d’innovation et de nouvelles collaborations avec des start-up

Fondé en 1623 dans la vallée de la Bresles, le groupe Pochet a récemment accueilli ses clients dans ses locaux parisiens pour un parcours retraçant son histoire, mettant en avant ses innovations et ses initiatives.

« 400 ans : cela nous donne une magnifique ressource pour préparer l’avenir », souligne Xavier Gajey, CEO du groupe Pochet qui célèbre, cette année, ses 400 ans d’histoire.

De la petite verrerie du Courval au groupe multi-matériaux actuel, le groupe Pochet a su grandir en alliant excellence, luxe et innovation. Le groupe – qui emploie aujourd’hui 3 700 collaborateurs sur trois continents – est devenu une référence en matière de production de flacons en verre complexes tout en diversifiant son savoir-faire dans les domaines des matériaux et du parachèvement.

Une ambition affichée : « être durablement le partenaire incontournable de l’industrie de la beauté. »

Ainsi, deux annonces ont été faites dans ce sens : la maison Chanel et le groupe Pochet ont développé un outil digital de mesure de l’ensemble de ses consommations énergétiques en temps réel ; le groupe Pochet s’est par ailleurs engagé dans un partenariat avec la start-up MagREEsource pour proposer à ses clients des aimants recyclés fabriqués en France.

« On ne peut pas être durable dans le temps si l’on n’est pas décidé à mettre la planète et les équipes au cœur du projet », relève Xavier Gajey.

Une meilleure maîtrise des consommations énergétiques

Inscrit dans sa démarche RSE, le groupe Pochet s’est fixé l’objectif ambitieux de réduire de 50 % ses émissions de CO2 d’ici à 2033. Pour répondre à cet objectif, il s’est associé à la maison Chanel et a mis en place dans l’ensemble de ses usines, et plus spécifiquement dans son usine de Pochet du Courval – Guimerville, un outil digital de mesure de l’ensemble de ses consommations énergétiques en temps réel.

Cet outil innovant a été développé en partenariat avec la maison Chanel, le groupe Pochet et la start-up Metron, fournisseur de la solution.

Installé mi 2022 dans l’usine verrière de Pochet du Courval – Guimerville, l’outil Metron permet le pilotage de l’ensemble des consommations énergétiques de l’usine, avec la mise en place d’un standard de consommation à l’article/ligne de production.

Grâce à ces nouveaux moyens de pilotage, l’usine de Pochet du Courval a observé un gain de 27 % sur la consommation de gaz de ses arches de re-cuisson depuis octobre 2022 ainsi qu’un gain en cours de chiffrage de la consommation de ses fours et feeders.

Cet investissement s’inscrit dans une démarche collaborative à long terme entre la maison Chanel et la maison Pochet, plaçant l’écoresponsabilité au cœur des actions des deux entreprises.

« La relation de longue date que nous avons avec nos clients nous permet d’innover au-delà des process en sortant notre zone de confort, en nous ouvrant vers l’extérieur grâce à des partenariats qui font sens et qui apportent de la valeur à l’ensemble de l’écosystème », précise Benoit Marszalek, directeur des opérations de Pochet du Courval.

Des aimants recyclés 

Très attaché à la protection de l’environnement, au recyclage des matières premières et à la protection des ressources naturelles, le groupe Pochet s’est engagé dans un partenariat depuis 18 mois avec la start-up française MagREEsource pour proposer prochainement à ses clients des aimants recyclés fabriqués en France.

MagREEsource développe une technologie innovante permettant de recycler des aimants sourcés en France issus du démantèlement d’éoliennes ou encore de moteurs électriques.

« Cette innovation permettra notamment de diviser par 10 l’empreinte carbone de l’aimant par rapport à un aimant fabriqué en Asie », précise Nicolas Piffault, directeur RSE du groupe Pochet.

Grâce à sa connaissance du marché de la beauté et du luxe, le groupe Pochet entend intégrer, en partenariat avec MagREEsource et ses clients, ces aimants responsables dans les capots de parfums.

Le groupe a la conviction qu’innover, c’est aller au-delà des produits et des procs pour construire des partenariats porteurs de sens avec l’ensemble de son écosystème, en s’ouvrant sur le monde et poursuivre sa transformation.

« C’est totalement innovant et audacieux qu’une entreprise de 400 ans tel le groupe Pochet, s’associe avec une jeune start-up pour inscrire les codes du luxe dans la durabilité », précise Nicolas Piffault.

Une conférence pour discuter de l’avenir de l’industrie cosmétique européenne

Dans le cadre du partenariat interrégional européen Go4Cosmetics, les régions Centre-Val de Loire et Lombardie ont organisé une conférence pour discuter de l’avenir de l’industrie cosmétique européenne, avec le soutien de Cosmetic Valley, pôle de compétitivité français, et REI – Reindustria Innovazione, agence de développement et coordinateur du Lombardy Cosmetics System.

L’événement a été accueilli par le Comité européen des régions à Bruxelles lundi 3 juillet, en présence des institutions européennes et des acteurs de l’industrie cosmétique.

Aujourd’hui, l’industrie souhaite attirer l’attention des institutions européennes sur ses défis et sur la nécessité d’être considérée comme une industrie prioritaire. En effet, si certains secteurs de la chaîne de valeur de l’industrie cosmétique sont reconnus comme des industries clés par l’UE, l’industrie cosmétique dans son ensemble ne fait pas encore partie des 14 écosystèmes industriels prioritaires européens. Les programmes européens ne ciblent pas l’industrie cosmétique en tant que secteur d’application, ce qui limite considérablement l’accès au financement. Ce manque de reconnaissance a donc des impacts directs sur les acteurs académiques et industriels.

L’industrie a besoin du soutien de l’UE pour atteindre les objectifs du pacte vert européen et poursuivre avec succès ses transitions écologique et numérique.

Le 3 juillet, les écosystèmes cosmétiques des régions européennes se sont réunis pour présenter leur stratégie conjointe de recherche et d’innovation afin d’accélérer les transitions et de rester compétitifs face à une concurrence internationale accrue.

Un programme riche

La conférence a rassemblé des experts issus de tout l’écosystème cosmétique pour partager connaissances, stratégies et témoignages. Le programme a été modéré par Christopher Burns, co-directeur de Burnstorm Communication.

L’événement a débuté par le discours d’ouverture de François Bonneau, président de la région Centre-Val de Loire, et de représentants de la région de Lombardie. Marc Antoine Jamet, président de Cosmetic Valley, a apporté un éclairage supplémentaire sur les défis actuels de l’industrie.

La première table ronde, intitulée « Stratégies pour réussir », s’est concentrée sur la mise en œuvre des transitions écologiques et numériques dans l’industrie cosmétique. Les intervenants ont inclus des représentants de la Commission européenne (CE) et du Parlement européen (PE), des experts réglementaires, des représentants de l’industrie du Lombardy Cosmetic System et d’une ETI française reconnue.

La deuxième table ronde a abordé le sujet de la concurrence internationale dans l’industrie cosmétique. Le panel comprendra des conférenciers éminents du Parlement et de la Commission, de Cosmetica Italia, des représentants du Beauty Cluster, ainsi que des représentants de l’industrie du Lombardy Cosmetic System et d’une célèbre entreprise cosmétique française.

Lors de la troisième table ronde, « Relever les défis de l’industrie cosmétique », les participants ont exploré comment la recherche, l’innovation et les compétences peuvent contribuer à surmonter les défis de l’industrie et saisir de nouvelles opportunités. Des représentants clés de la Commission européenne, du monde universitaire et de l’industrie partageront leurs perspectives et leurs success stories, suivis d’une séance de questions-réponses.

La conférence s’est conclue par des remarques de clôture et des conclusions politiques d’Anne Besnier, Vice-Présidente de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur de la région CentreVal de Loire et membre du Comité des Régions et de Christophe Masson, Directeur général Cosmetic Valley.

Cette conférence a été un riche moment d’échange entre les professionnels de l’industrie, les décideurs politiques et les parties prenantes pour favoriser la collaboration en vue d’une industrie cosmétique durable et résolument numérique.

Une industrie phare

Cet événement était l’occasion de mettre en évidence la valeur considérable de l’industrie cosmétique européenne qui, en 2021, est estimée à 80 milliards d’euros au prix de vente au détail et représente le plus grand marché de produits cosmétiques au monde. On estime que l’industrie des cosmétiques et des produits de soins personnels contribue à hauteur de 29 milliards d’euros de valeur ajoutée à l’économie européenne chaque année : 11 milliards d’euros issus de la fabrication de produits cosmétiques et 18 milliards d’euros indirectement par le biais de la chaîne d’approvisionnement.

En incluant l’activité économique directe, indirecte et induite, l’industrie soutient plus de 2 millions d’emplois. En 2021, plus de 255 111 personnes étaient employées directement et 1,71 million d’autres indirectement dans la chaîne de valeur des cosmétiques.

De plus, en attirant des investissements en dehors de l’UE, en développant des actifs incorporels tels que des marques et en investissant dans la recherche et le développement, l’industrie des cosmétiques et des produits de soins personnels contribue à renforcer la compétitivité de l’économie européenne et à favoriser sa prospérité future.

La grande majorité des 500 millions de consommateurs européens utilisent chaque jour des produits cosmétiques et de soins personnels pour protéger leur santé, améliorer leur bien-être et renforcer leur estime de soi. Des déodorants aux parfums, du maquillage aux shampooings, en passant par les savons, les écrans solaires et les dentifrices, les cosmétiques jouent un rôle essentiel à toutes les étapes de notre vie et offrent des services fonctionnels et émotionnels importants.

À propos de Go4Cosmetics : Pour permettre à l’écosystème européen de consolider sa position de leader mondial sur ce marché très concurrentiel, le Conseil Régional de Centre-Val de Loire, l’agence de développement économique régionale DEV’UP, le pôle de compétitivité Cosmetic Valley, la Région de Lombardie, l’agence de développement économique Reindustria Innovazione (REI) et l’écosystème cosmétique de Lombardie se sont associés pour créer un partenariat thématique européen « Go4Cosmetics » dans le cadre de la Plateforme de spécialisation intelligente pour la modernisation industrielle, promue par la Commission européenne et approuvée en juin 2021.

Huit autres régions européennes ont rejoint cette initiative : la Catalogne en Espagne, le Centre au Portugal, Nord-Ouest en Roumanie, Olomouc en République tchèque, la Sardaigne en Italie, la Normandie en France, la Nouvelle-Aquitaine en France et Lubelskie en Pologne. L’objectif est de renforcer la collaboration interrégionale pour connecter les différents écosystèmes régionaux, permettant ainsi l’échange d’expériences et de savoir-faire, avec pour objectif commun de concevoir, de planifier et de soutenir le développement de projets d’investissement impliquant activement les acteurs de l’industrie et les chercheurs, tout en tenant compte des derniers résultats de la recherche scientifique. Un aspect clé du partenariat Go4Cosmetics est qu’il englobe toute la chaîne européenne, des fournisseurs à la R&D jusqu’aux consommateurs, afin de favoriser de nouvelles alliances pour l’investissement, l’innovation et le partage d’expérience. Le partenariat sert également de véhicule pour représenter les intérêts de l’industrie cosmétique auprès des institutions européennes et mettre en lumière les politiques liées aux transformations numériques et écologiques.

Texen honore les nouveaux codes d’YSL pour All Hours

Nouveau décor, nouveaux challenges, le fond de teint All Hours adopte le design 2023 de la marque. Le logo Yves Saint Laurent enserre le capot à la manière d’un jonc. Cette subtilité décorative, ajoutée au défi technique d’une coiffe contenant des matériaux issus de matière recycléeaura demandé aux équipes de Texen audace technique et maturité industrielle. Défi relevé.

Le nouveau fond de teint All Hours promet une haute couvrance et une tenue pour un fini mat lumineux, sans effet masque. Dans le sillage du parfum Libre, son packaging arbore un nouveau design avec pour pièce centrale, le logo YSL.

Luxe et écoconception

Pour répondre aux attentes de la marque et à ses engagements environnementaux, partagés par Texen, le projet consistait à adopter un matériau nouvelle génération. Texen a poussé sa performance industrielle autour d’un double enjeu : exigence esthétique et usage de RPET. La coiffe a été réalisée en une seule pièce grâce à une gravure dans le moule du logo dont l’épaisseur du relief fut un défi supplémentaire.

Afin d’optimiser la conception des outils industriels, les équipes Texen se sont appuyées sur une étude rhéologique. Les experts perfectionnèrent ainsi les différents paramètres d’injection, anticipant le comportement de la matière afin d’éviter toute ligne de recollement pour une totale uniformité de la pièce moulée.

Cette expertise gagnée au fil du temps est un réel atout sur des produits où les attentes sont à la fois techniques et esthétiques. Seconde opération délicate : la décoration du capot et le marquage à chaud du décor exécuté en une seule passe.

Ce produit techniquement complexe et l’usage de matière recyclée a requis une solide coopération entre les équipes techniques et de développement de Texen au service de la marque. L’objectif d’éco-conception aura été au cœur de la collaboration. Rappelons que Texen agit plus que jamais en partenaire des marques sur des projets à forte maturité environnementale. 

Dans sa feuille de route 2025, 100 % des offres de Texen présenteront une alternative d’éco-conception.

Publication de l’Afnor spec 2215, un guide sur l’affichage de l’impact environnemental et sociétal des produits 

Une grande première pour les secteurs cosmétiques, parfums et nutraceutiques : en seulement neuf mois, 120 participantes et participants, issus de 26 organisations différentes (de la TPE aux grands groupes internationaux, incluant des fournisseurs, des bureaux d’études indépendants et une structure académique), dont les membres du consortium Green Impact Index, ont travaillé collectivement sous l’égide d’Afnor pour co-construire une méthodologie de calcul et d’affichage de l’impact environnemental et sociétal des produits cosmétiques, de bien-être et de santé familiale. 

Eric Ducournau, CEO Groupe Pierre Fabre et président du consortium Green Impact Index, déclare : « Ce document de référence est une parfaite illustration de ce que peut produire l’intelligence collective au service du bien commun. Il permet désormais à tous les fabricants de produits finis de développer des produits éco-socio-conçus sur la base de critères communs. Je suis d’ailleurs heureux d’annoncer que la première assemblée générale constitutive du consortium Green Impact Index s’est tenue le 26 juin dernier. Une étape clé dans ce projet ambitieux et fédérateur. Nous pouvons tous agir pour diminuer l’impact environnemental et sociétal de nos organisations en procédant à une transition par les produits que nous commercialisons. »

Saskia Mamzed Decathlon Health & Care Brand Leader, ajoute : « Depuis 2009, Decathlon travaille à l’évaluation environnementale de ses produits, en utilisant pour cela les méthodes de calcul les plus avancées au niveau européen, ces méthodes d’évaluation quantitatives nous permettent un affichage environnemental sur nos produits textiles et chaussants. Pour la cosmétique nous avons choisi de rejoindre le consortium Green Impact Index afin de disposer d’une méthode pragmatique, comparable et co-construite par différents acteurs du marché aboutissant à l’évaluation environnementale quantitative et qualitative de nos produits. »

En menant activement ce travail sur la méthodologie d’affichage environnemental sous l’égide d’Afnor, le consortium Green Impact Index s’est inscrit dans une démarche volontaire dans le cadre du Pacte vert pour l’Europe (the European Green Deal) : anticiper un affichage environnemental dans les secteurs des cosmétiques, des parfums et des nutraceutiques.

À l’image du Nutriscore, grâce à une cotation graduée de A à E, la méthodologie développée permettra aux consommatrices et consommateurs de choisir leurs produits cosmétiques et de bien-être en toute connaissance de cause.

Chloé Fortin, cheffe de projet Afnor, explique : « En neuf mois de travaux, les participantes et participants ont réussi à mettre en commun leurs forces pour surmonter les difficultés à trouver des critères applicables et mesurables et ceci sur la base du consensus. Ce premier recueil méthodologique pourrait servir de contribution à l’établissement d’une future norme, si un nouvel accord plus large avec tous les acteurs du secteur est trouvé. »


Comprendre la méthodologie

Les 120 participantes et participants ont dès le début de l’aventure eu pour objectif de travailler une méthodologie qui réponde à trois objectifs :

  1. Fournir aux consommatrices et consommateurs une information fiable et transparente sur la quantification des impacts environnementaux (par exemple ceux du packaging, de la formulation, etc.) et sociétaux des produits (par exemple le commerce équitable, les engagements de marques, etc.),
  2. Fournir aux acteurs économiques un véritable levier de progrès pour l’éco-socio-conception des produits,
  3. Permettre la mise en œuvre de cet affichage à un coût économiquement acceptable par les entreprises de toutes tailles.

Pour cela, ils sont partis des méthodes d’affichage environnemental et sociétal existantes, comme le Green Impact Index lancé par les Laboratoires Pierre Fabre, le FlorIndex de Technicoflor, l’ecosocioconsoscore du groupe Rocher, ainsi que le PEF (Product Environnemental Footprint) développé par la Commission européenne, dans la perspective de la directive Green Claims, qui consiste à lutter contre le foisonnement de labels versant dans le greenwashing. Ils se sont également basés sur les enseignements observés lors de précédentes phases d’expérimentations d’affichage environnemental d’autres secteurs comme le Planet Score, pour comprendre la nécessité de compléter les calculs d’impact issus de l’analyse du cycle de vie (ACV) des produits.

Les partis pris dans l’élaboration de cette méthodologie ont permis de :

  • Développer une approche transversale à différentes catégories de produits finis allant des cosmétiques aux produits de santé familiale,
  • Élaborer une méthode adaptée à toutes les tailles d’entreprises, de la toute petite entreprise au grand groupe international et couvrant à la fois les enjeux environnementaux et sociétaux,
  • Baser la méthode sur des référentiels, labels, normes et ainsi permettre aux entreprises de capitaliser sur les efforts déjà engagés, sur les labels et certifications obtenues, 
  • Prendre en compte les législations françaises et européennes en cours et à venir sur l’écoconception, l’économie circulaire et l’affichage environnemental, 
  • Co-construire une méthodologie avec tous les acteurs de la chaîne de valeur, 
  • Rechercher le meilleur compromis entre analyse du cycle de vie (ACV) et indicateurs environnementaux et sociaux, 
  • Intégrer pleinement les enjeux de biodiversité, 
  • Prendre en compte la spécificité des produits d’origine naturelle et bio

De nouveaux papiers d’étiquetage de qualité supérieure fabriqués à partir de matières recyclées et de fibres alternatives

Avery Dennison a lancé aujourd’hui quatre papiers d’étiquetage fabriqués à partir de pâte recyclée et de fibres alternatives, destinés au segment des emballages haut de gamme, y compris les vins et spiritueux, les boissons artisanales, les produits gastronomiques, les produits de beauté et les parfums.

Disponible dans la région Europe, Moyen-Orient et Afrique du Nord, ce lancement intervient à un moment où les réglementations industrielles, les politiques environnementales des entreprises et la demande des consommateurs contribuent au besoin croissant de solutions d’étiquetage et d’emballage durables. La nouvelle gamme se compose de trois nouveaux papiers fabriqués à partir de fibres 100 % recyclées et d’un papier fabriqué à partir de fibres de chanvre :

  • Fasson rPaper Black FSC 100% recycled (50% PCW et 50% PIW) est un papier noir, teinté dans la masse, non couché, conçu pour fournir une étiquette visuellement frappante pour diverses applications. Sa couleur noire garantit un aspect homogène et de qualité supérieure, évitant les bords blancs ou révélant la blancheur de l’arrière des bouteilles de vin. Ce papier élimine les problèmes de saignement dans les seaux à glace et offre une excellente imprimabilité et compatibilité avec les embellissements.
  • Fasson rMartelé Black FSC 100 % recyclé (50 % PCW et 50 % PIW) est un papier mat non couché avec une finition gaufrée tactile « martelée » distinctive. Il correspond au Martelé Black non recyclé du portefeuille actuel, ce qui permet une intégration transparente dans les solutions d’étiquetage existantes. Tout comme le rPaper Black, ce papier élimine également le problème du dégorgement de l’encre noire dans les seaux à glace et, étant donné qu’il est de couleur pâte à papier, il garantit un aspect sophistiqué et propre en évitant le problème désagréable du bord et du dos blancs de l’étiquette.
  • Fasson rMartelé Blanc FSC 100% recyclé (50% PCW et 50% PIW) est également un papier mat non couché avec la même finition gaufrée tactile « martelée » que rMartelé Black. Ce produit spécifique sera disponible dans le courant de l’année et il est assorti au Martele Blanc non recyclé de la gamme actuelle, ce qui permet de l’intégrer sans effort aux gammes existantes de vins et d’autres produits haut de gamme. En outre, il offre une excellente imprimabilité avec toutes les méthodes d’impression et les techniques d’embellissement standard.

Nouvelles possibilités d’étiquetage haut de gamme offertes par les fibres de chanvre

Le papier Fasson® Chanvre 50% FSC® offre un toucher naturel et volumineux avec sa surface blanche non couchée et mate – parfait pour les produits biologiques haut de gamme. Il offre une alternative durable aux papiers traditionnels à base de pâte de bois et utilise 50 % de fibres de chanvre provenant de France et d’Allemagne et pouvant être récoltées jusqu’à sept fois par an. Son grammage élevé le rend idéal pour les étiquettes comportant des détails gaufrés ou en relief.

« En intégrant ces options durables, notre portefeuille Sustainable ADvantage aide les marques à réduire leur empreinte environnementale et à s’orienter vers une économie plus durable et circulaire, explique Vladimir Tyulpin, responsable marketing des solutions premium chez Avery Dennison. Ces solutions sont particulièrement bénéfiques pour les industries telles que le vin, les spiritueux, les boissons artisanales, la gastronomie, la beauté et les parfums, où la différenciation de la marque et la durabilité sont primordiales. »

Avec une large sélection de frontaux recyclés, rPLUS (une technologie établie et éprouvée conçue pour résoudre les problèmes de seaux à glace pour les vins blancs et pétillants), et la construction de liner rPET, ainsi que le programme de recyclage de liner AD Circular et l’utilisation de l’outil de reporting Carbon Trust Footprinting, Avery Dennison permet aux entreprises de prendre des décisions éclairées et de mesurer avec précision l’impact des produits.

L’Oréal et Bakar Labs (UC Berkeley) innovent dans le développement et les tests des produits cosmétiques

L’Oréal a annoncé un partenariat avec Bakar Labs, l’incubateur pionnier de biotechnologie de l’Université de Californie (UC) Berkeley. Cette collaboration offre de nouvelles perspectives aux start-ups de l’incubateur Bakar Labs en leur permettant de bénéficier et d’accéder gratuitement aux modèles de peau reconstruite en 3D de L’Oréal.

Ce partenariat permet de développer la prochaine génération de produits de beauté, en s’appuyant sur l’expertise avancée de L’Oréal en matière de microbiome, sur l’expertise biotechnologique de Bakar Labs ainsi que sur des technologies biologiques innovantes. Résolument tournée vers l’avenir, cette collaboration vise à redéfinir le paysage de l’industrie de la beauté en créant des innovations qui répondent aux besoins individuels, qui améliorent la santé de la peau et qui traitent les problèmes cutanés spécifiques grâce à des solutions toujours plus efficaces et innovantes.

« L’Oréal est pionnier de la peau reconstruite en 3D depuis plus de 25 ans, proposant ainsi de nouvelles solutions pour un monde sans tests sur les animaux. Aujourd’hui, nous sommes heureux de mettre la plateforme exclusive deskintech de L’Oréal à la disposition de Bakar Labs de l’UC Berkeley afin d’accompagner son écosystème de start-ups, qui sont les meilleures dans leur domaine, dans leur quête de nouvelles découvertes. Grâce à une production entièrement intégrée, nous fournirons aux startups de Bakar tout ce dont elles ont besoin pour atteindre leurs objectifs », a commenté Barbara Lavernos, directrice générale adjointe en charge de la recherche, de l’innovation et de la technologie.

Situé dans le Bakar BioEnginuity Hub du campus de l’UC Berkeley, Bakar Labs s’étend sur plus de 3 700 m2 de laboratoires et de bureaux pouvant accueillir jusqu’à 50 start-ups. Sa communauté très diversifiée comprend des entreprises actives dans le domaine thérapeutique et dans les secteurs du diagnostic, des technologies agricoles et de la food tech.

« Nous sommes ravis de ce partenariat avec L’Oréal, qui nous permet de bénéficier de son immense expérience en recherche sur le microbiome et en technologies biologiques avancées, a affirmé David Schaffer, professeur à l’UC Berkeley et directeur de Bakar Labs. Cette collaboration va permettre aux entreprises de notre incubateur de bénéficier de ressources et de connaissances précieuses et de travailler aux côtés de L’Oréal afin de faire avancer le champ de la biotechnologie dans les secteurs pharmaceutique et de la beauté. »

Une gamme d’hygiène et de soin dermo-cosmétique pour les zones intimes masculines

Les hommes sont de plus en plus nombreux à s’épiler partiellement ou intégralement les zones intimes. C’est de ce constat qu’est née la gamme Che[rr]ies proposée par High Lab Beauty.

Vincent Bailly, chirurgien urologue et Philippe Humbert, ancien chef du service de Dermatologie de l’hôpital universitaire de Besançon, spécialisé en médecine interne et dermatologie, ont constaté que nombre de leurs patients se coupent et s’infectent les parties intimes en souhaitant les raser. Ils en ont parlé à Tony Jaillot et Flavien Profumo, experts cosmétiques. Ensemble, ils ont décidé d’apporter une solution à ce problème.

Che[rr]ies est ainsi une nouvelle gamme d’hygiène et de soin dermo-cosmétique pour les zones intimes de l’homme. 

Une crème dépilatoire

Sans parfum ni parabène, la crème dépilatoire intime Cherries s’applique à la main sur les zones à épiler, scrotum et sillon inter-fessier, en évitant les muqueuses du gland et du prépuce. Au bout de 10 minutes, un simple gant mouillé permet de retirer les poils dissous. La peau est lisse et visiblement plus douce qu’après le passage du rasoir et moins traumatisée qu’avec l’utilisation d’une cire dépilatoire. La repousse est naturelle et sans démangeaison. Sa formule, à base de 88 % d’ingrédients d’origine naturelle contient également deux composants essentiels : le thioglycolate de potassium, actif dépilatoire le plus efficace à ce jour pour dissoudre les poils à la racine, le Skin Preserve System, un élastomère de silicone de dernière génération allié à un beurre de karité naturel haute tolérance qui, tout en laissant respirer la peau, forment une barrière protectrice, évitant que l’actif dépilatoire n’entre en contact direct avec l’épiderme.

Une crème de soin post-dépilation

Appliquée une dizaine de minutes après dépilation, la crème de soin post-dépilation intime Cherries apporte, par ailleurs, fraîcheur, hydratation et douceur. Sa formule à base de 95 % d’ingrédients d’origine naturelle, sans parfum ni parabène, permet également d’assainir, d’apaiser, de purifier et de retarder la repousse du poil.

L’acide hyaluronique, hydratant et anti-âge, permet de maintenir l’eau à la surface de la peau. L’huile de souchet, nourrissante, cicatrisante et réparatrice, est traditionnellement utilisée au Maroc pour ses vertus anti-repousse poils. Le panthénol, apaisant et cicatrisant, soulage la peau des démangeaisons et les irritations cutanées. L’acide lactique stimule l’exfoliation douce, le renouvellement cellulaire et la production de collagène pour une action anti-âge et fermeté. L’huile oléique, nourrissante et hydratante, aide à renforcer la barrière cutanée. Et la vitamine E est antioxydante et anti-inflammatoire.

Pure Trade nomme Cyrille Ly, en tant que directeur du développement durable, de la RSE et de l’innovation 

Avec près de 30 ans d’existence, 80 collaborateurs, 87 M€ de chiffre d’affaires, Pure Trade est un interlocuteur reconnu des marques de cosmétiques et de parfums de luxe pour lesquelles l’entreprise conçoit des emballages primaires et secondaires haut de gamme, de la bagagerie et des accessoires promotionnels ainsi que des articles textiles.

Basé à Bangkok, Cyrille Ly a pour mission de formaliser et de déployer la vision RSE et innovation de Pure Trade à l’interne et à l’externe, et de gérer les partenariats industriels en Asie du Sud-Est.

Cyrille Ly détient vingt années d’expérience en développement packaging chez L’Oréal Luxe où il a eu également l’opportunité de diriger un programme environnemental et social. Présent en Asie depuis 2019, il a réalisé le désastre lié à l’utilisation quotidienne du plastique et au manque de filières de recyclage pour certains types de plastiques. Il a également observé de la discrimination à l’emploi aux dépens de populations vulnérables.

« En rejoignant l’équipe de Pure Trade, qui intervient en amont de la chaîne de valeur et de production, je peux ainsi accomplir ma mission en étroite collaboration avec nos usines partenaires sur ces critères : réduire l’utilisation de plastique vierge et améliorer le processus de recyclage local, accompagner et éduquer les populations locales et vulnérables impliquées dans nos filières, en faveur de leur bien-être et de leur autonomie. Au-delà de la performance et des KPI, je souhaite piloter notre démarche RSE avec sincérité et humanité. », indique Cyrille Ly.

« J’ai toujours été attaché à conduire une politique RSE rigoureuse pour le groupe par conviction et en accord avec mes valeurs sociales et éthiques, souligne Stefane Ladous, président de Pure Trade. Jusque-là, nous nous sommes appuyés sur le système EcoVadis avec l’aide d’un consultant extérieur, en plus de participer à des projets humanitaires et environnementaux avec des ONG partenaires. La politique RSE a pris une ampleur telle qu’elle méritait d’être pilotée en interne. Elle est intimement liée au développement durable et à l’innovation et, au-delà de mes convictions, elle revêt une dimension stratégique. La mission de Cyrille Ly est donc d’en formaliser la vision puis de la déployer auprès des collaborateurs et des partenaires industriels en priorité. »

Deux nouvelles vannes Alfa Laval simplifiées pour répondre au marché

Alfa Laval a dévoilé deux nouvelles vannes hygiéniques qui rejoignent sa gamme de vannes hygiéniques à double clapet : Alfa Laval Unique Mixproof NEP et Unique Mixproof Process.

Ces deux vannes innovantes offrent aux fabricants un moyen rentable d’améliorer l’intégrité de leurs produits tout en renforçant l’efficacité des process et la durabilité.

Performances prouvées, pensées pour un objectif précis

Ces deux nouveautés ont été conçues pour un but précis, tout en s’appuyant sur des performances éprouvées. La vanne Unique Mixproof NEP est une vanne à double clapet qui gère de manière sûre et efficace le flux de produits de nettoyage pendant le nettoyage en place (NEP). La vanne Unique Mixproof Process, une vanne à double clapet compacte, est configurable et disponible en différentes tailles pour répondre aux exigences fondamentales de traitement hygiénique des fabricants. Les deux modèles sont capables d’acheminer simultanément deux fluides différents sans risque de contamination croisée, contribuant ainsi à une plus grande disponibilité et à une réduction du coût total de possession.

« Ces nouvelles vannes Unique Mixproof garantissent la sécurité du produit, la flexibilité du process, une maintenance simple et des possibilités d’économies d’eau et de fluides de NEP », déclare Anders M. Lyhne, responsable de portefeuille de produits chez Alfa Laval.

Protection fiable et rentable des produits

Les systèmes Unique Mixproof NEP et Unique Mixproof Process assurent aux fabricants la sécurité de leurs produits de manière rentable. La technologie Alfa Laval à double clapet maintient les fluides séparés, assurant un nettoyage efficace et une protection complète contre l’intrusion de micro-organismes nocifs. Grâce à une conception parfaitement équilibrée, les vannes peuvent facilement supporter une haute pression sans risque de chocs de pression. Elles sont certifiées selon la FDA, 3A ainsi que d’autres normes reconnues.

Une plus grande flexibilité des process

Améliorez la fiabilité et la flexibilité des processus de fabrication grâce à une technologie de vannes éprouvée qui répond aux exigences spécifiques de la production. De conception modulaire et disponibles dans des types et des tailles adaptés à différentes applications, les vannes Unique Mixproof NEP et Unique Mixproof Process aident les fabricants à s’adapter à l’évolution des exigences des process. L’utilisation de ces vannes en combinaison avec les unités de commande ThinkTop d’Alfa Laval offre une plus grande flexibilité et un meilleur contrôle des process.

Entretien simplifié

Construits sur les plates-formes Alfa Laval Unique SSV et Mixproof, ces vannes hygiéniques à double clapet et à chargement par le haut minimisent le risque de temps d’arrêt imprévu tout en réduisant au maximum le temps et les ressources consacrés à la maintenance de routine. La technologie d’étanchéité éprouvée avec compression définie prolonge les intervalles entre les entretiens, tandis qu’un actionneur sans entretien et sans composants réglables maximise le temps de fonctionnement et minimise le coût total de possession.

Durabilité renforcée

Associées au système ThinkTop d’Alfa Laval, ces nouvelles vannes Unique Mixproof éliminent les pertes de produit inutiles tout en permettant de réaliser jusqu’à 90 % d’économies sur l’eau et les fluides de NEP. L’utilisation réduite des fluides de NEP contribue à réduire le coût total de possession tout en minimisant l’impact sur l’environnement dans les industries de transformation. Bon pour les personnes, bon pour les affaires et bon pour la planète.

Symrise ouvre un nouveau centre d’expertise en région parisienne

Le spécialiste des arômes et des parfums Symrise a inauguré sur son site de Clichy, près de Paris, un nouveau centre d’expertise dédié à la beauté et aux produits d’entretien pour la maison.

Sur un espace de 300 m2, le nouveau site comprend un laboratoire d’application cosmétique pour les actifs et les plantes, un laboratoire d’application pour les ingrédients de soins à domicile et un autre de microbiologie. 

L’ouverture du centre d’expertise Beauty & Home Care renforce la présence de Symrise en Europe ainsi que le site de Symrise Clichy. Il s’appuie sur une équipe élargie d’experts scientifiques et techniques en microbiologie, cosmétique et soins à domicile.

Ce nouvel établissement de recherche s’inscrit dans le réseau mondial de centres de recherche de Symrise, incluant le laboratoire d’application cosmétique récemment agrandi au siège de la société, à Holzminden, en Allemagne, dédié à la formulation d’actifs, de plantes, de couleurs, de fonctionnels, de produits et de protection de la peau et de filtres UV.

« Ces investissements reflètent la croissance continue des ingrédients cosmétiques et la forte demande du marché pour continuer à fournir des solutions modernes et un excellent service aux clients de la région », indique Timothy Kenny, président des ingrédients cosmétiques chez Symrise.

Symrise a investi 1,5 million d’euros dans ce nouveau centre d’expertise.

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